Annonce de l'estate

[Eddith]

Slave to the rhythm dans une pub pour sony mobile

L'Estate de Michael Jackson et Epic Records sont trés heureux du nouveau partenariat avec Sony Mobile annoncé ce matin au Mobile World Congress de Barcelone. Nous sommes excités que l'utilisation du nouvel enregistrement solo de Michael Jackson "Slave To The Rhythm", soit utilisé dans la pub de 90 secondes pour le nouveau téléphone Xperia Z2.

Slave To The Rhythm” est une chanson enregistrée lors des sessions pour l’album “Dangerous” [cf. News du 21/08/2013].
Les fans connaissent notamment par le biais d’Internet des versions retravaillées à l’époque posthume.

La publicité offre également une version remixée de quelques secondes du titre.



Le marketing musical n’est pas nouveau [cf. notre dossier "MJ et la Pub" dans "Michaelzine" #5]. Tôt dans sa carrière solo, MJ a associé sa musique à la vente de nouveaux produits.



Aujourd’hui, le marché de la téléphonie représente un enjeu économique important et il n’est donc pas étonnant que la musique d’artistes majeurs soit utilisée dans ces campagnes publicitaires.

Pas étonnant donc mais reste à savoir si cela est du goût de tout le monde.

En 2010, l’Estate avait recalé le titre “Slave To The Rhythm” de l’album posthume “Michael” et préféré vendre à la place aux fans un support contenant des “fake“.

Quoi qu’il en soit l’avis des uns et des autres compte puisque Sony s’adresse à eux en tant que consommateurs et que chacun a le droit d’avoir une opinion sur le produit qu’on souhaite lui vendre ainsi que sur la forme et les moyens utilisés par l’entreprise pour arriver à ses fins.

Sources : The Estate of Michael Jackson / MJLegend
24/02/2014
BIGBROTHER

[Eddith]

L'Esate s'apprête à faire une annonce aujourd'hui lundi 31 mars sur le site officiel michaeljackson.com à partir de 14h (heure française)....


Restez connectées ;)






Source: MJOnline The Official Online Team of The Michael Jackson Estate / MJ-Upbeat.com


 

[Eddith]

L'Internal Revenue Service dit qu'il a fait une erreur dans l'évaluation de la succession de Michael Jackson. Non, l'IRS n'a pas abandonné sa revendication beaucoup discuté pour $ 702,000,000 en impôts et pénalités supplémentaires-un projet de loi de la succession de Jackson se bat en Cour de l'impôt des États-Unis. Au lieu de cela, l'administration fiscale est upping sa demande de 29 millions de dollars à près de $ 731 000 000.

Dans un dépôt au tribunal non déclarés antérieurement, le gouvernement dit que les vérificateurs de l'IRS d'abord pensé le Roi de la Pop ne détenait plus que 50% de certains enregistrements originaux à sa mort en Juin 2009, quand il appartient vraiment à 100% d'entre eux. Cet intérêt de 100% était 91 millions de dollars par l'IRS déterminer, par rapport à 11 M $ sur la déclaration de succession Jackson.

Le changement apporte évaluation de l'IRS de succession et de durée de vie cadeaux imposables de Jackson jusqu'à $ 1,178 milliards, comparativement à 7 millions de dollars de la succession signalé. L'IRS veut maintenant un total de $ 525,6 millions en impôt et $ 205,1 millions en anomalies significatives de l'évaluation et la négligence des sanctions graves. (Tout intérêt dû sera au-dessus de cela.) Des deux cours de l'IRS et les valeurs de l'immobilier sont mieux considéré que l'ouverture des offres dans ce qui pourrait être une longue négociation. Un procès, s'il en existe un, est loin.

En effet, dans un rapport de situation conjoint déposé auprès de la Cour de l'impôt le mois dernier, les avocats pour le gouvernement et la succession dire que pendant qu'ils sont à proximité de régler quatre relativement petites questions et ont évaluateurs duel discuter de la valeur des biens meubles corporels de Jackson, ils don 't s'attendent à une résolution rapide des grands enjeux de dollars dans l'affaire. Ceux concernent la valeur des biens incorporels et intellectuelle de Jackson (son nom, son image et ses intérêts dans la musique, il a écrit ou réalisées) ainsi que la valeur des deux fiducies il a apparemment mis en place pour emprunter sur ses actifs et de transférer des actifs à ses héritiers à coût fiscal minime au cours de sa vie.

Les deux fiducies détiennent les droits d'édition musicale de Michael Jackson ainsi que sa participation de 50% dans une édition entreprise de musique en collaboration avec Corp Connu sous le nom de Sony / ATV Music Publishing, l'entreprise est la plus grande société d'édition de musique dans le monde et possède ou administre des millions de chansons, y compris les chansons des Beatles Jackson ont acheté dans les années 1980. Le domaine a placé la valeur des actifs transférés par les deux fiducies à seulement 2,2 millions $, alors que l'IRS dit la valeur imposable était $ 527,5 millions.

Forbes rédacteur en chef Zack O'Malley Greenburg , qui a écrit un livre récent sur ​​l'entreprise empire Jackson , estime la succession Jackson a gagné plus de 700 millions de dollars depuis la mort de la chanteuse, que sa musique a eu une résurgence, avec les nouvelles versions, deux Cirque du Soleil montre basée sur son travail, le film de concert This Is It et même un contrat de sponsoring avec PepsiCo PepsiCo . Mais au moment de sa mort, l'économie était dans les décharges et l'image de Jackson était considérablement moins d'or, en partie en raison d'allégations de pédophilie. C'est la valeur de son image à la mort qui compte pour les droits de succession.

Le domaine évalué le nom et l'image de Michael Jackson à un badinage $ 2105, alors que l'IRS soutient qu'ils valaient $ 434 000 000. Malgré les circonstances particulières entourant Jackson, la résolution pourrait affecter la façon dont les autres domaines de célébrités sont imposables dans l'avenir.

La valeur de l'image d'une célébrité était également en cause dans deux décisions de la Cour de l'impôt des États-Unis ces dernières impliquant l'imposition du revenu des visas et de l'apparence des honoraires payés à des golfeurs professionnels Sergio Garcia et Retief Goosen et est un problème dans une affaire de Cour de l'impôt en cours impliquant meilleur auteur du crime de vente Karin Slaughter . Ironiquement, dans ces cas, l'IRS a essayé de maximiser le prélèvement fiscal de l'Oncle Sam en minimisant la valeur de cette propriété intellectuelle, tandis que les contribuables ont fait valoir (et les juges fiscaux ont accepté) que l'image d'une célébrité a une valeur importante.

Suivez Janet Novack sur Twitter
Forbes personnel


 

[Contenu sponsorisé]