Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
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Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Texte écrit en 2000 par Michael. A noter que ce texte ne paraît pas dans le livre du rabbin Shmuley.
Sources: mjfrance et
http://www.beliefnet.com/Faiths/2000/12/My-Childhood-My-Sabbath-My-Freedom.aspx
Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Ce que je voulais plus que tout, c'était être ordinaire. Le Sabbat était un moment où je pouvais l'être.
Par Michael Jackson
Cette histoire a été publiée pour la première fois sur Beliefnet en décembre 2000
Childhood
"Have you seen my childhood ?
I'm searching for that wonder in my youth
Like pirates in adventurous dreams
Of conquest and kings on the throne..."
Dans l'une de nos conversations, mon ami le rabbin Shmuley m'a dit qu'il avait demandé à certains de ses collègues – écrivains, penseurs et artistes – d'écrire leurs réflexions sur le Sabbat. Il m'a alors suggéré d'écrire mes propres pensées sur le sujet, un projet que j'ai trouvé fascinant et opportun suite au décès récent de Rose Fine, une femme juive qui était ma tutrice bien aimée lorsque j'étais enfant et qui a voyagé avec moi et mes frères quand nous étions les Jackson Five.
Vendredi dernier j'ai rejoint le rabbin Shmuley, sa famille et leurs invités pour le dîner du Sabbat qui avait lieu chez eux. Ce que j'ai trouvé particulièrement émouvant, c'est quand Shmuley et sa femme ont placé leurs mains sur la tête de leurs jeunes enfants, et les ont bénis pour qu'ils grandissent comme Abraham et Sarah, ce qui, d'après ce que j'ai compris, est une ancienne tradition juive. Cela me conduit à évoquer mes souvenirs d'enfance, et ce que ce Sabbat signifiait pour moi dans le fait de grandir.
Quand les gens voient les apparitions que j'ai faites à la télévision lorsque j'étais petit garçon – 8 ou 9 ans et à l'aube d'une très longue carrière musicale – ils voient un petit garçon avec un grand sourire. Ils supposent que ce petit garçon sourit parce qu'il est joyeux, qu'il chante de tout son cœur parce qu'il est heureux, et qu'il danse avec une énergie inépuisable parce qu'il est insouciant.
Mais tout en chantant et en dansant, ce qui reste sans doute certains de mes plus grands moments de joie, à cette époque ce que je voulais plus que toute autre chose étaient les deux choses qui font que l'enfance représente les années les plus merveilleuses de la vie, à savoir jouer et se sentir en liberté. Le grand public n'a pas encore vraiment compris les pressions de la célébrité pendant l'enfance, qui, bien qu'excitante, exige toujours d'en payer un prix exorbitant.
Plus que tout, je souhaitais être un petit garçon normal. Je voulais construire trois maisons et aller faire du patin à roulettes. Mais très tôt, c'est devenu impossible. J'ai dû accepter que mon enfance soit différente de celle des autres. Ca m'a toujours fait me demander à quoi pouvait ressembler une enfance ordinaire.
Il y avait cependant une journée par semaine où je pouvais échapper à Hollywood ou aux foules des salles de concerts. Ce jour c'était le jour du Sabbat. Dans toutes les religions le Sabbat est le jour qui permet et requiert que les fidèles prennent du recul avec le quotidien pour se concentrer sur l'exceptionnel. J'ai appris quelque chose à propos du Sabbat juif par Rose, et par la suite mon ami Shmuley a clarifié pour moi le fait que lors du Sabbat juif, les tâches de la vie quotidienne comme cuisiner un repas, faire les courses, ou tondre la pelouse sont interdites, pour que l'humanité puisse rendre l'ordinaire extraordinaire et le naturel miraculeux. Même des choses comme faire les courses ou allumer la lumière sont interdites. Ce jour-là chacun dans le monde arrête d'être ordinaire.
Mais ce que je voulais plus que tout c'était être ordinaire. Alors, dans mon monde, le Sabbat était le jour où je pouvais échapper à ma vie unique et avoir un aperçu de la vie de tous les jours.
Le dimanche était mon jour de prêche, un terme utilisé pour le travail de missionnaire que font les Témoins de Jehovah. Nous passions la journée dans les banlieues du Sud de la Californie, faisant du porte à porte ou distribuant le magazine Watchtower dans les centres commerciaux. J'ai continué mon travail de prêcheur pendant des années et des années après le lancement de ma carrière.
Jusqu'en 1991, à l'époque du Dangerous Tour, je mettais mon costume d'obèse, avec une perruque, une barbe, et des lunettes, pour faire immersion dans l'Amérique ordinaire, visitant les centres commerciaux et les maisons de banlieue. J'adorais mettre les pieds dans ces maisons, où des enfants jouaient au Monopoly ou des grand-mères faisaient du baby-sitting, et toutes ces choses merveilleusement ordinaires, qui pour moi étaient des scènes magiques de la vie. Beaucoup, je le sais, diraient que ces choses sont sans importance. Mais pour moi elles étaient positivement fascinantes.
Ce qui est drôle, c'est qu'aucun adulte n'a jamais suspecté qui était cet étrange homme barbu. Mais les enfants, avec leur super intuition, savaient tout de suite. Comme le joueur de flûte de Hamelin, je me trouvais poursuivi par huit ou neuf enfants dans le centre commercial. Ils me suivaient, murmuraient et gloussaient, mais ils n'ont pas révélé mon secret à leurs parents. Ils étaient mes petits assistants. Hey, vous m'avez peut-être acheté un magazine. Maintenant, vous vous posez la question n'est-ce pas ?
Le dimanche était sacré pour deux autres raisons quand j'ai grandi. C'était le jour où j'allais à l'église et le jour où je répétais le plus. Ca peut sembler aller contre l'idée du repos du Sabbat, mais c'était le moyen le plus sacré de passer mon temps: développer les talents que Dieu m'a donnés. La meilleure façon que je puisse imaginer pour montrer ma gratitude est de tirer le maximum de profit du don que j'ai reçu de Dieu.
L'église était un plaisir en soi. C'était encore une fois une chance pour moi d'être "normal". Les aînés à l'église me traitaient comme ils auraient traité n'importe qui d'autre. Et ils n'ont jamais été ennuyés les jours où l'arrière de l'église était envahi de journalistes ayant découvert ma destination. Ils ont essayé de leur souhaiter la bienvenue. Après tout, même les journalistes sont des enfants de Dieu.
Quand j'étais jeune, toute la famille allait ensemble à l'église dans l'Indiana. Quand nous avons grandi, c'est devenu difficile et ma remarquable et sainte mère finissait par y aller seule. Quand les circonstances ont fait qu'il est devenu de plus en plus complexe pour moi d'y aller, j'ai été conforté dans l'idée que Dieu existait dans mon cœur, dans la musique et dans la beauté, mais pas uniquement en se rendant dans un bâtiment. Malgré tout le sens de la communauté que je ressentais là-bas me manque toujours – les amis et les gens qui me traitaient simplement comme l'un des leurs me manquent. Simplement un être humain. Le partage d'une journée avec Dieu.
Quand je suis devenu père, mon total sens de Dieu et du Sabbat a été redéfini. Quand je regarde dans les yeux mon fils Prince et ma fille Paris, je vois les miracles et je vois la beauté. Chaque jour devient un Sabbat. Avoir des enfants me permet d'entrer dans ce monde magique et sacré à chaque moment de chaque jour. Je vois Dieu à travers mes enfants. Je parle à Dieu à travers mes enfants. Je suis humble face aux bénédictions qu'Il m'a données.
Il y a eu des moments dans ma vie où, comme tout le monde, je me suis posé des questions sur l'existence de Dieu. Quand Prince sourit, quand Paris rit, je n'ai aucun doute. Les enfants sont pour nous des dons de Dieu. Non, ils sont plus que ça, ils sont une forme absolue de l'énergie, de la créativité et de l'amour de Dieu. On le retrouve dans leur innocence, on l'expérimente dans leur espièglerie.
Mes jours les plus précieux en tant qu'enfant étaient ces dimanches où je pouvais être libre. C'est ce que le Sabbat a toujours été pour moi. Un jour de liberté. Maintenant je trouve cette liberté et cette magie tous les jours dans mon rôle de père. La chose la plus étonnante est que nous avons tous la capacité de rendre chaque jour aussi précieux qu'un jour de Sabbat. Et nous le faisons en nous consacrant à nouveau aux questions de l'enfance. Nous le faisons en donnant notre coeur et notre esprit à ces petites personnes que nous appelons nos fils et nos filles. Le temps que nous passons avec eux s'appelle le Sabbat. L'endroit où nous nous y consacrons s'appelle le Paradis.
Sources: mjfrance et
http://www.beliefnet.com/Faiths/2000/12/My-Childhood-My-Sabbath-My-Freedom.aspx
Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Ce que je voulais plus que tout, c'était être ordinaire. Le Sabbat était un moment où je pouvais l'être.
Par Michael Jackson
Cette histoire a été publiée pour la première fois sur Beliefnet en décembre 2000
Childhood
"Have you seen my childhood ?
I'm searching for that wonder in my youth
Like pirates in adventurous dreams
Of conquest and kings on the throne..."
Dans l'une de nos conversations, mon ami le rabbin Shmuley m'a dit qu'il avait demandé à certains de ses collègues – écrivains, penseurs et artistes – d'écrire leurs réflexions sur le Sabbat. Il m'a alors suggéré d'écrire mes propres pensées sur le sujet, un projet que j'ai trouvé fascinant et opportun suite au décès récent de Rose Fine, une femme juive qui était ma tutrice bien aimée lorsque j'étais enfant et qui a voyagé avec moi et mes frères quand nous étions les Jackson Five.
Vendredi dernier j'ai rejoint le rabbin Shmuley, sa famille et leurs invités pour le dîner du Sabbat qui avait lieu chez eux. Ce que j'ai trouvé particulièrement émouvant, c'est quand Shmuley et sa femme ont placé leurs mains sur la tête de leurs jeunes enfants, et les ont bénis pour qu'ils grandissent comme Abraham et Sarah, ce qui, d'après ce que j'ai compris, est une ancienne tradition juive. Cela me conduit à évoquer mes souvenirs d'enfance, et ce que ce Sabbat signifiait pour moi dans le fait de grandir.
Quand les gens voient les apparitions que j'ai faites à la télévision lorsque j'étais petit garçon – 8 ou 9 ans et à l'aube d'une très longue carrière musicale – ils voient un petit garçon avec un grand sourire. Ils supposent que ce petit garçon sourit parce qu'il est joyeux, qu'il chante de tout son cœur parce qu'il est heureux, et qu'il danse avec une énergie inépuisable parce qu'il est insouciant.
Mais tout en chantant et en dansant, ce qui reste sans doute certains de mes plus grands moments de joie, à cette époque ce que je voulais plus que toute autre chose étaient les deux choses qui font que l'enfance représente les années les plus merveilleuses de la vie, à savoir jouer et se sentir en liberté. Le grand public n'a pas encore vraiment compris les pressions de la célébrité pendant l'enfance, qui, bien qu'excitante, exige toujours d'en payer un prix exorbitant.
Plus que tout, je souhaitais être un petit garçon normal. Je voulais construire trois maisons et aller faire du patin à roulettes. Mais très tôt, c'est devenu impossible. J'ai dû accepter que mon enfance soit différente de celle des autres. Ca m'a toujours fait me demander à quoi pouvait ressembler une enfance ordinaire.
Il y avait cependant une journée par semaine où je pouvais échapper à Hollywood ou aux foules des salles de concerts. Ce jour c'était le jour du Sabbat. Dans toutes les religions le Sabbat est le jour qui permet et requiert que les fidèles prennent du recul avec le quotidien pour se concentrer sur l'exceptionnel. J'ai appris quelque chose à propos du Sabbat juif par Rose, et par la suite mon ami Shmuley a clarifié pour moi le fait que lors du Sabbat juif, les tâches de la vie quotidienne comme cuisiner un repas, faire les courses, ou tondre la pelouse sont interdites, pour que l'humanité puisse rendre l'ordinaire extraordinaire et le naturel miraculeux. Même des choses comme faire les courses ou allumer la lumière sont interdites. Ce jour-là chacun dans le monde arrête d'être ordinaire.
Mais ce que je voulais plus que tout c'était être ordinaire. Alors, dans mon monde, le Sabbat était le jour où je pouvais échapper à ma vie unique et avoir un aperçu de la vie de tous les jours.
Le dimanche était mon jour de prêche, un terme utilisé pour le travail de missionnaire que font les Témoins de Jehovah. Nous passions la journée dans les banlieues du Sud de la Californie, faisant du porte à porte ou distribuant le magazine Watchtower dans les centres commerciaux. J'ai continué mon travail de prêcheur pendant des années et des années après le lancement de ma carrière.
Jusqu'en 1991, à l'époque du Dangerous Tour, je mettais mon costume d'obèse, avec une perruque, une barbe, et des lunettes, pour faire immersion dans l'Amérique ordinaire, visitant les centres commerciaux et les maisons de banlieue. J'adorais mettre les pieds dans ces maisons, où des enfants jouaient au Monopoly ou des grand-mères faisaient du baby-sitting, et toutes ces choses merveilleusement ordinaires, qui pour moi étaient des scènes magiques de la vie. Beaucoup, je le sais, diraient que ces choses sont sans importance. Mais pour moi elles étaient positivement fascinantes.
Ce qui est drôle, c'est qu'aucun adulte n'a jamais suspecté qui était cet étrange homme barbu. Mais les enfants, avec leur super intuition, savaient tout de suite. Comme le joueur de flûte de Hamelin, je me trouvais poursuivi par huit ou neuf enfants dans le centre commercial. Ils me suivaient, murmuraient et gloussaient, mais ils n'ont pas révélé mon secret à leurs parents. Ils étaient mes petits assistants. Hey, vous m'avez peut-être acheté un magazine. Maintenant, vous vous posez la question n'est-ce pas ?
Le dimanche était sacré pour deux autres raisons quand j'ai grandi. C'était le jour où j'allais à l'église et le jour où je répétais le plus. Ca peut sembler aller contre l'idée du repos du Sabbat, mais c'était le moyen le plus sacré de passer mon temps: développer les talents que Dieu m'a donnés. La meilleure façon que je puisse imaginer pour montrer ma gratitude est de tirer le maximum de profit du don que j'ai reçu de Dieu.
L'église était un plaisir en soi. C'était encore une fois une chance pour moi d'être "normal". Les aînés à l'église me traitaient comme ils auraient traité n'importe qui d'autre. Et ils n'ont jamais été ennuyés les jours où l'arrière de l'église était envahi de journalistes ayant découvert ma destination. Ils ont essayé de leur souhaiter la bienvenue. Après tout, même les journalistes sont des enfants de Dieu.
Quand j'étais jeune, toute la famille allait ensemble à l'église dans l'Indiana. Quand nous avons grandi, c'est devenu difficile et ma remarquable et sainte mère finissait par y aller seule. Quand les circonstances ont fait qu'il est devenu de plus en plus complexe pour moi d'y aller, j'ai été conforté dans l'idée que Dieu existait dans mon cœur, dans la musique et dans la beauté, mais pas uniquement en se rendant dans un bâtiment. Malgré tout le sens de la communauté que je ressentais là-bas me manque toujours – les amis et les gens qui me traitaient simplement comme l'un des leurs me manquent. Simplement un être humain. Le partage d'une journée avec Dieu.
Quand je suis devenu père, mon total sens de Dieu et du Sabbat a été redéfini. Quand je regarde dans les yeux mon fils Prince et ma fille Paris, je vois les miracles et je vois la beauté. Chaque jour devient un Sabbat. Avoir des enfants me permet d'entrer dans ce monde magique et sacré à chaque moment de chaque jour. Je vois Dieu à travers mes enfants. Je parle à Dieu à travers mes enfants. Je suis humble face aux bénédictions qu'Il m'a données.
Il y a eu des moments dans ma vie où, comme tout le monde, je me suis posé des questions sur l'existence de Dieu. Quand Prince sourit, quand Paris rit, je n'ai aucun doute. Les enfants sont pour nous des dons de Dieu. Non, ils sont plus que ça, ils sont une forme absolue de l'énergie, de la créativité et de l'amour de Dieu. On le retrouve dans leur innocence, on l'expérimente dans leur espièglerie.
Mes jours les plus précieux en tant qu'enfant étaient ces dimanches où je pouvais être libre. C'est ce que le Sabbat a toujours été pour moi. Un jour de liberté. Maintenant je trouve cette liberté et cette magie tous les jours dans mon rôle de père. La chose la plus étonnante est que nous avons tous la capacité de rendre chaque jour aussi précieux qu'un jour de Sabbat. Et nous le faisons en nous consacrant à nouveau aux questions de l'enfance. Nous le faisons en donnant notre coeur et notre esprit à ces petites personnes que nous appelons nos fils et nos filles. Le temps que nous passons avec eux s'appelle le Sabbat. L'endroit où nous nous y consacrons s'appelle le Paradis.
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Rosaimée- Modérateur
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Mandarine- Admin
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Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Un plaisir de le relire merci Rosaimée
syl- Bloody
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Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Superbe merci rose !
Glaam- Bloody
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Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
De rien les filles, bien d'accord avec vous, c'est superbe!
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Rosaimée- Modérateur
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Age : 68
Localisation : Québec
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Je vous rejoins toutes. On perçoit, une fois encore, le ressenti de Michael vis-à-vis de l'enfance et de cette enfance qu'il aurait tant souhaité avoir.
Vraiment un très beau texte ! :oui:
Vraiment un très beau texte ! :oui:
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Séb.
"Et dans mes petits points sanglants d'où pendaient quatres ailes dorées, je haussais vers le ciel la gloire de mon père en face du soleil couchant." - Marcel Pagnol
Captain Eo- Admin
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Age : 46
Localisation : Ocean Way Studios
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
magnifique :)
"je mettais mon costume d'obèse, avec une perruque, une barbe, et des lunettes "
huuummm :
:ninja:
"je mettais mon costume d'obèse, avec une perruque, une barbe, et des lunettes "
huuummm :
:ninja:
davedave- Modérateur
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Age : 53
Localisation : somewhere over the rainbow
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Quand je revois cette photo du hatman que tu as posté Dave Dave, j'arrive pas à m'empêcher de penser et trouver que sa main droite, avec le gant, ressemble beaucoup à la forme du pouce de Mike vous en pensez quoi ??
syl- Bloody
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Localisation : rhone
Mandarine- Admin
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Age : 45
Localisation : Martigues
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Je n'avais pas vu le gant :o et pourquoi porter UN gant ?! encore plus troublant notre hatman :lol:
mais là on est un peu beaucoup énormément HS :D
mais là on est un peu beaucoup énormément HS :D
Glaam- Bloody
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Age : 37
Localisation : 78
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Très beau texte merci rose :(
Indana- Bloody
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Age : 41
Localisation : Lexy (54)
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
On va sur un autre topic les filles, sinon Mandarine va pas être contente du HS :fouet:
BeLIEveuse-du-974- Book II
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Age : 25
Localisation : Là où sont les rêves résident avant de nous joindre pour la nuit.
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Ca y est c'est fait
syl- Bloody
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Age : 58
Localisation : rhone
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Ce fut très émouvant de lire ce texte, surtout sur le passage de son enfance. Merci beaucoup.
Annie are you ok- Thrilled
- Messages : 49
Age : 53
Localisation : 62
Re: Mon enfance, mon Sabbat, ma Liberté.
Bonjour Annie! On te voit rarement sur les topics, contente de te rencontrer aujourd'hui.
De rien, je suis tellement d'accord avec toi. Moi c'est quand il parle qu'adulte il se déguisait pour faire du porte à porte et aimait voir le quotidien des gens. Ça m'émeut beaucoup.
Surtout que la plupart d'entre nous aurions donné beaucoup pour entrer dans sa demeure et voir son quotidien à lui. Ou pour aller dans son Neverland et espérer entrer dans son repère, ou au moins le rencontrer sur le terrain!
De rien, je suis tellement d'accord avec toi. Moi c'est quand il parle qu'adulte il se déguisait pour faire du porte à porte et aimait voir le quotidien des gens. Ça m'émeut beaucoup.
Surtout que la plupart d'entre nous aurions donné beaucoup pour entrer dans sa demeure et voir son quotidien à lui. Ou pour aller dans son Neverland et espérer entrer dans son repère, ou au moins le rencontrer sur le terrain!
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Rosaimée- Modérateur
- Messages : 8431
Age : 68
Localisation : Québec
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