Re: Témoignages de gens qui ont côtoyé ou rencontré Michael. Artistes, des gens qui ont travaillé avec lui, ou pour lui, des amis, de gens de sa famille etc...

[Hamlet]

Michael Jackson, la crème glacée et la gentillesse



Il se mit à rire.
marche Arrêté, me regarda et dit:
- Ok, donnez-moi votre carte.







Roney Giah
Roney Giah
Son nom était Michael Jackson.

J'étais un étudiant en musique à Los Angeles et c'était ma première semaine en Amérique. L'histoire qui précède cette scène et sa poursuite est un peu simple, sauf pour la magie qui l'entoure.

C'étaient mes premiers jours dans MI (Musicians Institute), un collège de la musique à Los Angeles où j'ai étudié de 1993 à mi-1994. Je venais de trouver un endroit pour vivre à louer, dans un garage d'une maison à Highland Park - 15 minutes du centre-ville de Hollywood. Une maison calme où j'ai vécu les 16 mois que j'ai passés là-bas, dont la douce propriétaire est devenu une grande amitié que je porte à ce jour.

Dans la première semaine d'école, j'ai eu l'occasion de prendre quelques cours avec Jennifer Batten, guitariste de Michael à l'époque, qui a secoué le monde avec ses virtuoses solos de guitare et une énergie incroyable.

Sur mon premier samedi aux Etats-Unis, après mon premier jour au collège, j'ai été invité par Jorge Briozzo, le propriétaire de la maison douce, à savoir la plage de Santa Monica, puisque je n'ai pas de voiture. Très cool.

Il faisait chaud, mais pas trop, différente de l'enfer habituel de la côte brésilienne. Après notre temps sur la plage, autour 4p.m, nous allions chercher la voiture dans le parking de rentrer chez eux quand j'ai entendu un klaxon et Jorge m'a pris par le bras et lui dit doucement, essayant de ne pas remuer les lèvres:

- Ce gars en vert qui Cherokee agitant et klaxonnant à nous est Adrian, un de mes amis. Si il nous invite à déjeuner, lui dire «non». La dernière fois, il m'a pris à un restaurant très cher ici à Malibu et il m'a fallu quatre mois pour payer la facture.

J'ai ri de l'histoire et ensuite nous sommes allés rencontrer Adrian. Avec la fenêtre ouverte et souriante, très sympathique, il nous a accueillis excité, a demandé ce que mon nom a été et après une brève introduction, sans ménagement dit:

- Ayons le déjeuner?

Jorge a dit non immédiatement. Adrian insisté. Jorge a dit que le parking allait être cher, il était tard et nous venait de manger des falafels. Adrian a répondu:

- Et alors?

Brésilienne et franc, j'ai arrêté cette conversation ridicule, admettant:

- Vous savez ce que Adrian ... nous sommes fauchés. Ainsi, il doit être un endroit peu coûteux ou vous nous aider à payer la facture (dans ce cas, patient lecteur, il était clairement la sécurité financière).

Adrian cessé de sourire, regarda rapidement - comme il a été fait le calcul mental - et répondit:

- Bien sûr, dépêchez-vous avant que je change mon esprit. Et ri à ses propres mots.

Nous sommes allés au premier restaurant; fermée (4.pm). Adrian a dit:

- Je connais un gentil qui est ouvert.

Une minute plus tard, toujours à Santa Monica (où Michael a vécu) et assis sur le siège arrière, ce que j'ai vu était mathématiquement improbable: par la réflexion dans le miroir de verre de la fenêtre d'un café français dans la rue, j'ai vu une porte de un GMC blanche limousine ouverture et abandon de Michael Jackson. Je ne sais pas si je me suis fait clair, mais juste pour le dossier: Si vous étiez un ou peut-être deux secondes de retard ou qui sait à l'avance, ou même assis dans le siège avant, je n'aurais pas l'angle pour voir le reflet de cette fenêtre et par conséquent voir Michael ouvrir la porte. Tout semblait trop curieux.

Mais il était clair pour moi ce que je devais faire. J'ai parlé avec tout le manque d'intimité que j'avais à la propriétaire de la voiture:

- Adrian ... arrêter la voiture. Michael Jackson entre dans un café à côté de la rue.

- Qui?

- Michael Jackson.

- Comment savez-vous?

- Je l'ai vu.

- Que faire si c'est un imitateur?

- Dans un demi-million de dollars de limousine?

Adrian - très bon en mathématiques - voix, mais ne s'arrêtent pas la voiture. J'ai parlé d'un ton plus anxieux:

- Adrian, arrêter la voiture, s'il vous plaît.

- Même si c'est lui, que ferez-vous?

Nous avons échangé des regards dans le rétroviseur et il a compris que je n'allais pas lui donner à ce facile.

Nous nous sommes arrêtés la voiture et j'ai couru vers le café. Avant d'entrer, j'ai regardé à l'intérieur de la limousine, trois gardes de sécurité jouaient aux cartes. Au café - vide - un vieux couple jouissait d'une crème glacée. J'ai demandé le seul garçon que j'ai vu, qui séchait verres:

- Où est Michael?

- Qu'est-ce que Michael?

Je déchiffré l'énigme immédiatement: croyez-le ou pas, Michael Jackson a cessé d'aller à la salle de bain et personne ne l'a vu entrer. J'ai cherché dans la salle de bain et rien ... l'endroit était immense. Jusqu'à ce que je voyais de l'autre côté du comptoir, une ouverture de porte et Michael départ.

Adrian, qui était déjà entré et était là, l'accueillit avec joie. À pas précipités j'arrivai Michael: lunettes de soleil Ray-Ban miroir, l'épaule d'or, pantalon noir et chemise noire (sans le fameux costume frontale d'or, dans un style plus "casual") Il me salua. Avec ses mains dans sa poche et très détendue, se tenait, comme s'il attendait une conversation (parce que dans mon esprit, il me l'aurait salué et laissé à la hâte). Choqué par l'intérêt soudain, j'ai dit:

- Vous savez, je prends des leçons de guitare avec Jennifer ...

- Vraiment?

Et ... à l'improviste ... j'étais là parle musique à Michael Jackson avec du sable sur mes pieds. Nous avons parlé de la guitare, il aimait le style de Jennifer, sa bande, musique. Jusqu'à ce qu'il m'a demandé d'où je venais et j'ai dit que j'étais en provenance du Brésil.

- Vraiment?

Et d'un ton plus gai, dit:

- Le type, j'aime le Brésil ...

J'ai demandé pourquoi il n'avait pas encore joué au Brésil (Février 1993 était ... J'aime bien évidemment à penser que le seul spectacle qu'il a fait ici a dix mois plus tard à voir avec notre conversation). Il m'a demandé si je pensais que les gens allaient au spectacle. (LOL)

- Est-ce que vous plaisantez? Vous pouvez facilement avoir plus de fans là-bas qu'ici.

Il rit. Ensuite, a commencé à se déplacer vers la porte de sortie lentement. J'ai pensé, "Gee, c'est fini ..." et j'ai demandé:

- Vous avez besoin d'aller, non?

- Non ... Je veux la crème glacée ... Voulez-vous un?

(Riiiiiiiiiight ...)
- Bien sûr. (Gee, comment surréaliste c'est d'écrire à ce sujet)

Mais à l'extérieur, une autre réalité s'est approché: Il y avait des adolescents en attente pour lui, peut-être parce qu'ils estimaient qu'ils ne pouvaient pas entrer ... Je ne sais pas. A ce moment, j'ai remarqué que mon moment d'intimité avec lui était plus. Je l'ai dit sans y penser:

- Michael, je voulais jouer avec vous. Vous accompagner à la guitare me donner de l'inspiration pour toute une vie.

Il s'arrêta et se retourna. Avec un doux sourire, il m'a remis l'expression la plus confiant que je l'ai reçu dans une carrière de 20 ans répondant à tous les artistes que la vie m'a permis de savoir. Hochant la tête, ses yeux et son visage dit: «Voilà garçon. C'est l'attitude. "

Il a répondu rapidement:

- Ok, donnez-moi votre carte.

- Je n'ai pas encore de carte. Je suis arrivé du Brésil il ya une semaine.

Michael vit un vase décoratif sur la table, le souleva et prit un papier qui était sous elle.

- Regardez ... Donnez votre numéro ici.

J'ai écrit mon téléphone (le numéro de Jorge Briozzo, en fait) pris en charge sur ses épaules.

Il a quitté. Les adolescents l'ont attaqué.

Je me suis éloigné et assis, abasourdi. Je l'ai vu prendre de la crème glacée, mais la petite foule grandi et il a couru dans sa limousine avec de la crème glacée à la main. Avant d'entrer, il s'arrêta et regarda à l'intérieur du café, comme si vous regardiez pour moi. J'ai pensé: "Il ne peut pas être vrai ..." Mais il était. Il est venu près de la porte, me voyant assis. Prit le papier avec mon téléphone de sa poche et le secoua dans l'air, comme pour dire: «Vous êtes **** tion courageux frère ..."

J'ai passé un mois collée sur le téléphone. J'ai acheté de nouvelles bandes de répondeur. Mais il n'a pas appelé ... sniff

Le seul commentaire de Jorge ce jour-là: «Je ne peux pas le croire! Michael Jackson a mon numéro! "Lol

Sa présence était calme et était de loin l'étoile la plus humble de pop que j'ai rencontré, que je parlais. Il m'a traité comme un égal, malgré sa grandeur évidente.





Deux mois plus tard, j'ai quitté l'université pour le déjeuner. Je marchais à Los Angeles dans les ruelles (ces ruelles qui apparaissent dans les films). Soudain, marche seul, je vois un GMC de limousine blanche venir vers moi très lentement dans la voie étroite - pour piétons seulement, d'ailleurs ... Vous plaisantez? N ° La destination ne plaisantait pas.

C'était la voiture de Michael avec quatre policiers qui l'accompagne vers moi. J'ai dû arrêter. Je ne pouvais même pas me tiens à côté de la fenêtre, car il était trop étroite pour le passage de limousine. La limousine s'arrêta. La porte s'ouvre. Michael gauche.

Il n'y avait que moi là-bas. Je me suis approché d'un policier et il a fait un signe de la main, "reculez." Michael a remarqué la tension et me regarda. A cessé de marcher et sourit comme s'il me connaissait, mais ne se souvient pas d'où. Il hésita, est venu vers moi, mais la police a mis la main sur son dos et il s'est arrêté. Il a placé son index sur sa montre (même en utilisant pas de montre), comme pour dire: «Eh ... je suis en retard ... sinon je arrêter de parler."

J'ai souri. Il agita. J'ai couru à la rue. Il y avait une cérémonie au Musée de cire de sa statue de cire sur Hollywood Boulevard.

Ici au Brésil, il ya cinq ans, de boire un vin avec Paulo Ricardo de bande de RPM, Luiz Carlini et les gens de boîte de nuit où j'ai joué, o Marcenaria, Luiz Carlini m'a dit que Michael lui a donné une pédale Wha Wha quand ils se sont rencontrés dans les coulisses après un Jackson 5 montrent à Sao Paulo.

Le roi de la gentillesse.
Le roi de la danse.
Le roi de la musique.
Le Roi de La Voix
du Roi de la Pop

Il n'y aura pas un autre comme lui.

Bisous, mon frère, qui nous ont aidé à rêver sans même le savoir.

par Roney Giah (musicien brésilien) - 26 juin 2009

L'histoire d'abord publié sur le site Web de Roney Giah .
Traduit de l'anglais par pollys2




       
 

[Eddith]

Note: L'histoire suivante s'est déroulée lors du séjour de Michael Jackson à Las Vegas à l'été 2002. Grace, dont il est question dans le récit, est la nourrice des enfants de Michael Jackson (Prince et Paris)

. "Nous conduisions derrière la limousine de Michael, il était avec Grace, Prince, Paris et deux gardes du corps. Il s'est arrêté à un célèbre magasin de souvenirs, alors nous nous sommes garés sur le parking avec notre petite voiture MAIS la limousine de Michael était trop grosse pour traverser le parking et se garer juste devant la porte du magasin.

Alors il a dû se garer loin de l'entrée et pour atteindre le magasin, il devait traverser tout le parking à pied (sa sécurité gare habituellement la voiture juste devant le magasin de manière à ce que personne ne l'empêche de rentrer). Donc les deux gardes du corps étaient avec lui, les enfants et Grace sont restés dans la voiture avec le chauffeur.

Nous l'avons vu se diriger vers le magasin de souvenirs et on a dit un truc du genre "s'ils ferment la porte après que Michael soit rentré, nous n'essaierons pas de rentrer, mais s'ils laissent le magasin ouvert, eh bien, nous irons".

Grâce à Dieu, ils ont laissé le magasin ouvert! Alors... devinez quoi?
Nous sommes entrés. Et nous étions trois à entrer dans le magasin et à chaque fois que quelqu'un rentrait, il y avait une cloche qui sonnait (un genre de **BLING BLING**) donc 3 personnes en même temps, ça a fait un énorme bruit **BLING BLING BLING BLING BLING BLING** dans le magasin, donc bien sûr Michael l'a remarqué et a explosé de rire quand il nous a vus. Nous nous demandions pourquoi et plus tard dans la soirée, un garde du corps nous a expliqué "quand Michael a quitté l'hôtel, il a commandé des pizzas pour nous, et comme il a décidé d'aller faire du shopping, on n'a jamais eu les pizzas... et on croyait que c'était ça".

Après, nous avons pris des petits sacs pour porter les articles que Michael voulait acheter, il a pris des tonnes de souvenirs dans le magasin, il les mettait dans les sacs, nous y ajoutions quelques articles dont nous pensions qu'ils seraient sympa pour lui.

Nous lui avons dit que nous l'invitions à faire un tour sur l'attraction située au sommet d'un hôtel (Hot Shot of the Stratosphere) et il nous a dit qu'il avait trop peur (rires)... Il s'est ensuite tourné vers ma petite amie et lui a dit "Je t'emmènerai faire du shopping avec moi".

Pendant que nous lui portions ses achats avec les gardes du corps, Michael signait des autographes aux quelques clients présents à l'intérieur, c'est alors qu'il a été interpellé par un policier qui voulait vraiment lui parler.
Quand Michael s'est tourné, il a vu le policier noir, dont le visage, les bras et les mains étaient moitié blancs moitié noirs, nous avons remarqué que le policier avait la même maladie de peau que Michael. C'était complètement imprévu, je veux dire par là que le policier était dans le magasin juste comme ça, il ne savait même pas que Michael allait y être aussi, il n'y avait pas de sécurité spéciale pour Michael, juste ses deux gardes du corps (qui s'occupaient plus de ses achats que de faire la sécurité car l'atmosphère était très calme dans la boutique, personne ne se ruait sur Michael).

Je n'ai pas écouté la conversation entre Michael et le policier, mais la seule chose que j'ai entendue, c'est quand Michael lui a dit
"Maintenant, vous comprenez ce que j'ai" (Michael tenait les mains du policier entre ses deux mains).
C'était vraiment un bon moment. Ils se sont donnés l'accolade et il est parti. Michael était si attentif et est resté à parler au policier pendant 5 minutes. Il l'a écouté avec la plus grande attention et semblait vraiment honoré de rencontrer ce policier. Ils était vraiment tous deux très heureux de se rencontrer.

Toute cette séance shopping dans le magasin de souvenirs a duré plus d'une heure. Ensuite, il a quitté le magasin, nous étions derrière lui à marcher dans le parking et quelques jeunes noirs ont dit "Yo Michael!", ils étaient vraiment drôles, Michael a même fait une photo de groupe avec tous ces garçons noirs qui semblaient venir d'un ghetto, tellement heureux de voir Michael, ils lui parlaient comme s'il était leur pote, j'ai vraiment aimé la manière dont ils lui parlaient, c'était tout simplement tordant!

Arrivés devant la limousine, Michael s'est tourné vers nous et nous a dit "Allez, je vous offre un tour" et nous sommes montés dans sa voiture et avons passé le reste de la soirée avec lui, Grace et les enfants. Michael a tenu sa promesse quand il nous avait dit quelques jours auparavant qu'il nous emmènerait faire du shopping avec lui.

Cette scène du policier était vraiment le meilleur moment de la soirée, je regrette de ne pas avoir pu prendre de photos d'eux en train de se tenir les mains, ils étaient vraiment attendrissants".

Source: Elusive Shadow


 

[Eddith]

Compte rendu d'un fan américain ayant eu la chance d'assister au séminaire,

Nous sommes dans un petit studio situé dans un centre de location d'instruments de musique sur Sunset Boulevard à Los Angeles. La salle est pleine à craquer, les fans sont assis dans des rangées de chaises en face d'une scène étroite. Sur scène, il y a Brad Sundberg, ingénieur assistant de Michael Jackson et l'organisateur de cet événement, et aussi son ami, l'ingénieur du son Brian Vibberts, ils occupent deux chaises de bar et regardent le public d'un œil bienveillant. Brad Buxer connait Michael depuis longtemps, il est assis derrière un clavier/synthé. Michael Prince est là également, il recherche des sons sur son MacBook.  L'ancien bassiste de Michael, Sam Simms n'est lui pas encore arrivé; il va nous rejoindre un peu plus tard.

C'est alors un voyage dans le passé, plein d'histoires et de musique qui commence. Tous les invités de l'événement ont beaucoup à dire au sujet des années passées à travailler avec Michael, mais la "star" de cette soirée est clairement l'homme derrière le clavier : le légendaire Brad Buxer. L'événement, après tout, est appelé "x2 Brad" et est entièrement consacré à cet homme discret et à peine connu du grand public malgré son apport majeur à l'œuvre de Michael Jackson. Brad Buxer, partenaire créatif de Michael, arrangeur et directeur musical a travaillé pendant 17 ans avec l'artiste. La plupart des fans de MJ se souviennent de Buxer dans les années 90 : un gars avec une crinière de longs cheveux blonds à la Robert Plant . (Buxer confiera plus tard que c'est MJ qui a insisté pour qu'il se teigne les cheveux en blonds - après avoir abandonné le plan initial qui était qu'il se teigne carrément en rouge !)

Eh bien, ces temps sont révolus depuis longtemps. Aujourd'hui, Buxer porte les cheveux courts, couleur naturelle, un pantalon noir et une chemise lâche, comme un gars ultra ordinaire que vous n'auriez jamais soupçonnez d'être un musicien de rock à vrai dire. Il ne parle pas de son travail avec Michael Jackson très souvent. En fait, depuis la mort de Michael, Buxer a donné une seule interview - à un fanzine français "Black & White" en 2009 justement, il travaille maintenant comme  pilote professionnel et écrire de la musique n'est plus qu'un passe-temps pour lui.. Il a accepté de rencontrer les fans de MJ pour un soir seulement, donc pour nous cet événement est tout à fait rare et magique.

Buxer semblait très timide et parlait doucement au début de la conférence, mais on s'est vite rendu compte qu'il est en réalité un homme ouvert et plutôt marrant. En revanche il ne gouaille pas avec les fans comme Brad Sundberg et quand il le fait, ses blagues sont plus pince-sans-rire. Il commence par nous dire comment lui et Michael ont commencé à travailler ensemble. MJ l'a en fait repéré lorsqu'il était membre de la bande de Stevie Wonder à la fin des années 80 et il l'a alors invité à travailler sur le projet dangerous. Après cela, Buxer rejoint naturellement la tournée Dangerous. Ils ont fini par travailler ensemble pendant près de deux décennies - sur scène, en studio, à Neverland, dans les hôtels où Michael se trouvait à divers points de sa vie et ce, jusqu'au bout.


 Buxer se souvient de leurs chambres luxueuses au "Four Saisons" hôtel à New York, où ils ont pris tout le 34ème étage de l'hotel !!!. Il se souvient aussi du temps passé au ranch de Neverland....voir les animaux du zoo de Michael - ses singes, les éléphants, les lamas et les cerfs, - il se souvient avoir manger trop de friandises dans la salle de cinéma et aussi de sa moto sur le bord de la piscine de Michael (ce que Michael n'aimait pas du tout). En parlant de Neverland, Buxer mentionne aussi qu'il n'y avait aucun véritable studio d'enregistrement là-bas, et ils ont dû utiliser des engins portable pour pouvoir enregistrer correctement les démos. En général, ils ont travaillé sur des idées de chansons au ranch, puis ensuite sont allé vers un studio professionnel pour faire un bon recodage des pistes audios.

Après avoir brièvement travaillé sur ​​"Blood On The Dance Floor", un titre de Teddy Riley qu'ils devaient finalisé à partir d'une cassette DAT à Montreux, en Suisse, Buxer parle de ses collaborations directes avec Michael. Contrairement à des chansons qui ont été amenées à Michael par d'autres producteurs, les chansons qu'ils ont fait ensemble étaient des créations de Michael. Son apport artistique.
 La première piste dont Brad décide de parler est «In The Back», publié sur The Ultimate Collection en 2004 La chanson n'est pas terminée au niveau des paroles-., Pour la plupart, Michael ad-libs son chemin à travers les couplets. Néanmoins, Buxer mentionne cette chanson comme un témoignage véritable du génie de Michael. Il montre la structure de la chanson, de commencer à compter les temps, "Un, deux, trois, quatre." Le premier temps tombe sur le premier la basse, et comme il compte tout le chemin vers le pont, nous remarquons que le pont commence aussi sur un compte de «un», comme il se doit. Les paroles, cependant, sont décalés complétement par rapport à la musique et ne correspondent pas à ce modèle. Buxer explique alors que Michael renverse complétement le beat dans sa technique de chant et ouvre des perspectives nouvelles lorsque les refrains s'enchainent aux couplets. Ce changement de tempo est typique du génie de Michael en studio selon lui.  Buxer souligne ensuite que cette chanson a été entièrement écrite à 100% par Michael . Pour prouver ses paroles, il nous fait alors entendre un enregistrement audio de Michael lui expliquant au téléphone comment exactement la musique doit sonner sur tel ou tel passage, c'est bluffant.
Dans sa manière habituelle, Michael relaie chaque partie instrumentale avec sa voix et en beatboxing: la batterie, la basse, tout y passe- Michael passe environ 5 minutes rien que pour expliquer l'intro de la chanson, puis demande: «D'accord?", Comme pour s'assurer que l'arrangeur a compris ce qu'on attend de lui. Michael a écrit la chanson entière avec cette structure en "turn-over" dit Buxer, et il montre là quel génie il était. Personne ne pouvait le faire, mais lui si.

Puis Buxer continue en parlant de "Stranger in Moscow." Cette chanson contient sa plus grande contribution sur tout le matériel qu' il a travaillé avec Michael, et Brad ne cache pas que cela signifie beaucoup pour lui. Son émotion est palpable. Il lit toute la description sur la chanson du livre de Joe Vogel - l'histoire de la création de la chanson est bien documenté. Même si Buxer n'est pas crédité dans les notes de pochette album, il est en fait un co-auteur de la chanson, c'est lui qui est venu avec les accords. Buxer explique que lui et Michael pouvait travailler ensemble de deux manières différentes. Souvent, Michael avait déjà la mélodie dans la tête, et le travail de Buxer était de jouer cette mélodie sur le clavier comme Michael l'avait entendu dans sa tête et trouver un arrangement qui correspondent à la mélodie. Telle était leur travail sur "Heal The World", "In the back", "childhood", "Beautiful Girl" et des tas d'autres chansons. Avec "Stranger in Moscow", c'était différent: Michael a demandé à Brad de jouer des accords jusqu'à ce qu'il entende quelque chose qu'il aimait. ça parait fou mais Buxer dit que la chanson a été entièrement écrite en environ 1 ou 2 heures, et quand il eut fini, il ne pouvait pas croire ce qui s'était passé. "Je voulais dire quelque chose, comme, 'Wow, nous venons d'écrire une chanson ensemble?», Se souvient Buxer.  Il ne tient pas rancune de ne pas être crédité sur l'album, après tout "Des erreurs se produisent tout le temps concernant les crédits,» dit-il. "Et puis Michael a toujours été très généreux avec moi." Il est clair que l'expérience elle-même est beaucoup plus importante pour lui que son nom dans le livret. C'est un homme intègre et de passion.

 Une autre chose que Buxer mentionne sur "Stranger in Moscow" est le son de batterie qui a été fait bien entendu des échantillons de beatboxing de MJ par tranchage et compression de ses sons naturels. Buxer dit que, avec Michael, il a utilisé les beatboxing de Michael assez souvent parce qu'ils sonnaient d'une manière  fantastique. Il avait un don pour cela aussi.
 La prochaine chanson dont nous discutons est «Childhood. Brian Vibberts le rappelle, la chanson a été enregistrée le 27 Juin, 1994 "Childhood" est une autre chanson qui a été imaginé et écrit entièrement par Michael, et Buxer dit qu'il lui a fallu un certain temps pour trouver le bon arrangement pour celui-ci, ça n'a pas été facile. «C'est une chanson douce", dit-il. "Je ne pourrais jamais écrire quoi que ce soit si doux." Mais encore une fois, Michael était très particulier sur ce qu'il voulait entendre et a continué à travailler avec Buxer jusqu'à ce qu'il retranscrive exactement les bons accords pour lui.
 Après une courte pause, la discussion se déplace sur les tournées et les spectacles. Buxer nous décrit le travail d'un directeur musical - comment il devait souvent préparer les spectacles à l'avance alors que le groupe passait du temps au bar de l'hôtel en bas, et comment il a  donné des instructions aux musiciens. Il explique que les chansons étaient généralement accélérées pour les spectacles, et puis le tempo a été abaissé pour amener les instruments à leur son naturel. Il a des mots très aimables pour Michael David Williams qui, dit-il, était absolument génial et amusant. Buxer aborde également le sujet des dépenses et pourquoi les spectacles ont souvent perdu de l'argent: les cinq avions de ligne qu'ils devaient réserver et les factures d'hôtel se révélaient être de véritables gouffres financiers.
 Buxer se souvient de quelques moments drôles des concerts: comment ils ont dû pousser Slash sur scène pendant "Black or White" parce qu'il n'avait aucune idée à quel moment dans la chanson il était censé faire son solo de guitare, et comment Michael cria le nom de Brad ("Brad,  tu me fais quoi là ?") pendant le concert royal Brunei quand Buxer a joué l'outro de "I just can't  Stop Loving You" plus longtemps que nécessaire. Il raconte aussi une histoire à propos de Bill Clinton (selon Buxer, le mec le plus sympa du monde et un bon ami de Michael) qui voulait jouer du saxo sur "Black or White" au cours de la performance live à l'Apollo en 2002. Buxer a même dû écrire une partie de saxophone pour lui - qui ne cadrait pas vraiment à la chanson et n'a finalement pas été utilisé.

Tout comme Brad Sundberg le rappel souvent, Buxer mentionne que Michael écoutait de la musique atrocement fort. Sur scène, le volume des haut-parleurs secondaires était si élevé qu'il était douloureux d'être là entre eux. Mais Buxer dit aussi que malgré tout cela, il n'a jamais remarqué une perte de l'ouïe chez Michael. Michael aimait sa musique assourdissante, mais quand Buxer jouait un arrangement de cordes délicates pour lui au téléphone, MJ savait apprécier la délicatesse aussi.
Au cours de la question & réponse partie, quelqu'un a demandé à Buxer des détails sur la chanson "Morphine" - un autre chef-d'œuvre ingénieusement écrit par Michael. Buxer dit que MJ voulait avoir le son des machines d'hôpital qui contrôle le rythme cardiaque....un son qui ferait ressentir à l'auditeur comme s'il était sur la table de réanimation avec Michael.

Il y eut des questions sur les paroles de la chanson ensuite, mais Buxer répondu visiblement gêné qu'il ne se souvenait pas, même lorsque les paroles ont été écrites. Il était souvent en retard dans le processus ou même au dernier moment, alors que la majorité de son travail était sur ​​la musique.

Peut-être que c'était l'une des raisons pour lesquelles Buxer, comme la plupart des collaborateurs de Michael nous avions rencontrés, ne semblent pas apprécier les remixes et les nouveaux arrangements des chansons de Michael dans les projets posthumes. "Michael était un architecte [de la musique]," at-il dit. "Si vous voulez voir le bâtiment tel qu'il a été envisagé, vous devez garder la vision de l'architecte." Il a mentionné "Billie Jean" - une chanson avec deux lignes de basse que Michael a construit intentionnellement et qui son l'âme du morceau. Si quelqu'un d'autre a fait la musique de cette chanson, a estimé Brad, ils n'auraient pas fait cela. Michael a travaillé sur ses chansons pendant des années, et il a vraiment mis un effort pour faire de la musique aussi bien qu' humainement possible. Parfois, selon Buxer, Michael a même critiqué d'autres artistes pour ne pas travailler leurs chansons au maximum de leur potentiel. Pour Michael rien n'était jamais terminé, c'était un  perfectionniste maladif.

Une chose que Buxer a souligné tout au long de la conversation (et c'est quelque chose que d'autres collègues de Michael mentionnent souvent ) c'est le principe clé de la musique qui a été suivi par Michael et Stevie Wonder: "Less is More." La chanson ne doit pas être rembourré avec des sons; il ne devrait pas avoir d'autre que ce qui convientet ce qui rend la chanson bien. Pour démontrer son point, Buxer joué une démo de "Hollywood Tonight" pour nous - l'une avec la partie de basse de tueur et les instructions vocales de Michael dans le pont. "Ecoutez comment il est pure, c'est parfait." Et ça l'était. Le public a applaudi.

 Son meilleur souvenir de Michael? "pourchasser l'autre à travers les couloirs de l'hôtel". C'était un coureur rapide ... Avec lui on s'amusait, écrivait, travaillait sur ses affaires, parlait, riait jusqu'à ne plus avoir de souffle ". dit-il ému.

Des mots tels que ceux-ci font que vous vous rendez compte que  Michael n'était pas une superstar déshumanisé - il a été un partenaire et un ami très cher pour eux. Et ils sont venus ce soir-là pour partager des souvenirs de leur amitié. Je vous remercie, M. Buxer, M. Prince, M. Vibberts et M. Simms pour nous permettre d'entendre ces souvenirs. Et bien sûr, un grand merci à M. Brad Sundberg pour l'organisation de d'un événement de ce genre.

 


Source: MJFrance


 

[Hamlet]

Trouvé ce texte , sais pas qui l'a écrit !



Michael Jackson, toute sa vie, fut un homme à l'envers.


D'habitude, on commence par être un enfant, et ensuite seulement, on devient un adulte. Michael fut, lui, privé d'enfance : par son père, d'abord, qui le frappa et le détesta, le moqua et l'humilia, et par la gloire enfin. À sept ans, il était déjà une star planétaire avec hommes d'affaires aux mollets, managers aux talons, et groupies aux trousses. Il a donc fallu que Michael diffère son enfance à plus tard : c'est-à-dire à l'âge qu'ont généralement les adultes.
L'accuser de pédophilie quand il était "grand" n'aurait donc pas plus de sens que de l'avoir accusé de gérontophilie quand il était "petit". Devenu (enfin) enfant dès que sa fortune et sa célébrité ont pu le permettre, il a passé les dernières années à jouer avec des enfants de son âge. C'est pour cela qu'on ne le voyait plus sur scène : plutôt que de faire des tours du monde, il faisait le tour du sien, c'est-à-dire des tours de manège. Lorsqu'on épluche les comptes et engueule les roadies à sept ans, qu'on vérifie le calendrier et qu'on passe ses journées dans la fumée des cigares, qu'on a commencé par la fin, on se retrouve à quarante-cinq ans en photo à côté de Mickey, tout simplement parce qu'on a relégué (pour des raisons d'agenda) son immaturité en fin de vie.

Michael Jackson est, ainsi, un être à la chronologie inversée. Mais ce n'est pas la seule raison pour laquelle il est un homme à l'envers. En effet, l'aspect "reverse" de sa vie se traduit également dans ses rapports avec la célébrité. Michael fut une star mondiale à l'heure où les autres rentrent tranquillement à la maison boire leur chocolat chaud et faire leurs devoirs. Il a donc commencé son existence par un maximum de célébrité, ce qui, là encore, correspond à un processus inversé : il faut habituellement des années et des années pour acquérir une gloire planétaire, une notoriété mondiale. Mick Jagger, par exemple, a été obligé de terminer ses études d'économie avant de devenir Mick Jagger. Quand elle avait vingt ans, personne ne connaissait Madonna. Tandis que lorsqu'il avait vingt-cinq ans, cela faisant vingt ans que le monde entier connaissait Michael Jackson. Là encore, ayant commencé par la fin, Michael n'aura eu d'autre choix que de terminer par le début : de là son obsession, à mi-vie, de l'anonymat, du retrait, de la réclusion. Il a voulu s'effacer du tableau de la célébrité. Il a voulu finir, non seulement en n'étant pas célèbre, mais en ne l'ayant jamais été. Il aurait rêvé, non pas simplement de n'être plus reconnu, mais de n'être plus jamais reconnaissable. (Avouons qu'il avait presque réussi.)

Ce qui fascine d'ailleurs dans cette inversion, dans ce passage voulu de la célébrité à l'absence de célébrité, c'est que celle-ci est devenue tellement monumentale que croiser Michael Jackson dans la rue (dans une rue de Disneyland) était devenu la preuve que cela ne pouvait être le vrai. Cette célébrité hors norme lui aura finalement servi d'anonymat. Qui d'autre, dans l'Histoire de l'humanité, aura pu expérimenter cela, que d'être sempiternellement pris pour un sosie, que d'être beaucoup trop vrai pour se ressembler vraiment ? On s'étonne que Michael Jackson fût pauvre à la fin de sa vie : rien de plus logique, puisque milliardaire à l'adolescence, il fut là encore la victime d'une inversion de tout parcours humain traditionnel. Son but était forcément de finir ses jours comme ils auraient dû commencer, dans le dénuement. Là encore, il a réussi.

Il a réussi ces trois choses inouïes à partir de trente-cinq ans : devenir enfin un enfant, devenir enfin anonyme, devenir enfin pauvre. Mais enfant à la manière d'un adulte, anonyme grâce à sa notoriété, pauvre à l'aide de sa fortune (sa façon de s'endetter n'est permise qu'aux fortunes colossales). Il se sera donc offert à la force du poignet, et en déployant des moyens démesurés, un point de départ naturel. Il y sera parvenu par une débauche d'artifices. Et de feux d'artifice. Même sa mort nous apparaît comme une naissance à l'envers : décédé d'avoir pris trop de médicaments pour vivre.
Oui, un homme à l'envers, qui semblait aller de l'avant. C'est le principe même de cette danse qui le rendit célèbre : le "moonwalk". C'est cela, une révolution, c'est avancer vers le révolu. C'est avancer vers l'arrière. En ceci, Michael Jackson aura révolutionné non seulement la musique, mais son époque. Et aujourd'hui que la terre entière le pleure, musulmans, juifs, athées et chrétiens, d'une larme identique et universelle, impeccablement planétaire, on se réjouit au moins d'une chose : de ce que les peuples peuvent souffrir d'une même chose. Michael nous aura apporté, avec ces envers à l'endroit, quelque chose d'inattendu : la première paix mondiale.




                                          

[bettyboom]

ho!!! super Hamlet merci   

[Eddith]

Ce texte est très juste il est de Yann Moix qui explique le mystère de la star décédé et justifie l'émotion que cette mort a suscitée.
publié en 2009

Yann Moix publie "Cinquante ans dans la peau de Michael Jackson"  aux éditions Grasset. L'écrivain et cinéaste évoque dans cet essai, le destin d'un "homme à l'envers", comme il avait qualifié l'artiste dans Le Figaro

.

http://www.culture-cafe.fr/site/?p=1129

Merci Hamlet j'avais oublié ce livre il y en a tant !


 

[Eddith]

Même cinq ans après sa mort, Michael Jackson est toujours dans les mémoires. D'ailleurs, Quincy Jones est loin de l'avoir oublié, au contraire.

Evoquant le roi de la pop, le producteur revient sur leur collaboration et tout cela est à découvrir sur VirginRadio.fr.

Micheal Jackson est probablement l'artiste du siècle.

Si on ne compte plus ses succès, il restera celui qui aura bercé des générations

. Cependant, si ses admirateurs se comptent en millions -pour ne pas dire en milliards- , le plus grand fan de Michael Jackson est sûrement son ancien producteur, Quincy Jones.

Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, Quincy Jones est l'un des plus grands musiciens du XXe siècle. Aujourd'hui âgé de 81 ans, il eu le privilège de travailler avec Frank Sinatra, Ray Charles ou encore Aretha Franklin.

VirginRadio.fr vous aura prévenu, il ne plaisantait pas ! Pour se faire une idée du phénomène, il faut savoir que sur 89 nominations aux Grammy Awards, il en a gagné 27. Tout est dit.

S'il est aujourd'hui question de Michael Jackson, contrairement à son ancien agent qui voulait le kidnapper, Quincy Jones préfère évoquer les souvenir qu'il a du chanteur.

Ainsi, Quincy Jones révèle que sa collaboration avec Michael Jackson remonte aux 19 ans de ce dernier :

"J'ai besoin d'un producteur", aurait-il dit à Jones, persuadé qu'il était la personne capable de le lancer.

Seulement à l'époque, tous deux travaillaient sur The Wiz, un long métrage. D'ailleurs, Quincy Jones ne s'est pas fait prié pour le lui rappeler :

"Michael, je ne veux penser à rien d'autre qu'un film", a-t-il répondu.

Quincy Jones ajoute tout de même qu'il voulait que Michael Jackson fasse "quelque chose qu'il n'avait encore jamais fait" et qu'il avait le titre "She's Out Of My Life" dans ses tiroirs.

"Elle est sortie de ma vie" que Tommy Bahler avait écrit quand sa femme l'a quitté. Je la gardais que pour Sinatra, mais j'ai dit,

"J'ai vu Michael vu à la cérémonie des Oscars - il a chanté "Ben", cette histoire d'amour romantique à un rat!

Cette chanson est faite pour lui. Je le sentais"

"Je veux l'essayer avec Michael parce qu'il n'a encore jamais eu de véritable relation avec une femme".

Résultat, Michael Jackson a enregitré le titre et "il pleurait à chaque session', confessera Jones.

Toujours est-il que même s'il était sensible, Michael Jackson bat toujours de nouveaux records avec Xscape. Aimez-vous She's Out Of My Life ?





Mise à jour le 11 juil. 2014 10:22:43 par Marine Pineau
virgin radio


 

[Eddith]

A l’occasion du 5eme anniversaire de la disparition de Michael Jackson, le compositeur et arrangeur américain Thomas Bähler a publié sur le site superheroyou.com un article dans lequel il décrit la manière de travailler du Roi de la Pop en studio.

Tom et son frère de John [cf. News du 19/06/2011] ont collaboré avec MJ.

Pour Bähler, l’approche adoptée par Michael explique son succès et elle est en même temps une leçon de vie. Retour en studio, à l’époque “Thriller”…

“Nous enregistrions à Westlake Studio A situé sur Santa Monica Boulevard à Los Angeles. Quincy Jones était en train de produire Michael Jackson avec Bruce Swedien, notre ingénieur magistral. Je venais de terminer l’enregistrement d’un son spécial sur “Beat It”, la nouvelle chanson de Michael.
Michael et Quincy m’ont appelé parce que je possédais un Synclavier, un nouveau synthétiseur numérique révolutionnaire [dont le] coût était celui d’une petite maison. Michael voulait un son particulier pour être le premier son que vous entendez sur “Beat It”. Il l’avait entendu sur le disque de démonstration synclavier que l’entreprise lui avait envoyé. Il m’a alors demandé de le jouer une fois de plus, pour annoncer l’emblématique solo de guitare de Van Halen au milieu de la chanson.

Je suis venu de New York pour faire le [son] et traîner dans le studio comme Quincy, Michael, Bruce avec qui je travaillais en étroite collaboration depuis des années et c’était génial d’être avec eux.
Je me trouvais bientôt en pleine recherche d’un son de caisse claire pour cette chanson qui était en cours depuis près de trois semaines.
Pour ceux d’entre vous qui ne savent pas ce qu’est une caisse claire, jouez n’importe quelle chanson pop et écoutez le tambour qui joue sur les temps deux et quatre (les battements que nous frappons dans les mains lors d’un concert). Les caisses claires proposent une grande variété de sons, de la caisse plate à la caisse roulante avec cordes et Michael avait un son dans son esprit qu’il voulait matérialiser.

Nous l’avons accompagné dans cette recherche.
“Beat It” a été quelque peu un départ pour Michael parce que c’était une chanson rock [...] Normalement, l’équipe de production aurait déjà perdu patience avec l’écoute de tous les types de caisse claire que nous pouvions trouver à Los Angeles. Mais l’enthousiasme de Michael maintenait nos esprits dans cette quête.
Il s’exclamait : « C’est quelque part ! Je sais que c’est quelque part ! »

En écoutant chaque caisse claire, elles étaient soit enregistrées comme possibilités ou renvoyées avec Michael disant « J’aime celle-là » ou « Celle-ci mixée avec une autre, ça pourrait le faire ». Il était évident qu’il n’avait pas encore trouvé ce qu’il entendait dans son imagination sans limite. Mais jamais au cours du processus, je ne l’ai entendu dire « ça ne fonctionne pas » ou « non, celle-là n’est pas bonne ». Quand il écoutait une caisse claire qui n’allait pas être retenue, il disait simplement : « Ecoutons la prochaine ».

Pendant toutes les années où j’ai travaillé pour Michael comme principal arrangeur vocal, pas une seule fois je ne l’ai entendu prononcer quelque chose de négatif – depuis le moment où il avait 13 ans jusqu’à sa mort en 2009.

N’est-ce pas là une qualité de super-héros ?

L’optimisme déterminé. C’est un outil puissant.
L’optimisme déterminé est ce que j’appelle à l’aide de mon libre arbitre pour décider que je me concentre sur ce que je veux.

Si vous souhaitez voir ce processus par vous-même, regardez le film (…) « This Is It » , et vous verrez (…) ce que je veux dire. Et c’était évident dans le studio pendant que nous étions en train de chercher le son de caisse claire que seul Michael pouvait entendre. Sa positivité rayonnait comme le soleil alors que nous essayions les caisses claires l’une après l’autre et il répétait souvent: « Je sais que c’est quelque part ! ».

Un après-midi, nous avons reçu une grosse caisse (« Bass Drum »), une grosse caisse symphonique que Michael et Quincy avaient prévu d’utiliser dans une autre chanson. Il a fallu deux gars pour la transporter, elle était logée dans une caisse noire en contreplaqué.
Ils l’ont déposée dans l’une des chambres d’isolement à côté de la salle principale du Studio A et ils ont commencé à la déballer. Quand ils ont sorti la moitié supérieure de la caisse , un assez grand objet est tombé d’un plateau adjacent et il l’a frappée.

“C’est ça!” s’écria Michael Jackson, les yeux brillants de reconnaissance. “C’est le son! ” dit Svensk (surnom de Swedien), nous allons l’enregistrer! ”
Puis Michael a sauté dans la cabine du Studio A, répétant: «Je savais que c’était quelque part. »

La prochaine fois que vous écoutez “Beat It”, vous remarquerez qu’il y a deux sons distincts de caisse claire. Le premier est un son de caisse claire un peu normal sur le deuxième temps de chaque mesure. L’autre son de caisse claire se produit sur le quatrième temps. C’est là que vous allez entendre la résonance ajoutée(…)
Alors, comment Michael savait que le son qu’il cherchait existait ?
Il ne le savait pas. Il a utilisé sa superpuissance de la croyance. Michael croyait.

Lorsque nous croyons, nous ouvrons la porte à des possibilités illimitées. Lorsque nous doutons, nous fermons la porte. C’est aussi simple que cela.
Si Michael s’était désespérément assis sur sa chaise en disant: “Nous n’allons jamais trouver ce son,” il aurait eu raison.
C’est comme mettre un feu sous une théière. Nous ne sommes pas là à regarder bouillir parce que c’est une perte de temps. Au lieu de cela, nous portons une attention et nous mobilisons notre conscience pour entendre le coup de sifflet révélateur de la bouilloire de thé.

Vous remarquerez dans cette histoire que Michael a été le seul à entendre ce son lorsqu’il s’est produit. Aucun d’entre nous n’a réagi mais Michael l’a fait. Il était en train d’écouter pour cela.
Lorsque nous déclarons que nous voulons, comme Michael l’a fait, nous commandons à ce que les choses se passent. Lorsque nous déclarons que nous voulons et cela sert les autres, l’univers répond et nous l’obtenons.
Ceci est un autre trait de super-héros, et c’est pourtant si accessible.

La prochaine fois que vous vous sentez dépassés, coincés, perdus, indécis ou pleins de doutes, posez vous un instant et demandez-vous: Qu’est-ce que je veux ?
Cette philosophie de faire confiance à notre intuition est un attribut de la quasi-totalité des grands artistes et chef de direction avec lesquels j’ai eu le plaisir de travailler. De Quincy Jones, Barbra Streisand, Billy Joel, Diana Ross à Henry Ford II, tous écoutent et croient en leur intuition. Quincy appelle cela “la chair de poule”.
Je comprends et je vis cette philosophie parce que mon père me l’a inculquée quand j’étais un jeune garçon. Cela a animé toute ma vie et m’a placé en harmonie avec les plus grands que j’ai énumérés ici.
Récemment, cette philosophie s’est révélée à moi comme une formule concrète qui a involontairement stimulé mon imagination tout au long de ma vie. Je suis maintenant très heureux (…) de partager cela avec vous comme un livre et un programme virtuel intitulé, CE QUE VOUS VOULEZ VOUS VEUT: Comment obtenir ce que vous voulez … à chaque fois.Thomas-Bahler

Je dédie cet article à “Smelly” – notre surnom pour Michael- qui nous a inspiré avec son esprit de super-héros et ses dons illimités. Tu nous manques et nous sommes reconnaissants pour la montagne d’amour que tu nous a laissée et dont nous allons profiter dans les temps à venir. Tu es vraiment un super-héros.”.

Après avoir publié l’ouvrage “Anything is possible“, Thomas Bähler prépare actuellement la prochaine sortie de son nouveau livre et programme virtuel, “WHAT YOU WANT WANTS YOU” (traduction : ce que vous voulez vous veut”).



Sources : superheroyou.com / MJLegend


 

[Eddith]

Ceci est arrivé avant même que Michael ne déménage à Neverland. Ceux qui affirment que Michael « appâtait » des petits garçons à Neverland dans le but de les traiter de manière inconvenante seront surpris d'apprendre qu'il invitait des enfants malades (y compris des filles) à Encino avant de déménager dans son propre ranch. N'importe quel enfant très malade ou simplement défavorisé aurait pu recevoir une invitation à passer du temps avec Michael chez lui avec sa famille et ses animaux de compagnie, qu'ils aient été des filles ou des garçons, à Hayvenhurst comme à Neverland.

Il voulait seulement leur donner un soutien moral, du divertissement, du rire, de l'amusement et leur montrer que le monde est un endroit agréable et que des gens se sentent concernés, pour les aider à ne plus penser à leurs problèmes de santé et à leurs soucis. Michael pensait qu'il était important que les enfants connaissent la joie et se sentent soutenus, particulièrement les enfants malades ou défavorisés. Cela peut changer leur vie et Michael a vraiment amené ce changement dans la vie d'un grand nombre de gens, aussi courte qu'ait été leur vie (et la sienne).


Bubbles, Michael et Donna Ashlock

Le 28 février 1986, Michael a téléphoné à Donna Ashlock, 14 ans, de Californie (elle était convalescente après une transplantation cardiaque) et l'a invitée à la maison Hayvenhurst à Encino. Une fois là -bas, ils ont diné et ont regardé un film ensemble. La visite a eu lieu le 8 mars 1986.

Malheureusement, en mars 1989 à Patterson, en Californie, Donna est morte dans son sommeil chez elle alors qu'elle attendait une deuxième transplantation, juste avant son 18ème anniversaire.

Le cœur de Donna lui avait été donné par un soupirant de 15 ans qui, alors qu'il n'était pas malade lui-même, avait dit à ses parents, des ouvriers agricoles, qu'il voulait donner son cœur à Donna Ashlock après sa mort. Il en pinçait pour elle et savait qu'elle avait une maladie dégénérative du cœur et ne vivrait pas longtemps sans une transplantation.

Un peu plus tard, le 4 janvier 1986, ce soupirant, Felipe Garza, est mort de façon inattendue quand un vaisseau sanguin s'est rompu dans son cerveau, mais son vœu a été exaucé. Son cœur a été donné à Donna. Le cas de Donna est devenu célèbre grâce aux circonstances entourant le cœur qui avait battu dans son corps depuis janvier 1986.



Cette même année, Michael a aussi invité Danielle Finmark, 12 ans (qui était allée au Camp « Ronald McDonald for Good Times », une association pour les enfants atteints de cancer) au ranch, où elle a pu visiter la résidence, sa ménagerie, a déjeuné avec MJ et a regardé le film « Short Circuit » avec lui.

"Les instants précieux dans le torrent de la vie passent à toute vitesse et nous ne voyons rien que du sable; Les anges viennent nous visiter, et nous ne les reconnaissons que lorsqu'ils sont partis. "Georges Eliot."



Rédigé par motspourtous

Publié dans #MICHAEL JACKSON - DIVERS


 

[Eddith]

« Est-ce parce qu'il est noir: Qu’ils ne veulent pas que vous sachiez à propos de Michael Jackson ?  »

Traduction d'un  texte écrit Par Christopher Hamilton, le jeudi 5 Janvier 2006.

"Que pensez-vous lorsque vous entendez le nom de Michael Jackson ? Wacko ? Criminel ? Grand artiste? Affaires? Quoi que vous pensiez de MJ, jetez toutes vos pensées par la fenêtre et examinons quelques faits.

Pendant des années, les médias l’ont appelé «Wacko Jacko». Qu'est-il arrivé à MJ ? N'était-il pas l’homme  le plus important dans la musique à un moment donné ? Quand est-il devenu fou ? Tout ce qu'on a à faire est de regarder quand Michael a commencé à être dépeint comme « Crazy ».

Ce n'était pas  pendant les années «Thriller». C'est cool d'être un chanteur et un danseur. C'est ce qu'ils voulaient.

Mais Il ne devait pas penser à devenir un homme d'affaires. Il ne devait  pas «oser acheter le catalogue des Beatles. Ne pas oser se marier avec la fille d’Elvis

Ne pas oser frapper l'industrie du disque dans leur propre jeu

Michael a commencé à être étiqueté de fou quand il a commencé à faire des affaires  que personne n'avaient réussies à faire. Pendant Toutes notre vie, nous avons été bombardés  avec deux faits. Les Beatles étaient le plus grand groupe de tous les temps et Elvis était le roi du Rock and Roll. Michael a acheté le catalogue des Beatles et il épousa la fille du roi du Rock and Roll.

Les Beatles étaient supers, mais ils n'étaient pas assez grands pour maintenir les droits d'édition sur leurs propres chansons. Elvis était grand, mais il n'a pas écrit ses chansons. Son directeur, le colonel Tom Parker, était le cerveau derrière Elvis ...Il  le gardait drogué avec des pilules,  et s’occupait de toute la paperasse.

Michael était génial en tant qu'artiste.

« Off the Wall », premier artiste solo avec quatre des dix premiers singles.

«Thriller», l'album le plus vendu de tous les temps, avec un record de sept puis dix premiers singles.

« Bad », le premier album à avoir cinq chansons numéro un (même «Thriller» n'avait que deux chansons numéro un).

Tout cela est cool. C’est tout ce qui se faisait de mieux. Mais Michael voulait être encore plus grand. Il a acheté le légendaire Sly et le catalogue Family Stone et personne ne s’en souciait vraiment. Quand il a acheté les Beatles, les gens l’ont remarqué. La fusion Sony a pris part au gâteau. Sony, dans leur empressement à avoir une partie du catalogue des Beatles, a convenu d'une fusion 50/50 avec Jackson, formant ainsi  l’édition musicale de Sony / ATV. Maintenant, Michael est copropriétaire de la moitié de l'ensemble de l'édition de l'ensemble des artistes de Sony. Consultez les listes complètes des chansons de Sonyatv.com. Un échantillonnage des chansons qu'il possède,  les droits d'édition,  de  plus de 900 chansons country par des artistes tels que Tammy Wynette, Kenny Rogers, Alabama. Toutes les chansons écrites par Babyface.  Les Chansons latines de Selena et Enrique Iglesias. Les Chansons de Roberta Flack, des chansons de Mariah Carey, 2pac, Biggie et Fleetwood Mac chansons. En essence plus de 100.000 chansons.

« Ce que cet homme a fait »  Aucun des grands ne l’a fait. Ni Bono, Springsteen, Sinatra.

« Qui croit-il qu'il est ? Faites ce que vous pouvez contre lui. »  Pour «avoir» quelqu'un, il suffit de l’attaquer sur ce qu'il aime le plus. Je n'en dirai pas plus à ce sujet.

Le seul homme qui s'approche un peu de  MJ avec  l'industrie de la musique  est Prince et dans une moindre mesure, en comparaison avec George Michael. Ils s’en sont pris au pauvre

George Michael, publiquement,  parce que  l'homme est un homosexuel. Prince a lutté et fait valoir son point de vue, mais il devait néanmoins encore demander l'aide d'une grande entreprise pour distribuer sa musique. Il n'y a rien de mal à cela. Prince  a obtenu la part du lion, mais le résultat était, que pendant des années il a été étiqueté, " fou et difficile".

Le plus grand moment pour eux était la conférence de presse de Sneddon. «Nous l’avons. » Jamais une telle joie n’a été si évidente. Qui se soucie si nous avons des preuves ?

Michael a été acquitté, sans célébrer son acquittement, il  est rentré chez lui et a quitté les États-Unis. C’était leur  Meilleur coup jamais réalisé. Maintenant qu’il est parti, pour les ennemis que  faire? Il est parti. « Parti », qu'est-ce que cela veux dire, il s'installe à Bahreïn ? Eh bien, comment diable pouvons-nous le persécuter s’il n'est pas ici ? Vite ! Un  chroniqueur pour écrire une série d'articles sur la façon dont MJ est en déséquilibre et au bord de la destruction. Oh, nous l’avons déjà fait ? Eh bien, que pouvons-nous faire ? En apparence,  il semble que Michael ne fait rien pour gagner de l'argent. Sans  compter les ventes hebdomadaires de ses CD. 15 000 CD par semaine ce n’est rien pour Michael. Le catalogue Sony / ATV soit de l'argent pour Michael Jackson à chaque fois qu'il respire. Beaucoup d'argent. Le fait que personne ne rende compte de la quantité réelle vendue en est la preuve. Ils préfèrent que vous croyiez qu'il est sans le sou au lieu de vous dire la vérité.

Neverland est toujours détenue par MJ. La maison familiale à Encino est toujours détenue par MJ. Michael possède toujours les chansons des Beatles à travers la fusion avec Sony ainsi que la pleine propriété de ses propres chansons.. Michael Jackson a littéralement marché dans les chaussures qu’aucun noir  n'a jamais pu se permettre avant. Si jamais il écrit une autobiographie, elle sera l'une des plus intéressantes qui n’ait jamais existée. Un homme noir sans aucune éducation formelle réelle devient l'homme le plus puissant de l'industrie, malgré la haine, le racisme, les ennemis dans ses propres camps et des médias prêts à être achetés au plus offrant. Si Sony avait un peu de bon sens, en ce moment, ils devraient lui offrir de poursuivre le partenariat. C'est la seule façon dont ils vont se faire de l'argent à l’avenir en dehors du catalogue de Michael. Tommy Mottola n'a pas perdu son emploi avec Sony parce qu'il était une mauvaise tête qui faisait du tort à  l'étiquette. Il était une victime de la guerre. MJ a exposé son cas et Sony a dû réduire leurs pertes. Les entreprises font cela tout le temps. Notez que personne chez Sony ni  Motolla n’ont jamais poursuivi MJ pour diffamation. Michael a toujours été fidèle à ses patrons  Epic / Sony.

Retour aux Grammys en  1984, MJ  a même amené Walter Yetnikoff , alors à la tête de Sony,  sur scène avec lui à un moment donné. Il a toujours remercié Dave Glew, Mottola et d'autres chez Sony dans ses discours d'acceptation. Sony peut toujours faire le bien par Michael, mais il peut être trop tard. Cependant, ils devraient encore faire un geste de bonne volonté, mais combien de fois les entreprises le font-elles ?  Si j'étais à leur place, je voudrais quand même MJ comme allié, pas comme ennemi. Il est / était une fusion mutuelle très rentable. J’aurais peur de l'enfer si j'étais un ennemi de MJ alors qu'il est avec les multimilliardaires d'outre-mer. Croyez-moi, ils ne sont pas juste là à discuter des vêtements de marque. Un conglomérat est en préparation. Une dernière note, ces faits que j'écris ici ne doivent pas être les premiers que vous entendez ou lisez, mais la triste réalité est que c’est probable. Je craignais que Michael soit condamné en raison de l'incertitude du jury. Que le Jury joue l’injuste. Si je présente ici ces faits à Eurweb, vous pouvez le croire les médias le pensaient déjà ainsi. Ils ne sont pas là à saliver sur tout ce qui est lié à  MJ   simplement parce qu'il a fait «Thriller». Ils savent ce qui se passe. Pensez-y. C'est pourquoi je ris quand je vois des émissions comme BET « The Ultimate Hustler ». Nous savons tous de qui il s'agit.

A la fin, Michael ne sera pas connu pour être un pédophile présumé. Il ne sera pas connu pour «Thriller». Il sera connu comme l'homme qui a combattu l'industrie du disque, qui  a gagné et  qui a vécu pour raconter l'histoire.

Source : http://www.mjfriendship.de/en/index2.php?option=com_content&do_pdf=1&id=161



La vraie fin de l’histoire est que Le 25 juin 2009, à la stupeur générale, le «Roi de la Pop» nous quittait à seulement 50 ans... Cette disparition prématurée fut un choc pour ses nombreux fans à travers la planète ! Oui,  Michael Jackson à la notoriété universelle avait pourtant résisté à toutes les calomnies et humiliations, il envisageait même de remonter sur scène. Mais nous savons que sa fin tragique ne fut que le fruit d’une oppression constante et cruelle à laquelle il dut faire face au quotidien pendant un demi-siècle !


Ses ennemis peuvent avoir détruit son corps, mais ils ne peuvent pas détruire son esprit, car il est invincible.!



(MICHAEL JACKSON entouré de ses fans, en juillet 1997,  juste avant son concert à Munich.)



« Mes fans sont vraiment une partie de moi, nous partageons quelque chose que la plupart des gens ne connaîtront jamais. »

Michael Jackson


«Je ne serai jamais triste si je quitte ce monde, parce que je sais que je serai dans un endroit  meilleur. La seule chose qui m'importe, c'est que les gens arrêtent de penser que j'ai fait quelque chose de mal. J'aime les enfants, et les mensonges répugnants m’ont pratiquement tué. Quand je mourrai, tout mon  argent  ira à mes enfants et d'autres enfants dans le monde ".



Michael Jackson selon Frank Cascio.

Sources: les mots pour tous


 

[napo]

Très intéressant, ce témoignage, merci !

[Eddith]

Une soirée avec Michael

Je me souviens de la première fois que je l'ai rencontré au cours du dîner à la maison d'Al Malnik. Al et sa famille m'ont invité, mon mari JR, et ma fille Ambre sur une rencontre intime avec Michael et ses trois beaux enfants, Prince Michael, Paris et Blanket. Souvenirs de combien il aimait ses enfants viennent de nouveau à moi si je me souviens de cette soirée Il était le papa fier, souriant d'une oreille à l'autre que ses enfants ont effectué un peu de jeu pour nous, "Trois petits singes assis sur un lit." Il sourit et riaient tellement . Il était si fier de ces enfants et il savait comment le montrer.

Pendant le dîner, nous avons parlé de son manque d'expériences authentiques de l'enfance et de la façon dont sa soeur Janet avait toujours été si étonnante et sensible avec lui. Comme il parlait, il parlait avec son cœur et je pouvais réellement sentir quelque peu la douleur qu'il a dû éprouver dans sa courte vie. Je crois vraiment que l'enfant à l'intérieur de lui a toujours été la recherche d'être libéré. Le regarder jouer à cache-cache avec ma fille Ambre et les autres enfants, j'ai été frappé combien il se mettait à rire, profitait du plaisir autant qu'ils ont fait. Écouter Michael parler était presque aussi incroyable que l'entendre chanter parce qu'il parlait avec tant d'amour-pour ses enfants ainsi que sa famille et ses fans. Il était gentil, doux, et en tous points remarquable. Il a partagé des histoires avec nous ce soir-là comme si nous l'avions toujours connu.

La soirée est assez comique quand Michael a complimenté le pantalon que je portais parce qu'ils lui rappelait ceux qu'il a enfilé dans le clip de "Bad.« Il aimait tellement le mien, en fait, qu'il m'a demandé de le laisser essayer ! Se sentant un peu gêné et à court de mots, j'ai été poussé à la fois par ma propre famille et la Malniks, qui n'arrêtait pas de dire, "Oh, allez ... laissez-le les essayer." J'ai lui ai donné dans et lui ai dit que j'allais attendre dans la salle de bain pour lui de les transmettre de nouveau à moi. Après 10 minutes, je savais que j'étais en difficulté. J'ai entendu un peu de frapper à la porte et il a dit, "Loren, j'adore ce pantalon! S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît laissez-moi le garder . Je vais vous donner mon pantalon à porter à la maison! "Eh bien, qu'est-ce que je devrais dire? Il était, bien sûr, le légendaire Michael Jackson et il a simplement volé mon coeur. Je l'ai vu montrer tout le monde à la maison comment merveilleux était mon pantalon et j'ai commencé mon propre défilé de mode portant le sien. Nous avons tous ri et passé une belle soirée.

J'ai eu l'occasion de le voir plusieurs fois à nouveau par la suite, et nous avons toujours ri autant que nous l'avons fait sur la première nuit, Il était toujours si tendre et si merveilleux. Il se souciait des gens et il se souciait du monde. Je suis sûre qu'il y aura jamais un autre Michael Jackson. Il a changé la musique, brisant toutes les barrières et de démontrer qu'il ne pouvait accomplir tout ce qu'il y- avait mit son esprit. Il a ouvert la voie à de nombreux autres artistes et amuseurs et il nous a donné la conviction que si les gens s'aimaient assez les uns et les autres , nous aurions "Heal the World." Je me demande si l'une partie du monde l'a laissé tomber et oublié les paroles qu'il chantait pour nous avec tant d'amour dans une chanson qui a touché nos cœurs.

Il a fait du monde un endroit meilleur pour nous tous. Michael a ouvert son cœur à tous à travers sa vie et sa musique et c'est à cause de lui que nous ne serons jamais les mêmes. J'ai demandé à certains de mes amis de partager leurs réflexions sur l'adoption de cette légende, que je partage avec vous ici.

Cordialement,
Loren Ridinger

Source de l'histoire et de la photographie: Michael Jackson souvenir le Times facebook


 

[Eddith]

***Ecrit en 1979 sur le dos d'un programme de tournée: "MJ sera mon nouveau nom. Plus de Michael Jackson. Je veux un tout nouveau personnage, un tout nouveau look. Je serais une personne totalement différente. Les gens ne devront plus jamais penser à moi comme l'enfant qui a chanté" ABC, "[ou]" I Want You Back. «Je serait un nouveau, incroyable acteur / chanteur / danseur qui va choquer le monde. Je ne ferai aucune interview. Je serai magique. Je vais être un perfectionniste, un chercheur, un formateur, un maître. Je serai mieux que tous les grands acteurs tous réunis.












Très émouvant ce contrat passé avec lui-même à 21 ans....
Contrat rempli, mais à quel prix! :-/

ça fait penser au contrat de Faust. Michael aurait-il vendu son âme au diable pour avoir la gloire et le succès ?


Sources: MJFrance


 

[Eddith]

Il y a presque 30 ans jour pour jour, la tournée de concerts du Victory Tour passait par Jacksonville en Floride.

Dans un article paru aujourd’hui sur le site news4jax.com, Jake Godbold, le maire de l’époque, est revenu sur ce moment historique et il a expliqué comment il avait convaincu les promoteurs de faire escale dans sa ville.
Avec le Victory Tour, les Jacksons se sont produits de juillet à décembre 1984 dans une vingtaine de villes nord-américaines. Mais à priori, Jacksonville n’avait que peu de chances d’accueillir les shows.
Et pourtant, le Gator Bowl, le stade de la ville à l’époque, a accueilli 3 concerts du 21 au 23 juillet 1984.
Mais, il faut revenir 5 ans plus tôt pour comprendre.
Alors qu’en 1979, Michael Jackson était de passage à Jacksonville avec une autre tournée (le « Destiny Tour »), les habitants ne songeaient qu’à une chose : accueillir l’équipe de football américain des Baltimore Colts appartenant à Robert Irsay.
Godbold avait surpris Irsay en l’accueillant dans un stade plein (50 000 personnes) scandant « Nous voulons les Colts ! Nous voulons les Colts ! » et près de 25 000 personnes massées à l’extérieur.
Finalement, R. Irsay choisit ensuite Indianapolis et non Jacksonville. Mais l’exposition médiatique dont avait bénéficié Jacksonville sur le moment, lui a permis de participer plus tard à une réunion avec tous les propriétaires d’équipes de la NFL (National Football League ) à Washington DC pour envisager d’accueillir le Super Bowl…
Au cours de cet événement, Godbold a présenté, en compagnie de B. Sullivan, le propriétaire de l’équipe des Patriots de la Nouvelle-Angleterre , les atouts de sa ville.
Mais contrairement à ce qu’il aurait pu imaginer, un détail a changé le cours des choses.

Sam Kouvaris, un diffuseur de sport américain , directeur des sports de WJXT, Virtual Channel 4, était assis à côté de Godbold lors de la réunion. Etonnement, au lieu de penser au football américain, Kouvaris avait une autre idée en tête.
jacksons_victory_tourGodbold raconte : « Il m’a dit : « Monsieur le maire, je ne peux pas vous donner de finale de Super Bowl ou d’équipe de la NFL, mais je peux vous donner quelque chose qui équivaut à 3 finales du Super Bowl. J’ai les droits contractuels pour le Victory Tour de Michael Jackson. Cela va être le plus grand spectacle et le meilleur concert qu’il y ait jamais eu et nous allons en mettre un dans 10 villes, seulement 10, et vous êtes (Jacksonville) l’une d’elles”. »
Et je lui ai dit « Ah ouais ? …. Alors ouais nous le voulons ! »

S. Kouvaris raconte alors la suite et le moment où il a averti Tom Wills que les Jacksons allaient prendre la direction du nord de la Floride : « La chose amusante, c’est que je suis allé à un téléphone payant et j’ai appelé Tom. Je lui ai dit « Ecoute, nous n’obtenons pas le Super Bowl, mais Michael Jackson va ouvrir sa tournée l’an prochain à Jacksonville avec trois dates. Tom fut quasiment sans voix à l’autre bout du fil. »

Quand la nouvelle s’est diffusée à Jacksonville, en pleine « Thrillermania » faut-il le rappeler, la frénésie a gagné les habitants.
Tom Wills s’est ensuite rendu à Kansas City pour faire un reportage destiné à montrer aux téléspectateurs de News4Jax à quoi ressemblait le concert.
Au final, ce fut l’occasion rêvée pour Godbold. Une occasion de rassembler les habitants de la ville. L’ancien maire conclut : « Une des choses dont nous avions besoin à Jacksonville était d’avoir plus de fierté en nous-mêmes, pour construire notre estime … nous avions besoin de quelque chose (…) pour nous rassembler – noir et blanc, jeunes et vieux -. »



Au total, le Victory Tour a rassemblé en 3 dates près de 135 000 spectateurs dans le stade de Jacksonville…



Sources : news4jax.com / MJLegend


 

[Eddith]

***Michael Jackson et Bryton James L’hebdomadaire américain Soap Opera Digest propose, dans son numéro paru le 14 août, un entretien avec le jeune acteur et chanteur Bryton James (Bryton McClure), qui partage les souvenirs de sa relation avec Michael Jackson. Voici une traduction en français de l’interview.




Comment vous et Michael vous êtes-vous rencontrés ?
Quand j’avais environ 5 ans et que je jouais dans « La Vie de Famille » (Family Matters), nous avons rencontré quelqu’un sur le tournage qui travaillait pour sa société de production. Je lui ai écrit une lettre et mes parents la lui ont remise pour voir si elle pouvait la faire passer à Michael. Je lui ai dit que j’adorais sa musique.

A 5 ans, vous étiez déjà fan ?
Avant même d’avoir l’âge de parler, j’adorais déjà TOUT ce qui se rapportait à Michael Jackson. C’était vraiment inexplicable mais j’avais cette affection envers lui, comme tout le monde.

Visiblement, vous avez reçu de ses nouvelles ensuite !
Il m’a écrit un courrier en retour ! J’ai été invité à assister au tournage de l’une de ses vidéos musicales, celle de la chanson « Will You Be There ? » extraite de l’album Dangerous. J’ai pu le rencontrer après sa prestation et faire une photo à ses côtés. C’était très bref.

Quand l’avez-vous revu par la suite ?
Quelques mois plus tard. On a demandé à Raven-Simoné et à moi-même de lui remettre la récompense d’artiste de l’année aux NAACP Awards. Nous étions juste des enfants ! Mes parents et moi avons pu parler à Michael en coulisses et il nous a invités chez lui. La première fois que je me suis rendu au ranch Neverland, j’étais accompagné par mon père. Nous avons passé deux jours là-bas et quelques membres de la famille de Michael étaient présents eux aussi. Je suis devenu ami avec deux cousins plus jeunes que lui, qui étaient un peu plus âgés que moi. Encore aujourd’hui, ils sont comme des frères pour moi. Après ça, Michael est resté en contact avec moi par téléphone et je suis allé à Neverland plusieurs fois par an avec mes parents. Il ouvrait les portes du ranch à toute personne qu’il considérait comme un ami. Même quand il n’était pas là, on pouvait y aller et passer du temps là-bas. C’était la personne la plus généreuse que j’aie rencontrée.

A quoi ressemblait votre chambre ? Est-ce qu’il y avait des chambres à thème, par exemple « La chambre Cirque » ou « La chambre Vaisseau Spatial » ?
Non, rien de tout ça. Les chambres étaient très normales. Sa maison était très simple et chaleureuse. Ce n’était pas comme un musée ou un hôtel. C’était un style ancien, comme un gros cottage.

Quelle était votre activité préférée à Neverland ?
Il y avait un gros château fort avec quatre tours reliées par des ponts. A chaque poste, il y avait des canons à eau géants et c’était génial de tirer avec. Il y avait toujours de la musique et les animaux étaient épatants. Et puis, il y a les choses que l’on considère comme acquises : il y avait beaucoup d’espace et c’était très paisible. Quand on franchissait le portail en sortant, on se disait « Pfff, maintenant je dois retourner dans la réalité ».

A quand remonte votre dernière visite à Neverland ?
Quand j’avais 16 ou 17 ans (Note : McClure est né en 1986), je suis allé dans le ranch quand il était là avec ses cousins et Chris Tucker, j’y suis resté environ deux semaines.

Pensez-vous qu’il faille transformer Neverland en un parc ouvert au public ou, au contraire, que ça doit rester une propriété privée ?
J’aimerais que ce soit entretenu de la même manière que lorsque j’y allais. Chaque semaine, il faisait venir depuis les hôpitaux des bus entiers d’enfants gravement malades, des enfants avec des maladies ou qui ne pouvaient pas faire des choses normales comme aller à Disneyland, dans des fêtes foraines ou dans des parcs, pour qu’ils passent la journée là-bas. J’aimerais que ça continue, pour préserver ce qu’il faisait et la façon dont il l’ouvrait à des enfants malades.

Lui avez-vous déjà demandé son avis sur votre musique ?
Quand l’iPod est sorti, j’en avais un et il n’en avait jamais vu auparavant. Il a trouvé ça vraiment cool et j’avais l’une de mes chansons dessus. Il l’a écouté et il m’a donné d’excellents conseils. Il a toujours fait ça avec tout ce que j’ai fait à la télévision et en musique, mais il tenait aussi à s’assurer que je vive les choses que les enfants doivent vivre. Il réalisait totalement que j’étais heureux de faire ce que je faisais mais il voulait que je profite du fait d’être un enfant.

Quel est votre meilleur souvenir de Michael ?
Il y en a deux que je n’oublierai jamais. Le premier, c’est quand il m’a demandé de chanter sur un titre qu’il avait écrit pour les victimes du 11 septembre. Aux côtés de Michael, il y avait Céline Dion, *N’Sync, Usher, Mariah Carey et les Destiny’s Child. Tous ces autres musiciens et il m’a demandé de faire partie des choeurs. J’ai dû aller à Washington pour l’interpréter avec lui et tous ces autres artistes. Etre sur scène avec lui et chanter la même chose que lui reste une expérience que je n’oublierai jamais. L’autre expérience, c’est quand je suis allé à Neverland un soir et qu’il était le seul réveillé. Tout le monde était allé se coucher et nous nous sommes assis dans ces énormes chaises devant la cheminée, et nous avons simplement discuté et partagé des histoires.

Où étiez-vous quand vous avez appris sa mort ?
J’étais à la maison et je n’avais pas la moindre idée de ce qui se passait. Mon père m’a appelé et m’a dit d’allumer la télé. J’ai vu les infos et sur le moment, je n’y ai pas cru. Il m’a fallu un moment pour réaliser que c’était vrai. J’avais reçu une trentaine d’appels en absence et de SMS de gens qui savaient à quel point j’étais proche de lui.

A quand remonte votre dernier contact avec Michael ?
La dernière fois que je lui ai parlé, c’était juste avant le gros procès qu’il a traversé il y a quelques années. L’année précédente, je l’ai vu et j’ai passé un peu de temps avec lui.

Que pensez-vous de toutes ces histoires dingues qui font surface depuis son décès ?
J’espère que les gens essaient de comprendre à quoi ressemblait sa vie. J’espère que les gens le laisseront un peu en paix, maintenant. Il est arrivé que je lui parle au téléphone et qu’il soit à deux doigts d’éclater en sanglots parce qu’il ne comprenait pas pourquoi les gens le traitaient comme ils le traitaient. Je crois qu’au final, il comprenait parfaitement quel était le prix à payer pour être celui qu’il était.

Si vous deviez résumer Michael, que diriez-vous ?
D’après ce que j’ai vécu, c’est vraiment un exemple de la manière dont je voudrais vivre. Il a affronté tant d’intrusions dans sa vie privée et de difficultés à une échelle si grande… C’est incroyable de voir ce que les gens peuvent dire de quelqu’un qu’ils ne connaissent même pas. Et malgré cela, ça restait quelqu’un de généreux, altruiste et bienveillant. La chose que j’aimerais que les gens réalisent, c’est que malgré toutes les histoires bizarres, les blagues, le battage publicitaire, le cirque médiatique et les tabloïds, ça restait un homme gentil.

Source : ElusiveShadow.com / Soap Opera Digest


  

[Eddith]

D'anciens gardes du corps de Michael Jackson ont partagé l'anecdote suivante :

"Un jour, je me trouvais dans une librairie avec Michael et pendant que je surveillais ses enfants, j'ai entendu MJ se disputer avec une femme. Elle lui disait d'arrêter de se prendre pour Michael Jackson. Il lui a répondu qu'il était Michael Jackson et elle a répliqué
"Vous n'êtes qu'un menteur !" Il a déclaré
"Je ne mens pas. Si vous ne me croyez pas, c'est votre problème"...
et ça n'en finissait pas, c'était à mourir de rire !"



Réagissant à l'anecdote, une fan ayant rencontré l'artiste à de nombreuses reprises a déclaré :

"Ca me rappelle 1988. Il était en Italie, pendant la seconde partie du Bad Tour, et nous étions au téléphone. A l'époque, je vivais à Riverside, en Californie... et pendant l'appel, nous étions tous deux en train de rire et je répétais ce qu'il disait à mes amis, qui louaient la maison dans laquelle nous vivions tous.
Le mari d'une amie, Joe, me demande alors à qui je parle et je demande à Michael si je peux lui dire la vérité ou pas.
Michael répond "Bien sûr, dis-lui. Tu peux lui faire confiance, n'est-ce pas ?" Je lui dis "Bien sûr, ils ne sont pas dans les tabloïds et les conneries comme ça".
Donc je lui explique que je suis en train de parler à Michael Jackson, que j'ai rencontré l'année précédente et que j'ai revu début 1988.

Joe répond "Oui, c'est ça, tu parles à Michael Jackson ! Et comment tu l'as rencontré, Michael Jackson ?
" Je lui explique que c'était dans un parc d'attractions où j'ai travaillé entre 1986 et le milieu de l'été 1988 et il me rétorque
"Oh, évidemment !"
J'explique à Michael "Il ne me croit pas".
Michael se met à rire et me conseille de lui répéter que je suis bel et bien en train de parler à Michael Jackson et que, oui, on se connaît vraiment.
Je rigole et Michael aussi parce qu'évidemment, il est habitué à entendre ça de la part des gens.
Finalement, Joe me demande de prouver qu'il est bien celui qu'il prétend être et j'explique à Michael qu'il ne me croit pas et qu'il veut une preuve.
En riant, Michael répond : "Laisse-moi lui parler, MOI, il va me croire".
J'ai dit ok et j'ai tendu le téléphone à Joe. Au bout de quelques minutes, Joe a fait une expression bizarre, il a regardé sa femme Sue et elle a demandé "Alors ? C'est lui ou pas ?" Joe m'a regardée et il a dit : "Wow, c'est vrai que c'est lui".
Michael lui a juste parlé quelques minutes et lui a chanté l'une de ses chansons.
Ca l'a convaincu".


- Elusive Shadow


  

[Rosaimée]

Hawww! Les chanceux!    Merci Édith!

[Eddith]

Si les fans, eux, connaissent souvent toutes les paroles de chansons sur le bout des doigts, ce n'était pas le cas pour Michael Jackson. En effet, il composait énormément de chansons. Prenons un exemple concret : s'il avait dû chanter la chanson "Ghosts" sur scène en 2009... Le titre datait de 1997 et figurait sur l'album Blood on the Dancefloor. Depuis, était sorti l'album Invincible et pour les fans, cela ne faisait que 16 chansons de plus à apprendre... Michael Jackson, quant à lui, s'était penché pour Invincible sur plus de 120 chansons (qu'il s'agisse de ses propres compositions ou de maquettes qui lui avaient été envoyées)... donc dans sa mémoire, "Ghosts" se situait déjà trèèèès loin.

Au final, ce genre de considération pouvait donner lieu à quelques petits oublis. Parmi les "célèbres", on retiendra l'oubli de Dirty Diana pendant le BAD Tour Yokohama, paroles remplacées par "Hey baby do what you want, I'll be your night lonini, I'll be the finanana, I don't care wanounai, nanyenanye tou fa, I'll be your nanani, je na ne ni nou haaaa" (le chanteur se rappelait des sons qu'il devait faire mais pas des mots exacts). Celui de Beat It... pour lequel Michael Jackson avait trouvé une solution facile : comme il avait oublié les paroles du 2ème couplet, eh bien il a chanté le 1er deux fois...

Enfin, le 21 octobre 2001, il a participé à un concert exceptionnel au profit des victimes des attentats du 11 septembre (United we Stand: What more can I Give). La veille, il était en pleine répétition du morceau Man In The Mirror lorsque tout à coup, il s'est interrompu et s'est excusé : "Pardon mais... quelqu'un pourrait-il m'apporter les paroles de la chanson? Ca fait tellement longtemps que je ne l'ai pas chantée que je ne m'en rappelle plus".

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Les Michael Jackson

Une enquête réalisée en 1984 a montré que depuis la création des Etats-Unis, 600 000 personnes avaient porté le nom "Michael Jackson". Tous n'ont pas laissé la même trace dans l'histoire. Un homonyme célèbre était spécialiste de la bière...

Un autre homonyme du King Of Pop a témoigné de son quotidien: un jeune américain de 25 ans, vice-patron d'un garage dans un petit village au fin fond de l'Ohio. Il nous a expliqué que son nom lui posait parfois problème et a raconté une petite mésaventure amoureuse : sa petite amie a un jour réservé une table au restaurant et, voulant créer un effet de surprise, a effectué cette réservation au nom de "Michael Jackson". Evidemment, le patron du restaurant a manifesté un certain intérêt et, quand ils sont arrivés au restaurant, la petite amie est allée signaler à l'accueil que "Michael Jackson était arrivé". Le patron et plusieurs serveurs se sont présentés pour lui réserver un accueil triomphal... et là, grosse désillusion quand ils se sont aperçus que le Michael Jackson n'était pas celui auquel ils s'attendaient. On ne peut pas s'empêcher de penser aux paroles de Michael Jackson ("La Star"):

"C'est dur d'être dans ma position. J'essaie de vivre comme les autres. Mais ce sont eux qui me voient comme une personne différente. Ils ne me parlent pas comme ils le feraient avec leur voisin. Dès qu'ils voient que c'est Michael Jackson, ils changent d'attitude" (Michael Jackson, 1980)


sources: elusiveshadow


 

[Eddith]

Miko Brando, fils de l'acteur Marlon Brando, est un ami de Michael Jackson depuis plus de 25 ans. Miko sera l'invité de LKL ce soir. Le commentaire de Miko est une exclusivité sur le Web LKL. Miko Brando--&-Jackson

Michael était mon idole. Il a été mon père chiffre depuis que mon père est mort. C'est étrange la vie sans lui. Je ne serai jamais le même, et je ne sais pas si je vais jamais m'en remettre de cette perte. C'est comme perdre votre compagnon, quelqu'un que vous pensiez qui serait toujours là. Ce n'est pas juste. Il signifiait beaucoup pour moi. Je me sens comme une personne différente de celle que j'étais avant . Je me sens engourdi - perdu. Il était un bon ami depuis de nombreuses années.

Je chéris le temps que j'ai passé avec Michael. Nous allions faire du shopping ensemble, allons à Disneyland, faire des voyages, passer du temps à la maison de papa. Il venait de venir s' installé un camp dans la maison de mon père pendant un certain temps. J'ai bien aimé parler de la musique, manger ensemble et de s'amuser avec Michael. Nous étions juste de bons amis, c'est la meilleure façon que je peux m'exprimer. Il était toujours là pour moi quand j'ai besoin de lui, et je me plais à penser que j'étais toujours là pour lui.

Je n'ai pas vraiment pas un seul souvenir sans Michael . C'est difficile à faire quand vous avez été amis aussi longtemps que nous l'avons été. Mes meilleurs souvenirs sont du temps passé à parler, lui me serrant, avoir de bonnes conversations, et faire rire - J'ai vraiment apprécié de le faire rire. Je pouvais dire certaines choses - quelques mots à l'oreille, et je pouvais obtenir un rire hors de lui. Et le garçon, avait- un rire contagieux.

Surtout, Michael était une personne très attentionnée. Il avait beaucoup d'amour dans son cœur. Il se souciait de tout le monde, surtout les gens dans la rue. Il n'a pas été coincé - il n'avait pas l'ego, et il essaya de prendre du temps pour tout le monde parce qu'il ne voulait pas blesser les sentiments de quelqu'un. Si il a pensé qu'il a fait quelque chose de mal, ce serait vraiment le déranger. Il avait plus d'amour que ceux que je connais.

Michael que j'ai vu tous les jours était celui qui aimait ses enfants. Ils étaient son principal objectif. Il était un homme très occupé, mais il a toujours fait en sorte que les enfants étaient pris en charge.

Ce que beaucoup de gens ne peuvent pas réaliser de Michael, est la qualité d'un homme d'affaires qu'il était. La visite qu'il avait l'intention est un parfait exemple. Il était un perfectionniste, et il savait exactement ce qu'il voulait et comment l'obtenir. Tout ce qui concerne le concert devait être approuvé par Michael. Juste parce qu'il n'a pas été à la télévision ou dans un parking public récemment, cela ne veut pas dire qu'il n'était pas occupé et actif. Beaucoup de gens ont spéculé il a été vraiment stressé au cours de la tournée, mais je ne pense pas qu'il était. Il est passé par les mêmes routines qu'il a fait pour les concerts passées.

J'ai pensé à savoir si il y avait des similitudes entre Michael et mon père, et je ne peux pas penser un seul. Vous avez entendu les contraires s'attirent? Je pense que cela explique leur amitié. Ils n'avaient absolument rien en commun, mais quand vous les avez ensemble, on ne pouvait pas les séparer. Il aimait mon père, et ils ont passé plusieurs jours ensemble à la maison de papa et à Neverland. Ils étaient très proches.

Michael aidait instrumental mon père à travers les dernières années de sa vie. Pour ceci  je serai toujours redevable à lui. Papa avait du mal à respirer dans ses derniers jours, et il était sous oxygène la plupart du temps. Il aimait la nature, si Michael l'invitait  à Neverland. Papa pourrait nommer tous les arbres là-bas, et les fleurs, mais étant sous l'oxygène, il était difficile pour lui de se déplacer et les voir tous, c'est un grand endroit. Alors Michael a offert a papa une voiturette de golf avec un réservoir d'oxygène portatif afin qu'il puisse faire le tour et profiter de Neverland. Ils venaient en voiture autour de - Michael Jackson, Marlon Brando, avec un réservoir d'oxygène dans une voiturette de golf.

Certains des meilleurs moments que j'ai passés avec Michael était juste assis sur un banc à Disneyland de «Main Street». Nous voulons juste rester là et regarder les gens. Parfois, Michael était dans un accoutrement que les gens ne le reconnaîtraient pas - mais ils l'ont toujours fait. Quand il était dans une mauvaise humeur ou un peu plus bas, je dirais simplement "Michael, le banc," et ce serait lui faire sortir. Si je savais qu'il voulait s'amuser, ou tout simplement sortir, je disais "allons à la magistrature», et que nous étions partis.

Bien sûr, Michael Jackson dans un lieu public comme Disneyland a été lié à attirer les foules, et parfois nous auvions la sécurité du parc avec nous. Mais ils n'étaient pas là pour protéger Michael, ils étaient là pour protéger les foules. Il n'a jamais vraiment été préoccupé par lui-même, mais que quelqu'un serait blessé dans la cohue de gens qui voulaient le voir. Les gens juste fou quand ils ont vu Michael Jackson.

Michael pleurait rarement, mais je pense qu'il serait en larmes sur la réaction à sa mort. Il serait dépassé et heureux de tant de d'amour qu'il a été retourné par les gens qu'il aimait. Je pense qu'il aurait pris une profonde respiration et juste vous dire merci.

La famille a fait un enterrement, mais je pense que Michael voulait que ce soit soit une fête. Il voulait que tout le monde vienne là-bas. Il aimait ses fans. J'ai fait le tour de nombreuses grandes stars de cinéma, mais les fans de Michael sont au-delà de fans. Il savait que les fans étaient ce qui l'a fait, et il ne voulait  oublier personne. Partout où il allait, les fans étaient là. Il me disait les fans ont toujours su ce qu'il faisait. Je ne pense pas que quiconque ait jamais eu les fans de ce genre. Alors Michael voulait un enterrement qui comprendrait ses fans et ça le rendrait heureux. Il voudrait leur dire: «Je suis toujours avec vous et nous serons toujours ensemble." Il était heureux, et il voulait que tout le monde autour de lui soit heureux. Enfin, il voulait l'amour. Surtout, Michael était de l'amour.

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[Eddith]

Million Dollar Walker

Michael Jackson détenait un bien étrange record: celui du prix le plus élevé jamais payé pour voir une personne marcher. 350 dollars pour environ 4 minutes. Un habitant de Santa Maria possédant une maison avec vue sur le tribunal où était jugée la star pour soupçons de pédophilie réclamait cette somme à chaque fan ou journaliste qui voulait louer le toit de sa maison pour bien voir les entrées et sorties du chanteur au tribunal... soient environ 2 minutes pour entrer, 2 minutes pour sortir chaque jour. Pour information, sachez aussi que l'homme louait la fenêtre de son salon et son garage.


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Giflé par une serveuse !

David Gest, ami de longue date de Michael Jackson, a raconté l'anecdote suivante... Une douloureuse sortie au restaurant à l'époque où le chanteur était encore adolescent !

"Un jour, nous sommes tous allés manger des pancakes ensemble [Note: lui et ses amis, parmi lesquels plusieurs Jacksons]. On plaisantait quand on est entrés dans le restaurant. La serveuse n'avait aucune idée de qui on était, y compris Michael. Alors on s'assoit, il devait être une heure du matin et elle nous demande "Qu'est-ce que je vous sers ?". J'ai répondu en disant un mot qui ne voulait rien dire. Michael a commencé à rigoler. Elle lui a donné une grande gifle en disant "Ne te moque pas de lui, il vient d'un pays étranger ! Il est probablement originaire d'Irak, tu n'as pas à te moquer de lui!".


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Générosité

Le professeur de chant de Michael Jackson, Seth Riggs, a un jour raconté l'anecdote suivante: "Pendant la tournée (Note: Bad Tour), les soirs où il ne donnait pas de concert, il allait parfois dans un magasin de jouets, achetait dix jouets par ci, dix jouets par là et ensuite, il restait debout toute la nuit à mettre des piles dans les jouets, à s'assurer qu'ils marchaient tous comme il faut histoire qu'il puisse les offrir à des enfants en coulisses, le lendemain".


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Des larmes pour Ryan White

Anecdote racontée dans le livre "The Michael Jackson Tapes" (1999) : "Quand on avait dix ans, on ne pensait pas au paradis, à la façon dont on allait mourir et [Ryan White], lui, pensait à tout ça. J'ai vu le petit Ryan White dans ma salle à manger dire à sa mère, à table : 'Maman, quand on m'enterrera, je ne veux pas être en costume cravate'. Il a dit 'Ne me mets pas un costume et une cravate. Je veux être en jean et en tee-shirt'. J'ai murmuré 'Excusez-moi, je dois aller aux toilettes'. J'ai couru jusqu'aux toilettes et j'ai fondu en larmes. Imaginez un petit garçon de douze ans en train de dire à sa mère comment l'enterrer. C'est ce que je l'ai entendu dire. Comment ne pas être bouleversé face à ça ?"


 

[Eddith]

Make-Up Artist Michael Jackson pour "The Wiz" Michael R. Thomas rappelle des expériences mémorables avec Michael sur et hors du jeu.

Chaque matin, j'ai commencé maquillage de Michael en mettant un bouchon chauve à garder ses cheveux, qui était en très petites tresses, en place. Ensuite, je voudrais appliquer les morceaux de mousse de latex: un morceau de front, deux joues, un nez (qui devait ressembler au beurre d'arachide wrapper Coupe de Reese), un morceau de menton et une ruche de cou. Ils sont allés dans la matinée et a dû être maintenue au cours de la journée. Screen Shot 25/07/2014 au 15/03/36 PM

Parce que l'épouvantail était un personnage très cartoon-y, Michael fait beaucoup d'expressions faciales exagérées pour faire l'épouvantail de la vie. Les gymnastique du visage avait l'air super, mais ils ont aussi assoupli les morceaux de mousse de latex, donc il faudrait que je re-colle et repeindre le maquillage. Pour retirer le maquillage à la fin de la journée, je me tenais derrière Michael, soulever l'arrière du capuchon chauve et tirez-dessus de sa tête. Le plafond et les appareils de mousse de latex ne se détache peu près tous dans une seule pièce.

   

Mais je ferais canard derrière sa chaise il ne pouvait pas voir mon reflet dans le miroir, mettre le maquillage (qui ressemblait maintenant à un masque effrayant) sur ma main, soulever lentement derrière la tête et il se trémousser , aller, "OOODLE-OOODLE-DOOODLE-DE-oooohhh!" Il riait comme un fou, comme si elle était l'une des choses les plus drôles qu'il ait jamais vu. J'ai vraiment apprécié son sens de l'humour enfantin; Je pourrais dire ou faire quelque chose stupide et ce serait faire un grand éclat de rire. Je voudrais ensuite retirer le reste de son make-up, de la colle et des adhésifs et ce serait elle. Nous allions à la maison et sommes prêts pour la fusillade du lendemain

Lorsque nous parlions un jour, j'ai dit à Michael que quand j'étais un petit garçon, je me suis appris à dessiner, qui était à peu près le début de mon devenir un artiste de maquillage. Il a demandé à voir un exemple. J'ai pris un stylo et dessiné un croquis rapide du monstre de Frankenstein. Il aimait ça. Il a dit que lui et ses frères et sœurs joué parfois un jeu pour lutter contre l'ennui: L'un d'eux tirer quelques lignes abstraites sur un morceau de papier, donner à un autre frère et dire, "OK, maintenant faire un moteur de feu de ceci, ou un arbre », etc, et l'autre de mêmes parents avaient pour compléter le dessin dans un certain laps de temps.

Quand j'ai joué le jeu avec Michael, j'ai essayé de le piéger en dessinant quelques lignes courbes que je sentais ne pas suggérer un chat. En ce qui me concerne, ces lignes courbes ne ressemblait en rien comme un chat. Alors j'ai dit: "Allez-y, faites un chat sur ces lignes!" Et dans les 30 secondes, il avait dessiné un chat. Pas que je l'aurais un photo, debout sur ses quatre pattes, mais un minou recroquevillé endormi. Puis il a fait une couple de nouveaux dessins sur place, et je les gardais avec sa bénédiction. Un des dessins était le visage d'un homme. Il est assez sommaire et le type de impressionniste. Screen Shot 25/07/2014 au 22/03/20 PM

Il ya un phénomène qui se produit fréquemment quand un artiste de maquillage et un travail de l'acteur ainsi: intimité instantanée. Les artistes et les coiffeurs de maquillage sont un peu comme des psychiatres ou des barmans. Vous êtes dans la même pièce, physiquement proches pendant des heures à la fois, parfois pendant plusieurs jours. Parce que les gens ont généralement l'envie de parler, le sujet change souvent de bavardage à certains sujets très graves. Et si les deux d'entre nous étaient seulement à travailler ensemble sur un film, nous sommes arrivés à connaître assez bien.



J'ai demandé à Michael à dîner un soir. Nous avons dû garder le silence à ce sujet, parce que si quelqu'un a découvert, mot se propage comme une traînée de poudre. Il était 1978 et à 19 ans, Michael était déjà bien connu dans le monde entier. Alors il est venu à notre appartement à Bergenfield, New Jersey avec son garde du corps armé, Spence. Le dîner était poules de jeu de Cornouailles et, à la demande de Michael, farce Stove Top, dont il dit que les gens dans sa ville natale de Gary, Indiana appelés «dressin '."

Nous avons eu un grand temps que la nuit. Parce que je joue de la guitare un peu, je lui ai montré comment jouer quelques accords simples sur ma guitare acoustique. Il avait toujours admiré les gens qui pourraient jouer des instruments de musique et avait souvent fantasmé d'être le guitariste dans un groupe de rock.

A cette époque, le comédien Robert Klein avait fait une apparition sur Saturday Night Live; il est sorti avec un harmonica, a donné de la bande le temps fort de piétiner son pied, et s'écria: «Laisse-moi entendre du blues!" La bande a frappé jusqu'à l'introduction d'un certain nombre de blues et il a commencé à jouer de l'harmonica avec eux, piétinant ses pieds, jambe de pompage dans le temps. Après l'ouverture 16 bars, il a tiré l'harmonica de ses lèvres et, les pieds encore frapper du pied, a chanté, "je ne peux pas arrêter ma jambe, Little Darlin '.. Je ne peux pas arrêter ma jambe, peu guurrl!" Eh bien, Michael obtenu un grand coup de pied hors de cette. Ainsi, alors que je jouais une progression d'accords de blues sur ma guitare, Michael piétiné son pied et a chanté, "je ne peux pas arrêter ma jambe!" À un moment donné, alors qu'il chantait, il a dit: «Maintenant, écoute-moi, les gens" et je rompu parce qu'il était vraiment dans il.

Alors j'ai appris à connaître le grand Michael Jackson un peu. Il m'a dit une fois que tout ce qu'il s'est passé à faire-travaille sur un film, enregistrer un disque, apparaissant sur scène, il a été la chose la plus importante de toute sa vie, alors qu'il faisait. Il a vraiment montré. Peu importe ce qu'il faisait, son talent a parlé et chanté, et dansé pour-soi.

Michael était une personne très spéciale dont la vie était une combinaison des extrêmes. Il aimait la normale, les choses terre-à-terre, mais il a aussi obtenu une adhésion à vie à un club très exclusif. Son talent, tempéré par discipline permanente, atteint le cœur d'innombrables admirateurs et remodelé la musique de tous les temps. Il a été privé de son enfance; Je pense qu'il a passé le reste de sa vie d'adulte à essayer de vivre pour la première fois. Il était un grand enfant!

Remarque: Michael R. Thomas est mort 24e Août 2009, seulement 2 mois après Michael Jackson ... RIP

De Michael Jackson-souvenir Times facebook

Source: A Tale of Two Michaels


 

[Eddith]

Joe Jackson était récemment en visite au Japon et il a notamment rencontré Kenji Koga. Ce nom ne vous dit peut être rien pourtant en mai 2014, le magazine “LVH” [Las Vegas Hollywood] a dévoilé un projet secret qui avait associé K. Koga et Michael Jackson.

MJ avait rencontré l’artiste japonais le 22 décembre 1992 alors qu’il était de passage dans le pays pour les concerts du Dangerous World Your. Lors de son séjour, il lui a alors confié la tâche d’illustrer son concept intitulé “Michael Jackson Wonder World of Toys” (“Le Monde Merveilleux des Jouets de Michael Jackson”) et auquel il réfléchissait depuis 6 mois.

Selon les mots de MJ, MJWWT était un parc d’attractions destiné “aux enfants pauvres de partout dans le monde”.



Lors de son séjour, Michael a également réalisé de rapides croquis et ses conversations avec Koga devaient permettre de préciser l’idée.

L’article retranscrit certains propos de MJ au sujet de ce projet :

   «Je voudrais que vous peigniez un arbre de Noël qui n’éteint pas ses lumières de toute l’année”
   “Sous l’arbre de Noël, il doit y avoir une fontaine”
   «Je voudrais que vous peigniez une pleine lune dans le ciel nocturne rempli d’étoiles”
   “Sur la patinoire ici, des enfants du monde entier patineront”
   “Ce que je veux vraiment, c’est de faire le monde plein de lumières, le monde couvert par une lumière abondante”
   “Je veux que de nombreux feux d’artifice soient tirés dans le ciel de la nuit”
   “La partie principale de l’attraction se tiendra tous les jours, c’est le défilé des petits soldats”
   “Ce sera Noël toute l’année”
   « Je voudrais que vous peigniez les gens en train de patiner et devant eux il devra y avoir des enfants de différents pays. Et une partie important sera fait à la pleine lune. Je veux que ce soit une très grosse pleine lune ».

Selon Kenji Koga, le message que MJ souhaitait communiquer était le suivant : “Aimez cette belle Terre sur laquelle nous, les êtres humains, vivons et arrêtez les guerres et la destruction de l’environnement. Cessez les discriminations et les conflits. Les enfants sont les trésors de la Terre dont nous dépendons tous pour notre futur“.

Le contraste est bien sûr fascinant entre un Michael Jackson qui triomphait au Japon (8 concerts à guichets fermés au Tokyo Dome devant près de 45 000 spectateurs à chaque fois) et qui malgré la présence surprise et exceptionnelle du guitariste Slash au dernier concert et le décompte du passage au nouvel an sur scène, n’a pas attendu pour rejoindre Kenji Koga qui devait lui remettre avant son départ pour les USA ses croquis conceptuels. MJ était passionné par cette idée destinée aux enfants défavorisés. Un projet secret qui en dit bien plus long sur la personnalité de Michael Jackson que des articles people…

Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici. http://www.onmjfootsteps.com/archives/2014/08/06/30368984.html

Sources: LVH Magazine/ UK loves MJ / onmjfootsteps.com / MJLegend


 

[Eddith]

Le médecin et écrivain Deepak Chopra [cf. News du 11/02/2014] a répondu à plusieurs questions concernant Michael Jackson lors d’une récente interview accordée à la chaine Al Jazeera.

Il a notamment déclaré : “Michael était comme un frère pour moi. Je l’ai rencontré il y a longtemps à l’époque de “Thriller” (…), vous savez, le grand album. Il était très innocent. Il était très joyeux. Il était un génie dans son art. (…) Il était capable d’entrer dans un état de conscience que je qualifierais de transcendance. Il n’était pas de ce monde quand il était dans cet état de conscience. La tragédie a été l’accident Pepsi, après quoi il a commencé à s’injecter des narcotiques et les médecins sont devenus des continuateurs et ils ont effectivement causé son addiction, perpétué sa dépendance. Et au final, il a été tué par la prescription de médicaments.”

Interrogé pour savoir s’il avait cherché à mettre en garde Jackson, Chopra répond par l’affirmative mais la tâche n’était pas facile : “J’en parlais à Michael la plupart du temps. Mais Michael avait cette capacité à disparaître totalement quand il le voulait. Et quand il avait disparu, je savais que maintenant quelqu’un lui permettait de le faire, et c’était généralement un médecin. Et il y a ces médecins, en passant, à Hollywood. Nous les appelons les médecins de conciergerie (…) et vous obtenez l’ordonnance que vous voulez.”

Sources : america.aljazeera.com / MJLegend


 

[Eddith]

A l’occasion de la sortie de son nouvel album “Smokey & Friends”, le chanteur Smokey Robinson a répondu à une interview de Yahoo Music.

“Smokey & Friends” propose 11 splendides reprises de ses classiques que Robinson interprète en duo avec d’autres stars (“The Tracks of My Tears” avec Elton John, “Quiet Storm” avec John Legend, ou encore “Being With You” avec Mary J. Blige).

Étonnamment, un titre ne figure pas sur cet album , c’est “Who’s Lovin’ You”, composé en 1960 par Smokey Robinson. D’abord enregistré par The Miracles et commercialisé en face B du single “Shop Around”, le titre fut repris par plusieurs artistes de la Motown, mais c’est véritablement MJ qui a fait rentrer cette chanson dans l’esprit du public.

Robinson se souvient : “Je reconnais effectivement que c’est grâce à Michael Jackson que cette chanson est devenue célèbre. J’avais écrit “Who’s Loving You” de nombreuses années auparavant. Je l’avais enregistrée avec The Miracles. Nous avons eu , comme un succès d’estime avec ce titre. Tout d’abord, il est passé inaperçu car il était au dos de “Shop Around.”

Pour rappel, “Shop Around” a été un gros succès pour Motown et a véritablement lancé la carrière du groupe The Miracles.

Mais la chanson “Who’s Loving You” a connu une renaissance 9 ans après quand les Jackson 5 l’ont reprise et en ont fait un hit.
Dans l’interview, Smokey Robinson raconte cet épisode avec fierté et note l’incroyable maturité dont faisait preuve MJ pour son âge: “Et voici Michael. Il était âgé de 11 ans. Comment pouvait-il comprendre ce que signifiait chanson? Il l’a chantée comme s’il l’avait écrite. Il a chanté comme s’il savait tout sur ce qui se passait dans cette chanson à propos de quelqu’un qui perd quelqu’un qu’il aime.”

Cela ne dérange pas Robinson que certains pensent que “Who’s Loving You” est la chanson de MJ : “Je la chante parfois dans mes concerts maintenant, et les jeunes invariablement viennent et me disent: “Pourquoi avez-vous chanté la chanson de Michael?”.
Robinson est avant tout reconnaissant envers MJ car jamais sans lui ce titre n’aurait été aussi populaire.




Sources : Yahoo Music / MJLegend


 

[Eddith]

Adrian Grant, l'artiste qui a imaginé le show "Thriller Live" et écrit l'ouvrage "Michael Jackson : The Visual Documentary", a récemment accordé une interview au journal The Northampton Chronicle. En voici la traduction :

The Northampton Chronicle : Pouvez-vous me parler un peu du spectacle Thriller Live ?
Adrian Grant : Thriller Live est la célébration ultime de la musique de Michael Jackson. Nous ne racontons pas l'histoire de Michael mais nous célébrons le Roi de la Pop à travers deux heures de chansons et de danse. C'est un spectacle que toute la famille peut apprécier et qui procure un sentiment de bonheur.

Que pensez-vous de l'équipe artistique ?
Je dirais que nous avons l'une des équipes les plus bosseuses qui soient et le public en a sans aucun doute pour son argent avec une production qui a beaucoup de rythme, beaucoup d'énergie.

C'était comment de rencontrer Michael Jackson en personne ?
Je l'ai rencontré pour la première fois en 1990 et je n'avais aucune idée préconçue à son sujet. Mais lorsque je l'ai rencontré en personne, il était gentil, drôle et il avait un grand sourire. Il était très bavard sur beaucoup de sujets différents mais il aimait par-dessus tout rigoler et plaisanter. Ça ne signifie pas pour autant qu'il n'était jamais sérieux, c'était au contraire un génie absolu en studio d'enregistrement et quand il se produisait sur scène.

Selon vous, quel est l'héritage musical de Jackson ?
Il n'y aura jamais d'autre Michael Jackson. L'industrie de la musique a changé et se vit beaucoup plus dans l'instant qu'il y a 10, 20, 30 ans. Michael a grandi pendant la période Motown et a travaillé dur avec ses frères, en faisant des tournées et en perfectionnant son art. De plus, il a appris des plus grands, comme Stevie Wonder, Smokey Robinson, Jackie Wilson et James Brown. Il disait toujours qu'il "étudiait les meilleurs et ambitionnait de devenir encore meilleur".

On peut trouver quelqu'un qui est capable de chanter mieux ou de danser mieux mais ce qui faisait de Michael le Roi de la Pop, c'est qu'il faisait tout, qu'il le faisait extrêmement bien et avec son propre style. En tant que compositeur, il a parfois été sous-estimé mais des tubes comme Billie Jean, Wanna Be Startin' Somethin', Earth Song et Don't Stop 'Til You Get Enough sont de purs classiques de la pop. En tant que chanteur, il avait une tessiture incroyable de quatre octaves et en tant que danseur, il a créé des vidéos révolutionnaires comme Beat It et Thriller et il a été complimenté par Fred Astaire en personne

.Quelle est votre chanson préférée de Michael Jackson ?
Il y en a trop pour n'en choisir qu'une seule ! Bon nombre d'entre elles sont dans le spectacle Thriller Live qui dure un peu plus de deux heures mais Michael a fait tellement de chansons géniales que le show aurait facilement pu durer cinq heures. Donc j'ai simplement dû choisir des titres qui entraîneraient les gens dans un voyage à travers sa carrière tout en incluant les grands hits comme Billie Jean et Smooth Criminal. Néanmoins, ma partie préférée du show porte sur l'album Off The Wall, avec des chansons comme Rock With You et Don't Stop 'Til You Get Enough.

Quel est le meilleur conseil qu'on t'ait donné ?
Michael m'a dit que pour survivre dans le monde du spectacle, il fallait avoir la peau très dure. Il m'a aussi appris à vraiment viser très haut, suivre ses rêves et être le meilleur possible. C'était un grand perfectionniste.

Quelle est la réussite dont tu es le plus fier ?
Que la Première de Thriller Live ait eu lieu à Londres en janvier 2009 et que le spectacle soit encore joué

Quel est le bien que tu chéris le plus ?
Mes souvenirs... mais si on parle d'objets, ce serait une photo signée que m'a donné Michael Jackson et un livre de prières qui m'a été donné par ma maman quand j'étais enfant.

Qui vous a le plus inspiré dans votre vie ?
Michael Jackson, Richard Branson et Martin Luther King.





Source : ElusiveShadow.com / Northampton Chronicle


 

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