Bad 25 Documentary
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Re: Bad 25 Documentary
La Première mondiale du documentaire officiel BAD 25 réalisé par Spike Lee [cf. News du 11/07/2012].
Le documentaire sera projeté hors compétition.
Le Festival International du Film de Venise se déroulera du 29 août au 8 septembre.
Sources: indiewire.com / MJLegend
Le documentaire sera projeté hors compétition.
Le Festival International du Film de Venise se déroulera du 29 août au 8 septembre.
Sources: indiewire.com / MJLegend
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Séb.
"Et dans mes petits points sanglants d'où pendaient quatres ailes dorées, je haussais vers le ciel la gloire de mon père en face du soleil couchant." - Marcel Pagnol
Captain Eo- Admin
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Re: Bad 25 Documentary
Merci pour l'info Captain
Indana- Bloody
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Re: Bad 25 Documentary
Merci beaucoup j'ai vraiment hate de le voir il a l'air vraiment super!!!
vanessa46- Danger zone
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Re: Bad 25 Documentary
Spike Lee against the levee wall on the set of his movie, "If God is Willing and da Creek Don't Rise," in New Orleans. Lee has debuted a documentary about the late Michael Jackson during the Venice Film Festival 2012.
Michael Jackson Glorified in Spike Lee Movie in Venice
By Farah Nayeri on August 31, 2012
Twenty-five years to the day after Michael Jackson released his chart-topping album “Bad,” director Spike Lee rolled out his documentary on the making of the album at the Venice Film Festival.
“Bad 25” features informal footage shot by Jackson himself and recordings of his vocal exercises. There are also interviews with personalities he influenced -- including Mariah Carey, Cee Lo Green, Kanye West and even Justin Bieber.
Lee’s two-hour artistic tribute completely dismisses the tabloid reports of Jackson’s bizarre personal life, his pet monkey, plastic surgery and oxygen tank.
“It’s like saying there’s a cobweb on the ceiling of the Sistine Chapel,” says producer-composer Quincy Jones early on in “Bad 25.”
The documentary gives a blow-by-blow account of how the “Bad” album came about, focusing on the music videos for a more visual moviegoer experience.
Director Martin Scorsese is interviewed at the start about his 18-minute video for the “Bad” single, shot in the New York subway. Scorsese confesses that Michael’s signature crotch touch was a surprise to him -- and kept it in because it didn’t look inappropriate.
We hear of Jackson’s rivalry with Prince, and their frosty meeting, at which Prince appeared with a voodoo box that Jackson was convinced would put a spell on him.
Beating ‘Thriller’
Jackson had a motivational message of “100 million albums” which he inscribed in a mirror even before “Bad” came out, so determined was he to match and exceed the popularity of the previous album “Thriller.” His record producer also notes that Jackson had a business mind and would count his royalties.
Many segments are devoted to Jackson’s dance moves and choreographies. The film shows his well-publicized admiration of Fred Astaire and classic musicals, as well as of the more recent “All That Jazz.”
The movie ends with participants describing where they were when they heard of his death. The final shots, taken at the end of a mega-concert, are of Jackson saluting the audience with his arms stretched out in a crucifixion-like position.
“For me, this is a love letter to Michael,” said Lee, in a “Bad” T-shirt and a black beret, at a Venice news conference after the screening.
Lee said he and Jackson were close in age, and he related to the pop star: “I had the afro, the look, but singing and dancing: that’s where it stopped.”
One of the main reasons he did the film was because its producers “wanted to just concentrate on the music,” he said,
Lee heard of Jackson’s death while speaking at a Cannes conference. He flew back to the U.S. and was “out of it” for months, he said. Realizing he only had one Jackson album on his digital player, Lee bought every CD the star recorded and for the next year only played his music.
The 69th Venice Film Festival continues through Sept. 8. Information: http://www.labiennale.org/en/cinema/
Muse highlights include Zinta Lundborg’s New York weekend, Warwick Thompson on London theater and Jeremy Gerard on U.S. theater.
To contact the writer on the story: Farah Nayeri in Venice at farahn@bloomberg.net.
To contact the editor responsible for this story: Manuela Hoelterhoff at mhoelterhoff@bloomberg.net.
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Spike Lee contre le mur levée sur le plateau de son film, "Si Dieu le veut et da Creek n'augmentent pas», à la Nouvelle Orléans. Lee a fait ses débuts un documentaire sur le regretté Michael Jackson lors de la Mostra de Venise 2012.
Michael Jackson Gloire à Spike Lee Film de Venise
Par Farah Nayeri sur Août 31, 2012
Vingt-cinq ans jour pour jour après Michael Jackson sort son album en tête des charts "Bad", le réalisateur Spike Lee sorti son documentaire sur la réalisation de l'album au Festival du Film de Venise.
"Bad 25" coup de fonctionnalités images informelle par Jackson lui-même et enregistrements de ses exercices vocaux. Il ya aussi des entrevues avec des personnalités, il a influencé - y compris Mariah Carey, Cee Lo Green, Kanye West et même Justin Bieber.
Lee deux heures hommage artistique rejette complètement l' rapports tabloïd de Jackson vie personnelle bizarre, son animal de compagnie singe, la chirurgie plastique et bouteille d'oxygène.
«C'est comme si on disait qu'il ya une toile d'araignée sur le plafond de la Chapelle Sixtine », explique le producteur-compositeur Quincy Jones tôt dans "25 Bad."
Le documentaire donne un compte rendu détaillé par-coup de la façon dont l' "Bad" album est arrivé, en se concentrant sur les vidéos de musique pour un l'expérience cinéphile plus visuelle.
Le réalisateur Martin Scorsese est interviewé au début à propos de sa vidéo de 18 minutes pour le "Bad" unique, tourné dans le New York métro. Scorsese avoue que Michael tactile de la signature entrejambe C'était une surprise pour lui - et l'a gardé dans car il n'avait pas l'air inapproprié.
Nous entendons parler de rivalité Jackson avec Prince, et leur givré réunion, à laquelle le prince est apparu avec une boîte de vaudou que Jackson était convaincu aurait jeté un sort sur lui.
Battre «Thriller»
Jackson avait un message de motivation de «100 millions albums »qu'il inscrits dans un miroir avant même que" Bad "est venu , de sorte qu'il était déterminé à égaler et dépasser la popularité de le précédent album "Thriller". Son producteur de disques note également que Jackson avait le sens des affaires et compterait ses redevances.
De nombreux segments sont consacrés à la danse de Michael Jackson et de chorégraphies. Le film montre sa très médiatisée admiration de Fred Astaire et comédies musicales classiques, ainsi que de la plus récente "All That Jazz".
Le film se termine avec les participants décrivant où ils étaient Lorsqu'ils entendirent parler de sa mort. Les derniers plans, prises à la fin d'un méga concert-, sont de Jackson saluant le public avec son bras tendus dans une position semblable à la crucifixion.
«Pour moi, il s'agit d'une lettre d'amour à Michael", a déclaré Lee, dans un "Bad" T-shirt et un béret noir, à une conférence de nouvelles à Venise après la projection.
Lee a dit que lui et Jackson étaient proches en âge, et il a raconté à la pop star: «J'ai eu l'afro, le look, mais le chant et la danse: c'est là que ça s'arrête ».
L'une des principales raisons qu'il a fait le film parce que son producteurs «voulait juste se concentrer sur la musique», at-il dit,
Lee apprit la mort de Michael Jackson, tout en parlant à un Cannes conférence. Il revint aux États-Unis et qu'il était «hors de lui» pour mois, at-il dit. Réalisant qu'il n'avait qu'un seul album Jackson sur son lecteur numérique, Lee a acheté tous les CD enregistrés et l'étoile pour l'année suivante seulement joué sa musique.
Le Festival du Film de Venise 69e se poursuit à travers le 8 septembre. Information: http://www.labiennale.org/en/cinema/
Faits saillants comprennent Muse Zinta Lundborg à New York week-end, Warwick Thompson, le théâtre de Londres et Jeremy Gerard US théâtre.
Pour contacter l'auteur sur l'histoire: Farah Nayeri à Venise à farahn@bloomberg.net.
Pour contacter l'éditeur responsable de cette histoire: Manuela Hoelterhoff à mhoelterhoff@bloomberg.net.
http://www.businessweek.com/news/2012-08-31/michael-jackson-glorified-in-spike-lee-movie-in-venice
jiminy- Bloody
- Messages : 3896
Age : 54
Re: Bad 25 Documentary
Je viens poster cette vidéo de Spike Lee que je viens de trouver et j'aurais voulu demander à nos gentils traducteurs si ils avaient un peu de temps pour nous dire ce qu'il dit .
J'ai franchement l'impression que ce documentaire doit être intéressant et devrait me plaire .
BAD25 – Spike Lee’s Love Letter to Michael Jackson
Posted 10 hours ago by myetvmedia
Spike Lee’s Bad 25 is a truly amazing documentary focusing on the passion, inspiration and most of all – the music. By selectively presenting rare, unseen archival footage and interviews with people closest to the creation of the record BAD, Spike Lee shows us the brilliance of Michael Jackson as an artist. He takes us on a trip, song by song, making us feel like a part of the process. Michael Jackson’s life was mirrored in his compositions. What makes this film fresh is that we don’t see Michael through the eyes of media nor through the eyes of people who idealized him. The film does not make a statement on Jackson’s life – it describes his music, dancing skills, songwriting process and professionalism.
I was expecting yet another film about the tragedy and/or glory of Michael Jackson, a person trapped in a ‘wonderland’ of the celebrity life. Instead I saw a document on the creation of one of the most important albums in the history of music. As Spike Lee clarified afterwards – he wanted to show the work of Michael Jackson, to share the creative process. To see the blood, sweat and tears. “Michael did not just sit on his ass” says Lee. He was working hard from the age of 7 when he was studying the great musicians like James Brown. Michael Jackson confessed two of his greatest heroes were Fred Astaire and Gene Kelly. Spike Lee says he wanted to show how much hard work it is. “You don’t just roll out of bed and become a genius”. He wanted to show how involved in every aspect of the production Michael was.
Similar to Cameron Crowe’s ‘Pearl Jam 20’ we can tell that Spike Lee knows his story from the inside – culturally, emotionally and sometimes even esoterically. Lee managed to show archival footage of Michael’s collaborations with Quincy Jones and also to interview not only the group of people involved in the production process but also different generations of artists inspired by Jackson including Kanye West, Justin Bieber, Chris Brown, Cheryl Crowe and ?estlove among others.
Michael Jackson, like Elvis Presley or The Beatles, changed the music scene forever. ‘BAD’ came after two huge successes; Thriller (the world’s best selling album) and ‘Off the Wall’ but as Spike Leeshows, Michael wanted to do even better. The film mentions Jackson’s controversial life and his death only when it’s absolutely justified – to show the inspiration and passion of an artist.
Bad25 is not only about Michael’s talent, it’s about a team of professionals who contributed to making ‘Bad’ so special. It goes into depth on contributions of producer Quincy Jones, choreographers Jeffrey Daniel and Vincent Paterson, singer/songwriter Siedah Garrett, filmmakers Martin Scorsese (‘BAD’ short film) and Joe Pytka (‘Dirty Diana’, ‘The Way You Make Me Feel’ music videos) and many more.
The opening sequences of the doc are not what you would expect for a typical documentary and this reminds us exactly who the director is. There are ‘in your face moments’ when the ‘F word’ is treated as something usual and funny. There are moments when you laugh, there are moments when an occasional tear may drop from your eye. In the end though it is the passion for Michael Jackson’s music that describes the film most accurately. A truly great tribute for the 25th anniversary of ‘BAD’ released coincidentally on this date, Aug 31st a quarter century ago.
-Mat Kolodziejski
http://myetvmedia.com/film-review/bad25-spike-lees-love-letter-to-michael-jackson/
http://myetvmedia.com/film-review/bad25-spike-lees-love-letter-to-michael-jackson/2/
Spike Lee 25 Badest un documentaire vraiment incroyable mettant l'accent sur la passion, l'inspiration et surtout - la musique. Par présenter sélectivement rare, images inédites des archives et des entrevues avec des personnes proches de la création de l'enregistrement BAD, Spike Leenous montre l'éclat de Michael Jacksonen tant qu'artiste. Il nous emmène dans un voyage, chanson par chanson, de nous faire sentir comme une partie du processus. Michael Jacksonla vie se reflétait dans ses compositions. Ce qui rend ce film frais, c'est que nous ne voyons pas Michael à travers les yeux des médias, ni à travers les yeux de ceux qui l'idéalisait. Le film ne fait pas de déclaration sur la vie de Michael Jackson - il décrit sa musique, la danse des compétences, processus songwriting et de professionnalisme.
Je m'attendais à encore un autre film sur la tragédie et / ou de la gloire Michael Jackson, Une personne enfermée dans un «pays des merveilles» de la vie des célébrités. Au lieu de cela, j'ai vu un document sur la création de l'un des albums les plus importants de l'histoire de la musique. Comme Spike Leeclarifié par la suite - il a voulu montrer le travail des Michael Jackson, Afin de partager le processus créatif. Pour voir du sang, de la sueur et des larmes. "Michael n'a pas simplement s'asseoir sur son cul», Explique Lee. Il travaillait dur à partir de 7 ans alors qu'il étudiait les grands musiciens comme James Brown. Michael Jackson a avoué deux de ses plus grands héros étaient Fred Astaireet Gene Kelly. Spike Leedit qu'il voulait montrer à quel point il est dur labeur. "Il ne suffit pas rouler hors du lit et de devenir un génie". Il a voulu montrer comment impliquée dans chaque aspect de la production Michael était.
Semblable à Cameron Crowe ‘Pearl Jam 20 'nous pouvons dire que Spike Leeconnaît son histoire de l'intérieur - culturellement, émotionnellement et parfois même ésotérique. Lee a réussi à montrer des images d'archives des collaborations de Michael avec Quincy Joneset aussi d'interroger non seulement le groupe de personnes impliquées dans le processus de production, mais aussi les différentes générations d'artistes inspirés par l'inclusion Jackson Kanye West, Justin Bieber, Chris Brown, Cheryl Crowe et? Estloveentre autres.
Michael Jackson, Comme Elvis Presleyou Les Beatles, A changé à jamais la scène musicale. »«BAD intervenue après deux énormes succès; Thriller(Album le plus vendu au monde) et "OFF THE WALL " mais que Spike Lee spectacles, Michael voulait faire encore mieux. Le film évoque la vie controversée de Michael Jackson et sa mort seulement quand c'est absolument justifié - pour montrer l'inspiration et la passion d'un artiste.
Bad25 is non seulement sur le talent de Michael, il s'agit d'une équipe de professionnels qui ont contribué à faire de «mauvais» si spécial. Il passe en profondeur sur les contributions des producteurs Quincy Jones, Chorégraphes Jeffrey Danielet Vincent Paterson, Chanteur / compositeur Siedah Garrett, Les cinéastes Martin Scorsese (‘«MAUVAIScourt métrage) et Joe Pytka (‘Dirty Diana "," The Way You Make Me Feel " vidéos de musique) et bien d'autres encore.
Les séquences d'ouverture de la doc ne sont pas ce que vous attendez pour un documentaire typique et cela nous rappelle exactement qui est le directeur. Il ya «dans vos moments visage» lorsque le «mot F» est traitée comme quelque chose d'habituel et drôle. Il ya des moments où on rit, il ya des moments où une déchirure occasionnelle peuvent tomber de votre oeil. À la fin cependant, c'est la passion pour Michael Jackson musique qui décrit le film le plus précisément. Un hommage vraiment grand pour le 25e anniversaire de "BAD»Publié par hasard à cette date, 31 août un quart de siècle.
-Mat Kolodziejski
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RE EDIT
Reuters
Business
Lee brings Michael Jackson "Bad" magic to big screen
Fri, Aug 31 19:47 PM IST
* "Bad 25" is documentary on making of Jackson album
* Spike Lee calls it his "love letter" to singer
* Jackson obsessed by detail, at height of his powers
* Film borders on hagiography, has great performances
By Mike Collett-White
VENICE, Aug 31 (Reuters) - Spike Lee's film about the making of Michael Jackson's 1987 album "Bad" may border on hagiography at times, but live footage and the singer's attention to detail when at the peak of his powers are a reminder of why he remains the "King of Pop".
The two-hour documentary called "Bad 25", which has its world premiere at the Venice film festival on Friday, is a familiar mix of talking heads - choreographers, producers and stars - and film of concerts, rehearsals and music videos.
Released to coincide with the 25th anniversary of Jackson's acclaimed follow-up to "Thriller", Lee provides few surprises for Jackson aficionados, but paints a picture of a genius at work who cared about every step of the production process.
"I think that it was too many years we've ... concentrated on stuff about Michael Jackson that had nothing to do with the music," Lee told reporters, 25 years to the day after Bad hit the shelves.
The documentary, which Lee called his "love letter" to Jackson, has the backing both of the singer's estate and his record label, giving Lee access to many of the key players in the making of what is regarded as a milestone album.
"It was a chance to really dig into his creative process," he added.
"We all are blessed with the final work, but it's rare that you get to see how something is put together. We just see the final product. We don't see the blood, sweat and tears, all the work that goes into how the masters work."
Among the novelties is footage taken by Jackson himself, using a handheld camera, of Siedah Garrett singing "Man in the Mirror", the song she co-wrote for the star, a cappella save for an off-camera clicking of fingers laying down the beat.
There are also small yet enlightening insights and hints as to Jackson's true character, be it his interest in women, competitive spirit, professional drive or obsession over the smallest riff and dance step.
Garrett, for example, recalls how Jackson playfully threw popcorn at her as she tried to record "I Just Can't Stop Loving You", earning her, but not Jackson, a sharp rebuke from the onlooking producer Quincy Jones.
"NOT OF THIS WORLD"
Sheryl Crow said she was often asked whether Jackson became aroused when they performed a raunchy rendition of the song on his record-breaking "Bad" tour. She did not provide an answer.
Actress Tatiana Thumbtzen speculated that mint on the singer's breath suggested he may have been prepared for a kiss at the end of the "The Way You Make Me Feel" video, despite strict instructions only to embrace the singer.
Lawyer John Branca, who administers Jackson's estate following his death aged 50 in 2009, recalled a meeting Jackson arranged with his arch-rival Prince.
"It was not a happy meeting," he said, adding Prince had brought along a "voodoo box" which Jackson feared meant he was trying to cast a spell on him.
That rivalry was part of a competitive streak in Jackson that drove him to try to top the sensational success of his 1982 album "Thriller", still the best-selling album of all time, with Bad five years later.
He even scrawled "100,000,000" on his mirror to remind him of his target. While industry estimates vary widely, Thriller is estimated to have sold between 60-110 million copies worldwide, while Bad went on to sell 30-45 million.
Nothing, it seemed, was too trival. In one sequence, Jackson comically re-enacts exactly how he wants two animated characters who feature in a commercial to behave.
On a more serious level, Lee explores how Jackson's Afro-American roots were important to him, despite his gradually transforming facial features that made him appear more Caucasian.
Several interviewees could not contain their tears as they remembered when they heard of Jackson's passing, and several voiced their conviction at the time that it was not true.
Crow was among those who struggled to explain Jackson's talent. "The molecules changed in the room," she said of his presence. "He changed the molecules."
Near the end of Bad 25 there is a memorable live performance of "Man in the Mirror", after which Jackson holds his hands aloft to form the shape of a cross.
"Michael's not here to answer that. I cannot say he's trying to be Jesus Christ," Lee said in answer to a reporter's question.
"I'm not going to say that Michael was saying he was Jesus Christ, but you look at that performance - he's somewhere else. That's one of the greatest performances ever. You see the way Michael's singing that song, he is not of this world." (Editing by Steve Addison)
http://in.mobile.reuters.com/article/idINL6E8JV6K720120831?irpc=932
Reuters
Entreprise
Lee apporte Michael Jackson "Bad" magie au grand écran
Ven, 31 août 19:47 CEST
* "Bad 25" est documentaire sur l'album making of Jackson
* Spike Lee appelle sa «lettre d'amour» à la chanteuse
* Jackson obsédé par le détail, à la hauteur de ses pouvoirs
* Film frontières sur l'hagiographie, a de grandes performances
Par Mike Collett-White
VENISE, 31 août (Reuters) - Le film de Spike Lee à propos de la décision de Michael Jackson en 1987 l'album "Bad" proche parfois de l'hagiographie parfois, mais des images en direct et l'attention de la chanteuse aux détails quand à l'apogée de ses pouvoirs sont un rappel des raisons pour lesquelles il reste le "roi de la pop".
Le documentaire de deux heures intitulé «Bad 25", qui sera présenté en première mondiale au festival du film de Venise le vendredi est un mélange familier de têtes parlantes - chorégraphes, les producteurs et les étoiles - et les films de concerts, de répétitions et de vidéoclips.
Publié pour coïncider avec le 25e anniversaire du célèbre Jackson suivi de "Thriller", Lee offre quelques surprises pour les amateurs de Jackson, mais dresse un portrait d'un génie au travail qui se soucie de chaque étape du processus de production.
"Je pense que c'était de trop nombreuses années, nous avons concentré sur des choses ... de Michael Jackson qui n'avait rien à voir avec la musique", a déclaré Lee, 25 ans jour pour jour après Bad frappé les étagères.
Le documentaire, qui Lee a appelé sa "lettre d'amour" de Jackson, a le soutien tant de la succession de la chanteuse et son label, donnant accès Lee à la plupart des principaux acteurs de la fabrication de ce qui est considéré comme un album marquant.
«C'était une chance de vraiment creuser dans son processus créatif», at-il ajouté.
"Nous sommes tous bénis avec le travail final, mais il est rare que vous obtenez de voir comment quelque chose est mis en place. Nous venons de voir le produit final. Nous ne voyons pas le sang, la sueur et les larmes, tout le travail qui va dans la façon dont le travail des maîtres. "
Parmi les nouveautés ya des séquences prises par Jackson lui-même, à l'aide d'une caméra à l'épaule, de Siedah Garrett chante "Man in the Mirror", la chanson qu'elle a co-écrit pour la star, une sauvegarde a cappella pour un hors-champ en cliquant des doigts fixant les battre.
Il ya aussi des idées de petites encore édifiant et des conseils quant à la véritable nature de Jackson, que ce soit son intérêt pour les femmes, esprit de compétition, d'entraînement professionnel ou obsession sur le plus petit riff et pas de danse.
Garrett, par exemple, se rappelle comment Jackson ludique jeté pop-corn à elle comme elle a essayé d'enregistrer "I Just Cant Stop Loving You", son gain, mais pas Jackson, une réprimande sévère de la spectatrice producteur Quincy Jones.
"PAS DE CE MONDE"
Sheryl Crow a dit qu'elle était souvent demandé si Jackson est devenu excité quand ils ont effectué une interprétation torride de la chanson sur son record de "Bad" tour. Elle ne donne pas de réponse.
Actrice Tatiana Thumbtzen émis l'hypothèse que la menthe sur le souffle de la chanteuse a suggéré qu'il pourrait avoir été préparé pour un baiser à la fin de l'"The Way You Make Me Feel" vidéo, en dépit des instructions strictes seulement à accueillir le chanteur.
Avocat John Branca, qui administre succession de Michael Jackson après sa mort âgé de 50 ans en 2009, a rappelé une réunion Jackson arrangé avec son rival Prince.
«Ce n'était pas une rencontre heureuse,» at-il dit, ajoutant prince avait apporté une «boîte vaudou», qui craignait qu'il Jackson qu'il tentait de jeter un sort sur lui.
Cette rivalité a été le cadre d'un esprit de compétition à Jackson qui l'a poussé à essayer en haut du succès sensationnel de son album de 1982 "Thriller", l'album reste le plus vendu de tous les temps, avec Bad cinq ans plus tard.
Il a même griffonné "100000000" sur son miroir de lui rappeler sa cible. Bien que les estimations varient considérablement de l'industrie, Thriller est estimé avoir vendu entre 60 à 110.000.000 exemplaires dans le monde, tandis que Bad s'est vendu à 30 à 45.000.000.
Rien, semblait-il, était trop trival. Dans une séquence, comique Jackson rejoue exactement comment il veut deux personnages animés qui comportent dans un environnement commercial se comporter.
Sur un plan plus sérieux, Lee explore comment Jackson racines afro-américaines étaient importantes pour lui, en dépit de sa transformation progressive traits du visage qui fait de lui paraître plus blanche.
Plusieurs personnes interrogées ne pouvaient contenir leurs larmes en se souvenant quand ils ont entendu de la mort de Michael Jackson, et plusieurs ont exprimé leur conviction à l'époque que ce n'était pas vrai.
Crow était parmi ceux qui ont du mal à expliquer le talent de Michael Jackson. "Les molécules changé dans la salle», dit-elle de sa présence. "Il a changé les molécules."
Vers la fin du 25 Bad il ya une performance mémorable live de "Man in the Mirror", après quoi Jackson tient ses mains en l'air pour former la forme d'une croix.
"Michael n'est pas là pour répondre. Je ne peux pas dire qu'il essaie d'être Jésus-Christ," a déclaré Lee en réponse à la question d'un journaliste.
«Je ne vais pas dire que Michael a dit qu'il était Jésus-Christ, mais vous regardez que la performance - il est ailleurs C'est l'une des plus grandes performances jamais vous voyez la façon dont le chant de Michael cette chanson, il n'est pas de cela.. monde. " (Édité par Steve Addison)
Bon , ce n'est pô le tout Spike , mais quand est-ce que nous allons pouvoir le voir , nous ??? Parce que plus j'en lis , plus j'ai hâte d'y être !!!
J'ai franchement l'impression que ce documentaire doit être intéressant et devrait me plaire .
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EDIT
BAD25 – Spike Lee’s Love Letter to Michael Jackson
Posted 10 hours ago by myetvmedia
Spike Lee’s Bad 25 is a truly amazing documentary focusing on the passion, inspiration and most of all – the music. By selectively presenting rare, unseen archival footage and interviews with people closest to the creation of the record BAD, Spike Lee shows us the brilliance of Michael Jackson as an artist. He takes us on a trip, song by song, making us feel like a part of the process. Michael Jackson’s life was mirrored in his compositions. What makes this film fresh is that we don’t see Michael through the eyes of media nor through the eyes of people who idealized him. The film does not make a statement on Jackson’s life – it describes his music, dancing skills, songwriting process and professionalism.
I was expecting yet another film about the tragedy and/or glory of Michael Jackson, a person trapped in a ‘wonderland’ of the celebrity life. Instead I saw a document on the creation of one of the most important albums in the history of music. As Spike Lee clarified afterwards – he wanted to show the work of Michael Jackson, to share the creative process. To see the blood, sweat and tears. “Michael did not just sit on his ass” says Lee. He was working hard from the age of 7 when he was studying the great musicians like James Brown. Michael Jackson confessed two of his greatest heroes were Fred Astaire and Gene Kelly. Spike Lee says he wanted to show how much hard work it is. “You don’t just roll out of bed and become a genius”. He wanted to show how involved in every aspect of the production Michael was.
Similar to Cameron Crowe’s ‘Pearl Jam 20’ we can tell that Spike Lee knows his story from the inside – culturally, emotionally and sometimes even esoterically. Lee managed to show archival footage of Michael’s collaborations with Quincy Jones and also to interview not only the group of people involved in the production process but also different generations of artists inspired by Jackson including Kanye West, Justin Bieber, Chris Brown, Cheryl Crowe and ?estlove among others.
Michael Jackson, like Elvis Presley or The Beatles, changed the music scene forever. ‘BAD’ came after two huge successes; Thriller (the world’s best selling album) and ‘Off the Wall’ but as Spike Leeshows, Michael wanted to do even better. The film mentions Jackson’s controversial life and his death only when it’s absolutely justified – to show the inspiration and passion of an artist.
Bad25 is not only about Michael’s talent, it’s about a team of professionals who contributed to making ‘Bad’ so special. It goes into depth on contributions of producer Quincy Jones, choreographers Jeffrey Daniel and Vincent Paterson, singer/songwriter Siedah Garrett, filmmakers Martin Scorsese (‘BAD’ short film) and Joe Pytka (‘Dirty Diana’, ‘The Way You Make Me Feel’ music videos) and many more.
The opening sequences of the doc are not what you would expect for a typical documentary and this reminds us exactly who the director is. There are ‘in your face moments’ when the ‘F word’ is treated as something usual and funny. There are moments when you laugh, there are moments when an occasional tear may drop from your eye. In the end though it is the passion for Michael Jackson’s music that describes the film most accurately. A truly great tribute for the 25th anniversary of ‘BAD’ released coincidentally on this date, Aug 31st a quarter century ago.
-Mat Kolodziejski
http://myetvmedia.com/film-review/bad25-spike-lees-love-letter-to-michael-jackson/
http://myetvmedia.com/film-review/bad25-spike-lees-love-letter-to-michael-jackson/2/
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Spike Lee 25 Badest un documentaire vraiment incroyable mettant l'accent sur la passion, l'inspiration et surtout - la musique. Par présenter sélectivement rare, images inédites des archives et des entrevues avec des personnes proches de la création de l'enregistrement BAD, Spike Leenous montre l'éclat de Michael Jacksonen tant qu'artiste. Il nous emmène dans un voyage, chanson par chanson, de nous faire sentir comme une partie du processus. Michael Jacksonla vie se reflétait dans ses compositions. Ce qui rend ce film frais, c'est que nous ne voyons pas Michael à travers les yeux des médias, ni à travers les yeux de ceux qui l'idéalisait. Le film ne fait pas de déclaration sur la vie de Michael Jackson - il décrit sa musique, la danse des compétences, processus songwriting et de professionnalisme.
Je m'attendais à encore un autre film sur la tragédie et / ou de la gloire Michael Jackson, Une personne enfermée dans un «pays des merveilles» de la vie des célébrités. Au lieu de cela, j'ai vu un document sur la création de l'un des albums les plus importants de l'histoire de la musique. Comme Spike Leeclarifié par la suite - il a voulu montrer le travail des Michael Jackson, Afin de partager le processus créatif. Pour voir du sang, de la sueur et des larmes. "Michael n'a pas simplement s'asseoir sur son cul», Explique Lee. Il travaillait dur à partir de 7 ans alors qu'il étudiait les grands musiciens comme James Brown. Michael Jackson a avoué deux de ses plus grands héros étaient Fred Astaireet Gene Kelly. Spike Leedit qu'il voulait montrer à quel point il est dur labeur. "Il ne suffit pas rouler hors du lit et de devenir un génie". Il a voulu montrer comment impliquée dans chaque aspect de la production Michael était.
Semblable à Cameron Crowe ‘Pearl Jam 20 'nous pouvons dire que Spike Leeconnaît son histoire de l'intérieur - culturellement, émotionnellement et parfois même ésotérique. Lee a réussi à montrer des images d'archives des collaborations de Michael avec Quincy Joneset aussi d'interroger non seulement le groupe de personnes impliquées dans le processus de production, mais aussi les différentes générations d'artistes inspirés par l'inclusion Jackson Kanye West, Justin Bieber, Chris Brown, Cheryl Crowe et? Estloveentre autres.
Michael Jackson, Comme Elvis Presleyou Les Beatles, A changé à jamais la scène musicale. »«BAD intervenue après deux énormes succès; Thriller(Album le plus vendu au monde) et "OFF THE WALL " mais que Spike Lee spectacles, Michael voulait faire encore mieux. Le film évoque la vie controversée de Michael Jackson et sa mort seulement quand c'est absolument justifié - pour montrer l'inspiration et la passion d'un artiste.
Bad25 is non seulement sur le talent de Michael, il s'agit d'une équipe de professionnels qui ont contribué à faire de «mauvais» si spécial. Il passe en profondeur sur les contributions des producteurs Quincy Jones, Chorégraphes Jeffrey Danielet Vincent Paterson, Chanteur / compositeur Siedah Garrett, Les cinéastes Martin Scorsese (‘«MAUVAIScourt métrage) et Joe Pytka (‘Dirty Diana "," The Way You Make Me Feel " vidéos de musique) et bien d'autres encore.
Les séquences d'ouverture de la doc ne sont pas ce que vous attendez pour un documentaire typique et cela nous rappelle exactement qui est le directeur. Il ya «dans vos moments visage» lorsque le «mot F» est traitée comme quelque chose d'habituel et drôle. Il ya des moments où on rit, il ya des moments où une déchirure occasionnelle peuvent tomber de votre oeil. À la fin cependant, c'est la passion pour Michael Jackson musique qui décrit le film le plus précisément. Un hommage vraiment grand pour le 25e anniversaire de "BAD»Publié par hasard à cette date, 31 août un quart de siècle.
-Mat Kolodziejski
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RE EDIT
Reuters
Business
Lee brings Michael Jackson "Bad" magic to big screen
Fri, Aug 31 19:47 PM IST
* "Bad 25" is documentary on making of Jackson album
* Spike Lee calls it his "love letter" to singer
* Jackson obsessed by detail, at height of his powers
* Film borders on hagiography, has great performances
By Mike Collett-White
VENICE, Aug 31 (Reuters) - Spike Lee's film about the making of Michael Jackson's 1987 album "Bad" may border on hagiography at times, but live footage and the singer's attention to detail when at the peak of his powers are a reminder of why he remains the "King of Pop".
The two-hour documentary called "Bad 25", which has its world premiere at the Venice film festival on Friday, is a familiar mix of talking heads - choreographers, producers and stars - and film of concerts, rehearsals and music videos.
Released to coincide with the 25th anniversary of Jackson's acclaimed follow-up to "Thriller", Lee provides few surprises for Jackson aficionados, but paints a picture of a genius at work who cared about every step of the production process.
"I think that it was too many years we've ... concentrated on stuff about Michael Jackson that had nothing to do with the music," Lee told reporters, 25 years to the day after Bad hit the shelves.
The documentary, which Lee called his "love letter" to Jackson, has the backing both of the singer's estate and his record label, giving Lee access to many of the key players in the making of what is regarded as a milestone album.
"It was a chance to really dig into his creative process," he added.
"We all are blessed with the final work, but it's rare that you get to see how something is put together. We just see the final product. We don't see the blood, sweat and tears, all the work that goes into how the masters work."
Among the novelties is footage taken by Jackson himself, using a handheld camera, of Siedah Garrett singing "Man in the Mirror", the song she co-wrote for the star, a cappella save for an off-camera clicking of fingers laying down the beat.
There are also small yet enlightening insights and hints as to Jackson's true character, be it his interest in women, competitive spirit, professional drive or obsession over the smallest riff and dance step.
Garrett, for example, recalls how Jackson playfully threw popcorn at her as she tried to record "I Just Can't Stop Loving You", earning her, but not Jackson, a sharp rebuke from the onlooking producer Quincy Jones.
"NOT OF THIS WORLD"
Sheryl Crow said she was often asked whether Jackson became aroused when they performed a raunchy rendition of the song on his record-breaking "Bad" tour. She did not provide an answer.
Actress Tatiana Thumbtzen speculated that mint on the singer's breath suggested he may have been prepared for a kiss at the end of the "The Way You Make Me Feel" video, despite strict instructions only to embrace the singer.
Lawyer John Branca, who administers Jackson's estate following his death aged 50 in 2009, recalled a meeting Jackson arranged with his arch-rival Prince.
"It was not a happy meeting," he said, adding Prince had brought along a "voodoo box" which Jackson feared meant he was trying to cast a spell on him.
That rivalry was part of a competitive streak in Jackson that drove him to try to top the sensational success of his 1982 album "Thriller", still the best-selling album of all time, with Bad five years later.
He even scrawled "100,000,000" on his mirror to remind him of his target. While industry estimates vary widely, Thriller is estimated to have sold between 60-110 million copies worldwide, while Bad went on to sell 30-45 million.
Nothing, it seemed, was too trival. In one sequence, Jackson comically re-enacts exactly how he wants two animated characters who feature in a commercial to behave.
On a more serious level, Lee explores how Jackson's Afro-American roots were important to him, despite his gradually transforming facial features that made him appear more Caucasian.
Several interviewees could not contain their tears as they remembered when they heard of Jackson's passing, and several voiced their conviction at the time that it was not true.
Crow was among those who struggled to explain Jackson's talent. "The molecules changed in the room," she said of his presence. "He changed the molecules."
Near the end of Bad 25 there is a memorable live performance of "Man in the Mirror", after which Jackson holds his hands aloft to form the shape of a cross.
"Michael's not here to answer that. I cannot say he's trying to be Jesus Christ," Lee said in answer to a reporter's question.
"I'm not going to say that Michael was saying he was Jesus Christ, but you look at that performance - he's somewhere else. That's one of the greatest performances ever. You see the way Michael's singing that song, he is not of this world." (Editing by Steve Addison)
http://in.mobile.reuters.com/article/idINL6E8JV6K720120831?irpc=932
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Reuters
Entreprise
Lee apporte Michael Jackson "Bad" magie au grand écran
Ven, 31 août 19:47 CEST
* "Bad 25" est documentaire sur l'album making of Jackson
* Spike Lee appelle sa «lettre d'amour» à la chanteuse
* Jackson obsédé par le détail, à la hauteur de ses pouvoirs
* Film frontières sur l'hagiographie, a de grandes performances
Par Mike Collett-White
VENISE, 31 août (Reuters) - Le film de Spike Lee à propos de la décision de Michael Jackson en 1987 l'album "Bad" proche parfois de l'hagiographie parfois, mais des images en direct et l'attention de la chanteuse aux détails quand à l'apogée de ses pouvoirs sont un rappel des raisons pour lesquelles il reste le "roi de la pop".
Le documentaire de deux heures intitulé «Bad 25", qui sera présenté en première mondiale au festival du film de Venise le vendredi est un mélange familier de têtes parlantes - chorégraphes, les producteurs et les étoiles - et les films de concerts, de répétitions et de vidéoclips.
Publié pour coïncider avec le 25e anniversaire du célèbre Jackson suivi de "Thriller", Lee offre quelques surprises pour les amateurs de Jackson, mais dresse un portrait d'un génie au travail qui se soucie de chaque étape du processus de production.
"Je pense que c'était de trop nombreuses années, nous avons concentré sur des choses ... de Michael Jackson qui n'avait rien à voir avec la musique", a déclaré Lee, 25 ans jour pour jour après Bad frappé les étagères.
Le documentaire, qui Lee a appelé sa "lettre d'amour" de Jackson, a le soutien tant de la succession de la chanteuse et son label, donnant accès Lee à la plupart des principaux acteurs de la fabrication de ce qui est considéré comme un album marquant.
«C'était une chance de vraiment creuser dans son processus créatif», at-il ajouté.
"Nous sommes tous bénis avec le travail final, mais il est rare que vous obtenez de voir comment quelque chose est mis en place. Nous venons de voir le produit final. Nous ne voyons pas le sang, la sueur et les larmes, tout le travail qui va dans la façon dont le travail des maîtres. "
Parmi les nouveautés ya des séquences prises par Jackson lui-même, à l'aide d'une caméra à l'épaule, de Siedah Garrett chante "Man in the Mirror", la chanson qu'elle a co-écrit pour la star, une sauvegarde a cappella pour un hors-champ en cliquant des doigts fixant les battre.
Il ya aussi des idées de petites encore édifiant et des conseils quant à la véritable nature de Jackson, que ce soit son intérêt pour les femmes, esprit de compétition, d'entraînement professionnel ou obsession sur le plus petit riff et pas de danse.
Garrett, par exemple, se rappelle comment Jackson ludique jeté pop-corn à elle comme elle a essayé d'enregistrer "I Just Cant Stop Loving You", son gain, mais pas Jackson, une réprimande sévère de la spectatrice producteur Quincy Jones.
"PAS DE CE MONDE"
Sheryl Crow a dit qu'elle était souvent demandé si Jackson est devenu excité quand ils ont effectué une interprétation torride de la chanson sur son record de "Bad" tour. Elle ne donne pas de réponse.
Actrice Tatiana Thumbtzen émis l'hypothèse que la menthe sur le souffle de la chanteuse a suggéré qu'il pourrait avoir été préparé pour un baiser à la fin de l'"The Way You Make Me Feel" vidéo, en dépit des instructions strictes seulement à accueillir le chanteur.
Avocat John Branca, qui administre succession de Michael Jackson après sa mort âgé de 50 ans en 2009, a rappelé une réunion Jackson arrangé avec son rival Prince.
«Ce n'était pas une rencontre heureuse,» at-il dit, ajoutant prince avait apporté une «boîte vaudou», qui craignait qu'il Jackson qu'il tentait de jeter un sort sur lui.
Cette rivalité a été le cadre d'un esprit de compétition à Jackson qui l'a poussé à essayer en haut du succès sensationnel de son album de 1982 "Thriller", l'album reste le plus vendu de tous les temps, avec Bad cinq ans plus tard.
Il a même griffonné "100000000" sur son miroir de lui rappeler sa cible. Bien que les estimations varient considérablement de l'industrie, Thriller est estimé avoir vendu entre 60 à 110.000.000 exemplaires dans le monde, tandis que Bad s'est vendu à 30 à 45.000.000.
Rien, semblait-il, était trop trival. Dans une séquence, comique Jackson rejoue exactement comment il veut deux personnages animés qui comportent dans un environnement commercial se comporter.
Sur un plan plus sérieux, Lee explore comment Jackson racines afro-américaines étaient importantes pour lui, en dépit de sa transformation progressive traits du visage qui fait de lui paraître plus blanche.
Plusieurs personnes interrogées ne pouvaient contenir leurs larmes en se souvenant quand ils ont entendu de la mort de Michael Jackson, et plusieurs ont exprimé leur conviction à l'époque que ce n'était pas vrai.
Crow était parmi ceux qui ont du mal à expliquer le talent de Michael Jackson. "Les molécules changé dans la salle», dit-elle de sa présence. "Il a changé les molécules."
Vers la fin du 25 Bad il ya une performance mémorable live de "Man in the Mirror", après quoi Jackson tient ses mains en l'air pour former la forme d'une croix.
"Michael n'est pas là pour répondre. Je ne peux pas dire qu'il essaie d'être Jésus-Christ," a déclaré Lee en réponse à la question d'un journaliste.
«Je ne vais pas dire que Michael a dit qu'il était Jésus-Christ, mais vous regardez que la performance - il est ailleurs C'est l'une des plus grandes performances jamais vous voyez la façon dont le chant de Michael cette chanson, il n'est pas de cela.. monde. " (Édité par Steve Addison)
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Bon , ce n'est pô le tout Spike , mais quand est-ce que nous allons pouvoir le voir , nous ??? Parce que plus j'en lis , plus j'ai hâte d'y être !!!
jiminy- Bloody
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Re: Bad 25 Documentary
Merci beaucoup beaucoup Jiminy moi aussi j'ai hate qu'on puisse le voir en france!!
vanessa46- Danger zone
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Re: Bad 25 Documentary
Traduction :
C'est un jour spécial et, ce n'est pas un accident. Il y a 25 ans aujourd'hui, l'album BAD est sorti.
Ses enfants, vont beaucoup apprendre sur leur père en voyant ce documentaire.
Vous ne verrez pas , les larmes, la sueur, le travail de maitrise..C'est l'opportunité de voir le processus créatif, de parler du musicien, des gens qui ont collaboré avec Mike.
Les gens oublient que l'album BAD, a suivi l'album Thriller. Mike était vraiment sous pression avec cet album.
Il n'était jamais satisfait de ce qu'il faisait. Il voulait toujours le meilleur, le plus grand..Les grand artistes, ne répètent pas les choses encore et encore.
Nous avons un accès complet ( avec l'Estate) à ce que le monde, n'a jamais vu encore.
Mike a étudié, s'est inspiré de ce que les grands artistes ( Fred Astaire, Gene Kelly, James Brown) ont fait. Pas seulement la musique mais, la danse, la photo et, a pris tous ce que ces grands ont fait dans le monde et l'a incorporé dans ce qu'il a fait.
J'ai grandi avec Mike, je suis né en 1957. Quand j'ai vu les Jackson5, en 69, je voulais être Mike, avoir la coupe afro..
Pour moi, le documentaire, c'est la confirmation de comment il a travaillé dur.
Il travaillait dur à l'âge de 7 ans, étudiant ces grands artistes..
On y parle de sa musique, de son travail, de son génie ( pas des médias, sa vie privée.;)
Quand j'ai appris sa mort, j'étais à une conférence à Cannes, ont m'a appelé. Je n'y croyais pas : ce n'est pas vari.
Quand j'ai vu Jermaine sur CNN, annoncé la mortde Mike, j'ai pris l'avion pour N.York..
J'ai regardé mon I Pad, c'est gênant mais, je n'avais qu'un album dedans " off the wall"...
Mike, ne disait pas vidéo pour les clilps mais : court-métrage...
C'est un jour spécial et, ce n'est pas un accident. Il y a 25 ans aujourd'hui, l'album BAD est sorti.
Ses enfants, vont beaucoup apprendre sur leur père en voyant ce documentaire.
Vous ne verrez pas , les larmes, la sueur, le travail de maitrise..C'est l'opportunité de voir le processus créatif, de parler du musicien, des gens qui ont collaboré avec Mike.
Les gens oublient que l'album BAD, a suivi l'album Thriller. Mike était vraiment sous pression avec cet album.
Il n'était jamais satisfait de ce qu'il faisait. Il voulait toujours le meilleur, le plus grand..Les grand artistes, ne répètent pas les choses encore et encore.
Nous avons un accès complet ( avec l'Estate) à ce que le monde, n'a jamais vu encore.
Mike a étudié, s'est inspiré de ce que les grands artistes ( Fred Astaire, Gene Kelly, James Brown) ont fait. Pas seulement la musique mais, la danse, la photo et, a pris tous ce que ces grands ont fait dans le monde et l'a incorporé dans ce qu'il a fait.
J'ai grandi avec Mike, je suis né en 1957. Quand j'ai vu les Jackson5, en 69, je voulais être Mike, avoir la coupe afro..
Pour moi, le documentaire, c'est la confirmation de comment il a travaillé dur.
Il travaillait dur à l'âge de 7 ans, étudiant ces grands artistes..
On y parle de sa musique, de son travail, de son génie ( pas des médias, sa vie privée.;)
Quand j'ai appris sa mort, j'étais à une conférence à Cannes, ont m'a appelé. Je n'y croyais pas : ce n'est pas vari.
Quand j'ai vu Jermaine sur CNN, annoncé la mortde Mike, j'ai pris l'avion pour N.York..
J'ai regardé mon I Pad, c'est gênant mais, je n'avais qu'un album dedans " off the wall"...
Mike, ne disait pas vidéo pour les clilps mais : court-métrage...
syl- Bloody
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Re: Bad 25 Documentary
Patience, Jiminy, patience, ça ne va pas tarder !jiminy a écrit:Bon , ce n'est pô le tout Spike , mais quand est-ce que nous allons pouvoir le voir , nous ??? Parce que plus j'en lis , plus j'ai hâte d'y être !!!
Pour rappel, le site officiel michaeljackson.com et MJFrance ont annoncé courant août la projection exclusive du documentaire aujourd'hui à 18H00 au Max Linder Panorama (Paris IX):
---> http://www.michaeljackson.com/fr/home
---> http://mjfrance.com/actu/post/2012/08/17/Projection-exclusive-du-documentaire-Bad-25-le-1er-septembre-2012-%C3%A0-18H00-au-Max-Linder-Panorama-de-PARIS.../3677
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Séb.
"Et dans mes petits points sanglants d'où pendaient quatres ailes dorées, je haussais vers le ciel la gloire de mon père en face du soleil couchant." - Marcel Pagnol
Captain Eo- Admin
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Re: Bad 25 Documentary
Captain Eo a écrit:
Patience, Jiminy, patience, ça ne va pas tarder !
Patience , n'a jamais été mon second prénom Captain ... , sauf pour cet hoax , je ne sais pourquoi d'ailleurs . P-e que ma confiance en Mike est telle que je sais que cela viendra à point nommé .
Merci pour les infos .
jiminy- Bloody
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Re: Bad 25 Documentary
"Spike Lee à Paris pour la projection exclusive de ‘Bad 25 : Le Documentaire’
Michael Jacksonnews
publié le 03.09.2012
Spike Lee était à Paris samedi dernier pour assister à la projection privée le documentaire BAD 25 qu’il a réalisé en collaboration avec Sony Music, Legacy Recordings et The Estate of Michael Jackson.
C’est dans une salle comble (plus de 500 personnes présentes) du cinéma Max Linder que, le réalisateur a présenté le documentaire consacré à cet album phare de Michael Jackson. Il a prononcé quelques mots de remerciements au terme de la projection ponctuée d’une standing ovation : « Michael nous a quitté physiquement, mais son esprit est toujours là, chaque jour. Son esprit vit à travers sa musique. Et sa musique vivra jusqu’à la fin des temps. Pour aller de l’avant, ce que nous allons faire, c’est se concentrer sur sa musique, sur l’art qu’il nous a laissé. C’est ce qui compte le plus »"
http://www.legacyrecordings.fr/spike-lee-a-paris-pour-la-projection-exclusive-de-bad-25-le-documentaire/
http://mjdatabank.com/mjjnews/wordpress/2012/09/03/spike-lee-a-paris-pour-presenter-bad-25/
Pfffffff , moi aussi je veuuuuuuux le voir .
Si il sort au ciné , j'y suis le premier soir .
jiminy- Bloody
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Re: Bad 25 Documentary
Bon bin on va patienter alors
Indana- Bloody
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Age : 42
Localisation : Lexy (54)
Re: Bad 25 Documentary
Comme d'hab, je passe en vitesse mais je reviendrai ce week-end pour vous parler de ce documentaire que j'ai eu la chance de voir la semaine dernière. Mais en attendant, sachez que certaines choses me confortent dans l'idée que Michael est bien là, dans le reportage d'une part et dans les propos de Spike Lee d'autre part. Pour info, il sort fin novembre aux USA et en février en France. Encore pas mal de temps à patienter, d'autant qu'il est GENIAL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Sunflower- Book II
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Age : 59
Re: Bad 25 Documentary
Sunflower a écrit:Comme d'hab, je passe en vitesse mais je reviendrai ce week-end pour vous parler de ce documentaire que j'ai eu la chance de voir la semaine dernière. Mais en attendant, sachez que certaines choses me confortent dans l'idée que Michael est bien là, dans le reportage d'une part et dans les propos de Spike Lee d'autre part. Pour info, il sort fin novembre aux USA et en février en France. Encore pas mal de temps à patienter, d'autant qu'il est GENIAL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
...... février ????
Jiminy va tourner "bredinne" !
J'espère que tu viendras nous donner tes ressentis et nous parler un petit peu de ce documentaire .
jiminy- Bloody
- Messages : 3896
Age : 54
Re: Bad 25 Documentary
J'ai hâte de lire tes impressions, Sun. Ce documentaire me fait de plus en plus envie !
En attendant, voici des publications du MJJ Legacy et du MJLegend qui devraient mettre l'eau à la bouche de tout le monde:
---> http://www.mjjlegacy-officiel.com/news/91-spike-lee-a-paris
---> http://www.mjlegend.com/news/documentaire-bad25
En attendant, voici des publications du MJJ Legacy et du MJLegend qui devraient mettre l'eau à la bouche de tout le monde:
---> http://www.mjjlegacy-officiel.com/news/91-spike-lee-a-paris
---> http://www.mjlegend.com/news/documentaire-bad25
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Séb.
"Et dans mes petits points sanglants d'où pendaient quatres ailes dorées, je haussais vers le ciel la gloire de mon père en face du soleil couchant." - Marcel Pagnol
Captain Eo- Admin
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Localisation : Ocean Way Studios
Re: Bad 25 Documentary
Voilà mes impressions toutes personnelles.
En un mot, ce sont deux heures de pur bonheur. Un document exceptionnel entièrement consacré à l'album BAD. Chaque titre est décortiqué avec son histoire, ses anecdotes et ses documents d'époque (enregistrements studios, extraits de concert ...). Il y a des moments très drôles et d'autres plus touchants. Malgré le perfectionnisme de Michael, on s'apperçoit qu'il aimait énormément faire le pitre. Son caractère "enfantin" ressort tout au long du documentaire. C'est bien le vrai Michael, à dix mille lieux du portrait "journalistique". Donc, beaucoup d'images inédites, notamment des plateaux de tournage. On découvre les trucs et astuces des clips ... un pur régal.
Et puis arrive la dernière partie ... et là franchement, ça casse un peu le reste. Spike Lee demande à toutes les personnes jusque là interviewées comment ces dernières ont appris le décès de Michael et ce qu'elles faisaient à ce moment précis ... moment de déprime. Il renchérit avec une question du style "qu'elle est votre état d'esprit ?". Vous me croirez pas si vous voulez, mais on assiste là à une véritable mise en scène digne d'une tragédie grecque : tous baissent la tête et se mettent à pleurer comme des gosses avec une grosse larme au coin de l'oeil. C'est tellement irréel, surfait, artificiel que cela en est grotesque. Ce passage mais mal à l'aise tant il semble "poussé". Un ou deux témoins seulement paraissaient franchement sincère ! Trop c'est trop !!! et aussitôt après, tous renchérissaient : c'est pas vrai, non je n'y crois toujours pas, impossible il est là ... je suis totalement d'accord avec vous !!! A la fin de la projection, nous nous sommes retrouvé en groupe dans un petit resto du quartier et nous avons bien entendu parlé du reportage et tous étaient unanimes : le passage sur la mort de Michael était "forcé". Personne n'a accroché et l'a trouvé "très scènique". Ca rappelle un peu la séquence au début de This is It où les danseurs témoignent. Je vous garanti que ces personnes là ne parlaient pas d'une personne décédée, j'en suis convaincue !!!
Enfin, après avoir été ovationné, Spike Lee a fait un lapsus en parlant de Michael au présent il me semble. J'ai pas trop suivi, mais quelqu'un qui l'interviewait lui a fait une remarque à ce propos ... il s'est senti un peu gêné et à rattrapé le coup en disant : "Michael n'est plus là physiquement, mais son esprit est toujours parmi nous, pour l'éternité ..." quelque chose dans ce genre là. Ouais, mais sur le coup on le sentait pas très à l'aise, franchement. De toute façon j'ai filmé l'interview mais je n'ai pas eu le temps de m'en occuper.
Voilà pour mon ressenti.
En un mot, ce sont deux heures de pur bonheur. Un document exceptionnel entièrement consacré à l'album BAD. Chaque titre est décortiqué avec son histoire, ses anecdotes et ses documents d'époque (enregistrements studios, extraits de concert ...). Il y a des moments très drôles et d'autres plus touchants. Malgré le perfectionnisme de Michael, on s'apperçoit qu'il aimait énormément faire le pitre. Son caractère "enfantin" ressort tout au long du documentaire. C'est bien le vrai Michael, à dix mille lieux du portrait "journalistique". Donc, beaucoup d'images inédites, notamment des plateaux de tournage. On découvre les trucs et astuces des clips ... un pur régal.
Et puis arrive la dernière partie ... et là franchement, ça casse un peu le reste. Spike Lee demande à toutes les personnes jusque là interviewées comment ces dernières ont appris le décès de Michael et ce qu'elles faisaient à ce moment précis ... moment de déprime. Il renchérit avec une question du style "qu'elle est votre état d'esprit ?". Vous me croirez pas si vous voulez, mais on assiste là à une véritable mise en scène digne d'une tragédie grecque : tous baissent la tête et se mettent à pleurer comme des gosses avec une grosse larme au coin de l'oeil. C'est tellement irréel, surfait, artificiel que cela en est grotesque. Ce passage mais mal à l'aise tant il semble "poussé". Un ou deux témoins seulement paraissaient franchement sincère ! Trop c'est trop !!! et aussitôt après, tous renchérissaient : c'est pas vrai, non je n'y crois toujours pas, impossible il est là ... je suis totalement d'accord avec vous !!! A la fin de la projection, nous nous sommes retrouvé en groupe dans un petit resto du quartier et nous avons bien entendu parlé du reportage et tous étaient unanimes : le passage sur la mort de Michael était "forcé". Personne n'a accroché et l'a trouvé "très scènique". Ca rappelle un peu la séquence au début de This is It où les danseurs témoignent. Je vous garanti que ces personnes là ne parlaient pas d'une personne décédée, j'en suis convaincue !!!
Enfin, après avoir été ovationné, Spike Lee a fait un lapsus en parlant de Michael au présent il me semble. J'ai pas trop suivi, mais quelqu'un qui l'interviewait lui a fait une remarque à ce propos ... il s'est senti un peu gêné et à rattrapé le coup en disant : "Michael n'est plus là physiquement, mais son esprit est toujours parmi nous, pour l'éternité ..." quelque chose dans ce genre là. Ouais, mais sur le coup on le sentait pas très à l'aise, franchement. De toute façon j'ai filmé l'interview mais je n'ai pas eu le temps de m'en occuper.
Voilà pour mon ressenti.
Sunflower- Book II
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Re: Bad 25 Documentary
Un grand merci Sun!
Jiminy
Sacrée Jiminy! Ça c'est certain!
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Jiminy va tourner "bredinne" !
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Re: Bad 25 Documentary
Merci pour tes impressions Sun
syl- Bloody
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Re: Bad 25 Documentary
Voilà qui me met plus qu'en appétit, grand merci à toi, Sun. Je suis très friand d'analyses musicales et techniques des artistes que j'apprécie. Je suis bien content que de telles choses se fassent sur l’œuvre de MJ et j'espère bien que les autres albums feront également l'objet d'études similaires.Sunflower a écrit:Voilà mes impressions toutes personnelles.
En un mot, ce sont deux heures de pur bonheur. Un document exceptionnel entièrement consacré à l'album BAD. Chaque titre est décortiqué avec son histoire, ses anecdotes et ses documents d'époque (enregistrements studios, extraits de concert ...). Il y a des moments très drôles et d'autres plus touchants. Malgré le perfectionnisme de Michael, on s'apperçoit qu'il aimait énormément faire le pitre. Son caractère "enfantin" ressort tout au long du documentaire. C'est bien le vrai Michael, à dix mille lieux du portrait "journalistique". Donc, beaucoup d'images inédites, notamment des plateaux de tournage. On découvre les trucs et astuces des clips ... un pur régal.
En revanche, dommage pour la dernière partie. Je me prononcerai lorsque j'aurai vu le documentaire, mais je comprends ta réaction.
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Re: Bad 25 Documentary
Spike Lee calls media treatment of MJ 'shameful'
Filmmaker Spike Lee poses for a photo as he promotes the movie "Bad 25" during the 2012 Toronto International Film Festival in Toronto on Saturday Sept. 15, 2012. (The Canadian Press/Chris Young)
TORONTO -- Spike Lee's new documentary "Bad 25" captures Michael Jackson in the turbulent time before he crafted 1987's "Bad," a period when the notoriously meticulous King of Pop worked with feverish obsession on trying to top his own megahit "Thriller" while the tabloids vigorously devoured the remnants of his personal life.
But even after "Bad" made good and topped charts around the world, the album's release saw the decided shift of attention from Jackson's pristine pop to his apparently bizarre personal behaviour (Chimps! Amusement parks! The Elephant Man's bones!).
And for that media-fuelled rubbernecking, Lee says there's plenty of shame to go around.
"People, they had the hater-ade. They were drinking hater-ade," the two-time Academy Award nominee said in an interview from a swanky hotel suite Saturday during the Toronto International Film Festival, where the movie screened.
"Read the reviews of the 'Bad' album. They wrote like this was some piece of (crap). And (they) don't call him by his name -- 'Wacko Jacko?' It's shameful.... Those people should be ashamed what they did to him."
And while Lee's reverential film remains studiously focused on Jackson's work, it also reveals much about an intensely private man who really never experienced privacy.
"Bad 25" picks up in the wake of the titanic success of Jackson's second album as an adult solo artist, 1982's game-changing stunner "Thriller." The best-selling album of all time, "Thriller"'s sales numbers are still too gaudy to believe -- after all, it's been certified platinum 29 times over in the U.S. alone while going twice diamond in Canada.
But Jackson wasn't satisfied with that. Just as he was determined to make "Thriller" a much bigger success than his 1979 disco-informed classic "Off the Wall," Jackson thought he could similarly top the biggest hit of all time. As Lee's film uncovers, Jackson even used to scrawl "100,000,000" on mirrors and notebooks as a reminder to himself of the impossibly lofty sales number he wanted to achieve with "Bad."
Of course, that produced an almost unprecedented amount of self-imposed pressure for a pop artist.
So Lee's film captures Jackson obsessing over not just the 11 tracks that formed "Bad" but also its ambitious music videos (one of which was directed by film luminary Martin Scorsese), the choreography of the album's eventual epic tour (which included a show in front of 72,000 fans at London's Wembley Stadium) or even bits of promotional minutiae only tangentially related to Jackson's music.
(As an example, one of the film's lighter moments arrives in the form of self-shot archival footage of Jackson acting out specific instructions for the animators of a California Raisin commercial that was to feature his image).
Lee says Jackson believed that he couldn't stop pushing himself or everything he had worked to build would deteriorate.
"He was not stupid," said Lee, clad in a glittering Michael Jackson T-shirt with matching custom Nike kicks.
"He saw people, black artists, who were at the top and then broke. He saw many great black artists who were confined to just being black artists.
"Michael's about breaking boundaries."
Still, Lee can't necessarily relate to Jackson's unyielding eye for detail.
"There's nothing wrong with being a perfectionist. Now, me, I'm not going to do 80 takes like David Fincher of somebody picking up a magazine. I'm not going to do that!" he adds, laughing as he picks up and slams a nearby lifestyle mag for emphasis.
"But it was his money.... He put his money into his work."
And Lee does identify with Jackson in other ways.
The legendary filmmaker behind "Do the Right Thing" and "Malcolm X" was born in 1957, a year before Jackson.
He vividly recalls seeing Jackson as the overwhelmingly gifted young phenom headlining the Jackson 5 when they first shimmied across the stage at "The Ed Sullivan Show." Years later, Lee was a film-school student left so enthralled by the videos for "Thriller," "Billie Jean" and, yes, "Bad," that he aspired to helm such clips himself.
So when Jackson died in summer 2009 after a cardiac arrest (his doctor, Conrad Murray, was later convicted of involuntary manslaughter), Lee was devastated.
"I was messed up for months about that," said the 55-year-old. "I grew up with Michael. I'm a year older than him. When I was 10, he was nine. So I didn't know him, but I saw him grow up."
Along with Lee's film, the 25th anniversary of "Bad" is being celebrated with a spiffy new deluxe re-release on Tuesday.
The new two-disc set includes a remastered version of the original album, plus a slate of worthy B-sides that were once axed from its concise tracklist. (With characteristic honesty, Lee dismisses a portion of the second disc's new material, screwing his face into a frown as he warns: "Forget about the remixes.")
Lee doesn't think there's room for debate over how the record -- which featured such hits as the title track, "Man in the Mirror," "The Way You Make Me Feel" and "Smooth Criminal" -- wears its age.
"Look at the Billboard charts when 'Bad' was released 25 years ago, and then listen to those songs, and see if they still sound contemporary or dated," said Lee, whose film will air on ABC on Nov. 22 in Canada.
"'Bad' still stands up. Those other songs that were on the Top 10 list 25 years ago? Who were they? Thin Lizzy? Are we still speaking about those people?" he asks incredulously. (In actual fact, Billboard's Top 10 the first week "Bad" topped the charts included Whitney Houston's sophomore album alongside the "La Bamba" soundtrack and records by Whitesnake, Def Leppard and Heart.)
"The greats will stand the test of time. It's not even an argument."
Although Lee has condemned those who eagerly gawked at Jackson's downfall (the film doesn't cover the accusations of child sexual abuse brought against the singer in 1993), he does admit to some level of curiosity about one specific element of Jackson's life: his gradually lightening skin tone.
While it was later reported that Jackson's colour was changing due to the skin condition vitiligo and treatments for lupus, Lee watched the transition with some interest.
"Black folks were wondering about (that) -- I'm not going to lie," Lee said with a chuckle, pinching his own skin. "Because Michael never came public that he had this disease. I was one of them. Like, 'Wait a minute man. What's up brother?'
"I'm not going to lie. That's full disclosure. And I'm not speaking on behalf of 45 million African Americans, but there were discussions about Michael's complexion."
Of course, there were discussions about virtually every element of Jackson's life.
Lee had access to a deep well of sensational archival footage, supplementing original interviews conducted with Jackson collaborators including Scorsese and director Joe Pytka (as well as such admirers as Kanye West, Mariah Carey and Canada's Justin Bieber) with clips of Jackson in the studio or warming up on video sets.
But amid all the shots of Jackson fervently fretting over some seemingly insignificant tone or lyric, there are revealing insights about the strange way he lived his life.
This is a man who adopted devious disguises just to meet up with his brothers for dinner, whose every public appearance devolved into hysteria and whose earliest memories of childhood were indivisible from showbiz.
"He had to sing and dance to eat since he was six years old," Lee said simply.
At one point in the film, a teary-eyed confidante of Jackson's relates a conversation they shared in which the singer yearned to be a fly on the wall at a party, to see what normal people talked about.
And one of the bonus tracks on "Bad 25" is the knotted, claustrophobic "Price of Fame," in which Jackson laments the cost of dealing with the demands of a massive audience that's blindly obsessed with him.
Lee doesn't think long when asked what that cost was.
"Look, he's not here. He's not here. Not in this physical form," he replies.
"You get to be the most recognizable person on this planet, there's a price for that.... You could say he paid with his life, really."
http://www.cp24.com/entertainment/spike-lee-calls-media-treatment-of-mj-shameful-1.957363#ixzz26YqxupNY
Spike Lee appelle le traitement médiatique de «honteux» MJ
Cinéaste Spike Lee pose pour une photo comme il fait la promotion du film "Bad 25" lors du Festival international du film de 2012 Toronto, à Toronto, le samedi 15 septembre 2012. (La Presse Canadienne / Chris Young)
TORONTO - nouveau documentaire de Spike Lee "Bad 25" capture de Michael Jackson à l'époque turbulente avant il est l'artisan de 1987 "Bad", une période où le roi notoirement méticuleux de la Pop a travaillé avec obsession fiévreuse à essayer de mieux que sa grand succès de propre "Thriller" tout en les tabloïds vigoureusement dévoré les restes de sa vie personnelle.
Mais même après "Bad" made bonnes cartes et sommet dans le monde entier, sortie de l'album a vu le passage a décidé d'attention de la pop Michael Jackson vierge à son comportement personnel semble bizarre (Parcs d'attractions Chimps!! Os L'homme éléphant!).
Et pour cela rubbernecking médias alimentée, Lee dit qu'il ya beaucoup de honte pour tout le monde.
«Les gens, ils ont eu le haineux-ade. Ils buvaient haineux-ade», le candidat deux fois aux Academy Awards déclaré dans une interview à partir d'un chic hôtel de suites samedi pendant le Festival international du film de Toronto, où le film projeté.
"Lire les commentaires sur le« mauvais »Ils écrivirent album comme celui-ci était d'un morceau de (merde) Et (ils) n'ont pas l'appeler par son nom -. '.? Wacko Jacko" C'est honteux .... Ces gens devraient avoir honte ce qu'ils ont fait pour lui. "
Et alors que le film révérencielle Lee reste soigneusement mis l'accent sur l'œuvre de Jackson, il révèle aussi beaucoup sur un homme très privé qui n'a jamais vraiment connu la vie privée.
"25 Bad" ramasse dans la foulée du succès titanesque du deuxième album de Michael Jackson en tant qu'artiste solo adulte, de 1982 va changer la stunner "Thriller". L'album le plus vendu de tous les temps, le nombre de "Thriller" chiffre d 'affaires sont encore trop voyantes à croire - après tout, il a été certifié disque de platine 29 fois plus dans les seuls États-Unis tout en allant deux fois diamant au Canada.
Mais Jackson n'a pas été satisfait. Tout comme il était déterminé à faire "Thriller" un succès beaucoup plus grand que son 1979 disco-éclairé classique "Off the Wall", Jackson pensait qu'il pourrait même haut le plus gros succès de tous les temps. Comme film de Lee découvre, Jackson a même utilisé à griffonner "100000000" sur les miroirs et les ordinateurs portables comme un rappel à lui-même du nombre incroyablement élevé de ventes qu'il voulait réaliser avec "Bad".
Bien sûr, cela produit une quantité sans précédent de l'auto-imposé de pression pour un artiste pop.
Donc film de Lee capture Jackson obsédé par non seulement les 11 titres qui ont formé le «mauvais», mais aussi ses clips ambitieux (dont l'une était dirigée par le film luminaire Martin Scorsese), la chorégraphie de finale de l'album tournée épique (qui comprenait un spectacle dans avant de 72.000 fans au Wembley Stadium de Londres), ou encore des morceaux de minutie promotionnels qu'accessoirement liés à la musique de Michael Jackson.
(A titre d'exemple, l'un des moments plus légers du film arrive sous la forme d'auto-shot images d'archives de Jackson agissant sur les instructions spécifiques pour les animateurs d'un commercial Californie Raisin qui devait disposent son image).
Lee Jackson dit croire qu'il ne pouvait pas arrêter de pousser lui-même ou tout ce qu'il avait travaillé à bâtir risque de se détériorer.
"Il n'était pas stupide", a déclaré Lee, vêtu d'un scintillant Jackson Michael T-shirt avec correspondance personnalisées coups de pied Nike.
«Il a vu des gens, des artistes noirs, qui étaient au sommet, puis se brisa. Il a vu beaucoup de grands artistes noirs qui ont été confinés à être juste artistes noirs.
"Michael est de briser les frontières."
Pourtant, Lee ne peut pas nécessairement à l'œil inflexible de Michael Jackson pour plus de détails.
"Il n'y a rien de mal à être un perfectionniste. Maintenant, moi, je ne vais pas faire 80 prend comme David Fincher de quelqu'un ramasser un magazine. Je ne vais pas faire ça!" il ajoute, en riant comme il ramasse et claque un magazine style de vie à proximité de l'accent.
«Mais c'était son argent .... Il a mis son argent dans son travail."
Et Lee ne s'identifient à Jackson par d'autres moyens.
Le cinéaste légendaire derrière "Do the Right Thing" et "Malcolm X" est né en 1957, un an avant Jackson.
Il se souvient très bien de voir que la grande majorité Jackson doué jeune phénomène en tête d'affiche des Jackson 5 lors de leur première shimmied à travers la scène à "The Ed Sullivan Show». Des années plus tard, Lee était un étudiant d'école de cinéma laissé tellement fascinés par les vidéos pour "Thriller", "Billie Jean" et, oui, "Bad", qu'il aspirait à clips barre de telles lui-même.
Alors, quand Jackson est mort à l'été 2009 après un arrêt cardiaque (son médecin, Conrad Murray, a été condamné par la suite d'homicide involontaire), Lee a été dévastée.
«J'ai été foiré depuis des mois à ce sujet", a déclaré le 55-year-old. "J'ai grandi avec Michael. J'ai un an de plus que lui. Quand j'avais 10 ans, il avait neuf ans. Alors je ne le connaissais pas, mais je l'ai vu grandir."
Avec film de Lee, le 25e anniversaire de "Bad" est célébré avec une épatante nouvelle réédition deluxe mardi.
Les deux nouveaux-disc set inclut une version remasterisée de l'album original, en plus d'une liste de dignes faces B qui étaient autrefois hache de sa tracklist concis. (Avec une honnêteté caractéristique, Lee rejette une partie du nouveau matériel du deuxième disque, le vissage son visage dans un froncement de sourcils comme il met en garde: «Oublie les remixes.")
Lee ne pense pas qu'il ya place pour un débat sur la façon dont le dossier - qui a comporté des succès tels que la chanson-titre, "Man in the Mirror", "The Way You Make Me Feel" et "Smooth Criminal" - porte bien son âge.
«Regardez le palmarès Billboard quand" Bad "a été libéré il ya 25 ans, et puis écouter ces chansons, et voir si elles continuent à sonner contemporaine ou vieillies», a déclaré Lee, dont le film sera diffusé sur ABC le 22 novembre au Canada.
"" Bad "est toujours en place. Ces chansons d'autres qui étaient sur la liste des 10 il ya 25 ans? Qui étaient-ils? Thin Lizzy? Sommes-nous encore parler de ces gens?" il demande, incrédule. (En réalité, le Billboard Top 10 de la première semaine "Bad" en tête des charts inclus deuxième album de Whitney Houston à côté de la "La Bamba" bande-son et des dossiers par Whitesnake, Def Leppard et le cœur.)
"Les grands résistera à l'épreuve du temps. Ce n'est même pas un argument."
Bien que Lee a condamné ceux qui attendent avec gawked à la chute de Michael Jackson (le film ne couvre pas les accusations d'abus sexuels sur les enfants portées contre le chanteur en 1993), il admet un certain niveau de curiosité un élément spécifique de la vie de Michael Jackson: son progressivement ton éclaircissement de la peau.
Bien qu'il ait été rapporté plus tard que la couleur de Jackson a été changée en raison de l'état de la peau vitiligo et les traitements contre le lupus, Lee regardé la transition avec un certain intérêt.
"Noir gens s'interrogeaient sur (ce) - Je ne vais pas mentir," a déclaré Lee avec un petit rire, pinçant sa propre peau. "Parce que Michael ne s'est jamais publiquement qu'il avait cette maladie. J'étais l'un d'entre eux. Comme:" Attends un homme minute. Que se passe-frère?
«Je ne vais pas mentir. C'est une divulgation complète. Et je ne parle pas au nom de 45 millions d'Afro-Américains, mais il ya eu des discussions sur le teint de Michael."
Bien sûr, il ya eu des discussions sur pratiquement tous les aspects de la vie de Michael Jackson.
Lee a eu accès à un puits profond d'images d'archives sensationnel, complétant interviews originales menées avec des collaborateurs Jackson y compris Scorsese et le réalisateur Joe Pytka (ainsi que des admirateurs tels que Kanye West, Mariah Carey et du Canada Justin Bieber), avec des clips de Michael Jackson en studio ou échauffement sur des ensembles vidéo.
Mais au milieu de tous les plans de Jackson avec ferveur par frottement sur une certaine tonalité apparemment insignifiant ou lyrique, il ya des indications révélatrices sur l'étrange façon dont il a vécu sa vie.
C'est un homme qui a adopté déguisements sournois vient de se retrouver avec ses frères pour le dîner, dont chaque apparition publique dégénéré en hystérie et dont les premiers souvenirs d'enfance sont indivisibles à partir du showbiz.
"Il a dû chanter et danser à manger depuis qu'il a six ans," a déclaré Lee simplement.
À un certain moment dans le film, une confidente larmes aux yeux de Jackson rapporte une conversation qu'ils partageaient dans lequel le chanteur aspirait à être une mouche sur le mur lors d'une fête, pour voir ce que les gens normaux parlé.
Et l'un des bonus tracks sur "Bad 25" est le nouée, claustrophobe "Price of Fame», dans lequel Jackson déplore le coût de faire face aux exigences d'un public massif qui est aveugle obsédée par lui.
Lee ne pensent pas à long lorsqu'on lui a demandé ce que le coût était.
«Regardez, il n'est pas là. Il ne s'agit pas ici. Pas sous cette forme physique», répond-il.
"Vous obtenez d'être la personne la plus reconnaissable sur cette planète, il ya un prix pour ça .... On peut dire qu'il a payé de sa vie, vraiment."
Filmmaker Spike Lee poses for a photo as he promotes the movie "Bad 25" during the 2012 Toronto International Film Festival in Toronto on Saturday Sept. 15, 2012. (The Canadian Press/Chris Young)
TORONTO -- Spike Lee's new documentary "Bad 25" captures Michael Jackson in the turbulent time before he crafted 1987's "Bad," a period when the notoriously meticulous King of Pop worked with feverish obsession on trying to top his own megahit "Thriller" while the tabloids vigorously devoured the remnants of his personal life.
But even after "Bad" made good and topped charts around the world, the album's release saw the decided shift of attention from Jackson's pristine pop to his apparently bizarre personal behaviour (Chimps! Amusement parks! The Elephant Man's bones!).
And for that media-fuelled rubbernecking, Lee says there's plenty of shame to go around.
"People, they had the hater-ade. They were drinking hater-ade," the two-time Academy Award nominee said in an interview from a swanky hotel suite Saturday during the Toronto International Film Festival, where the movie screened.
"Read the reviews of the 'Bad' album. They wrote like this was some piece of (crap). And (they) don't call him by his name -- 'Wacko Jacko?' It's shameful.... Those people should be ashamed what they did to him."
And while Lee's reverential film remains studiously focused on Jackson's work, it also reveals much about an intensely private man who really never experienced privacy.
"Bad 25" picks up in the wake of the titanic success of Jackson's second album as an adult solo artist, 1982's game-changing stunner "Thriller." The best-selling album of all time, "Thriller"'s sales numbers are still too gaudy to believe -- after all, it's been certified platinum 29 times over in the U.S. alone while going twice diamond in Canada.
But Jackson wasn't satisfied with that. Just as he was determined to make "Thriller" a much bigger success than his 1979 disco-informed classic "Off the Wall," Jackson thought he could similarly top the biggest hit of all time. As Lee's film uncovers, Jackson even used to scrawl "100,000,000" on mirrors and notebooks as a reminder to himself of the impossibly lofty sales number he wanted to achieve with "Bad."
Of course, that produced an almost unprecedented amount of self-imposed pressure for a pop artist.
So Lee's film captures Jackson obsessing over not just the 11 tracks that formed "Bad" but also its ambitious music videos (one of which was directed by film luminary Martin Scorsese), the choreography of the album's eventual epic tour (which included a show in front of 72,000 fans at London's Wembley Stadium) or even bits of promotional minutiae only tangentially related to Jackson's music.
(As an example, one of the film's lighter moments arrives in the form of self-shot archival footage of Jackson acting out specific instructions for the animators of a California Raisin commercial that was to feature his image).
Lee says Jackson believed that he couldn't stop pushing himself or everything he had worked to build would deteriorate.
"He was not stupid," said Lee, clad in a glittering Michael Jackson T-shirt with matching custom Nike kicks.
"He saw people, black artists, who were at the top and then broke. He saw many great black artists who were confined to just being black artists.
"Michael's about breaking boundaries."
Still, Lee can't necessarily relate to Jackson's unyielding eye for detail.
"There's nothing wrong with being a perfectionist. Now, me, I'm not going to do 80 takes like David Fincher of somebody picking up a magazine. I'm not going to do that!" he adds, laughing as he picks up and slams a nearby lifestyle mag for emphasis.
"But it was his money.... He put his money into his work."
And Lee does identify with Jackson in other ways.
The legendary filmmaker behind "Do the Right Thing" and "Malcolm X" was born in 1957, a year before Jackson.
He vividly recalls seeing Jackson as the overwhelmingly gifted young phenom headlining the Jackson 5 when they first shimmied across the stage at "The Ed Sullivan Show." Years later, Lee was a film-school student left so enthralled by the videos for "Thriller," "Billie Jean" and, yes, "Bad," that he aspired to helm such clips himself.
So when Jackson died in summer 2009 after a cardiac arrest (his doctor, Conrad Murray, was later convicted of involuntary manslaughter), Lee was devastated.
"I was messed up for months about that," said the 55-year-old. "I grew up with Michael. I'm a year older than him. When I was 10, he was nine. So I didn't know him, but I saw him grow up."
Along with Lee's film, the 25th anniversary of "Bad" is being celebrated with a spiffy new deluxe re-release on Tuesday.
The new two-disc set includes a remastered version of the original album, plus a slate of worthy B-sides that were once axed from its concise tracklist. (With characteristic honesty, Lee dismisses a portion of the second disc's new material, screwing his face into a frown as he warns: "Forget about the remixes.")
Lee doesn't think there's room for debate over how the record -- which featured such hits as the title track, "Man in the Mirror," "The Way You Make Me Feel" and "Smooth Criminal" -- wears its age.
"Look at the Billboard charts when 'Bad' was released 25 years ago, and then listen to those songs, and see if they still sound contemporary or dated," said Lee, whose film will air on ABC on Nov. 22 in Canada.
"'Bad' still stands up. Those other songs that were on the Top 10 list 25 years ago? Who were they? Thin Lizzy? Are we still speaking about those people?" he asks incredulously. (In actual fact, Billboard's Top 10 the first week "Bad" topped the charts included Whitney Houston's sophomore album alongside the "La Bamba" soundtrack and records by Whitesnake, Def Leppard and Heart.)
"The greats will stand the test of time. It's not even an argument."
Although Lee has condemned those who eagerly gawked at Jackson's downfall (the film doesn't cover the accusations of child sexual abuse brought against the singer in 1993), he does admit to some level of curiosity about one specific element of Jackson's life: his gradually lightening skin tone.
While it was later reported that Jackson's colour was changing due to the skin condition vitiligo and treatments for lupus, Lee watched the transition with some interest.
"Black folks were wondering about (that) -- I'm not going to lie," Lee said with a chuckle, pinching his own skin. "Because Michael never came public that he had this disease. I was one of them. Like, 'Wait a minute man. What's up brother?'
"I'm not going to lie. That's full disclosure. And I'm not speaking on behalf of 45 million African Americans, but there were discussions about Michael's complexion."
Of course, there were discussions about virtually every element of Jackson's life.
Lee had access to a deep well of sensational archival footage, supplementing original interviews conducted with Jackson collaborators including Scorsese and director Joe Pytka (as well as such admirers as Kanye West, Mariah Carey and Canada's Justin Bieber) with clips of Jackson in the studio or warming up on video sets.
But amid all the shots of Jackson fervently fretting over some seemingly insignificant tone or lyric, there are revealing insights about the strange way he lived his life.
This is a man who adopted devious disguises just to meet up with his brothers for dinner, whose every public appearance devolved into hysteria and whose earliest memories of childhood were indivisible from showbiz.
"He had to sing and dance to eat since he was six years old," Lee said simply.
At one point in the film, a teary-eyed confidante of Jackson's relates a conversation they shared in which the singer yearned to be a fly on the wall at a party, to see what normal people talked about.
And one of the bonus tracks on "Bad 25" is the knotted, claustrophobic "Price of Fame," in which Jackson laments the cost of dealing with the demands of a massive audience that's blindly obsessed with him.
Lee doesn't think long when asked what that cost was.
"Look, he's not here. He's not here. Not in this physical form," he replies.
"You get to be the most recognizable person on this planet, there's a price for that.... You could say he paid with his life, really."
http://www.cp24.com/entertainment/spike-lee-calls-media-treatment-of-mj-shameful-1.957363#ixzz26YqxupNY
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Spike Lee appelle le traitement médiatique de «honteux» MJ
Cinéaste Spike Lee pose pour une photo comme il fait la promotion du film "Bad 25" lors du Festival international du film de 2012 Toronto, à Toronto, le samedi 15 septembre 2012. (La Presse Canadienne / Chris Young)
TORONTO - nouveau documentaire de Spike Lee "Bad 25" capture de Michael Jackson à l'époque turbulente avant il est l'artisan de 1987 "Bad", une période où le roi notoirement méticuleux de la Pop a travaillé avec obsession fiévreuse à essayer de mieux que sa grand succès de propre "Thriller" tout en les tabloïds vigoureusement dévoré les restes de sa vie personnelle.
Mais même après "Bad" made bonnes cartes et sommet dans le monde entier, sortie de l'album a vu le passage a décidé d'attention de la pop Michael Jackson vierge à son comportement personnel semble bizarre (Parcs d'attractions Chimps!! Os L'homme éléphant!).
Et pour cela rubbernecking médias alimentée, Lee dit qu'il ya beaucoup de honte pour tout le monde.
«Les gens, ils ont eu le haineux-ade. Ils buvaient haineux-ade», le candidat deux fois aux Academy Awards déclaré dans une interview à partir d'un chic hôtel de suites samedi pendant le Festival international du film de Toronto, où le film projeté.
"Lire les commentaires sur le« mauvais »Ils écrivirent album comme celui-ci était d'un morceau de (merde) Et (ils) n'ont pas l'appeler par son nom -. '.? Wacko Jacko" C'est honteux .... Ces gens devraient avoir honte ce qu'ils ont fait pour lui. "
Et alors que le film révérencielle Lee reste soigneusement mis l'accent sur l'œuvre de Jackson, il révèle aussi beaucoup sur un homme très privé qui n'a jamais vraiment connu la vie privée.
"25 Bad" ramasse dans la foulée du succès titanesque du deuxième album de Michael Jackson en tant qu'artiste solo adulte, de 1982 va changer la stunner "Thriller". L'album le plus vendu de tous les temps, le nombre de "Thriller" chiffre d 'affaires sont encore trop voyantes à croire - après tout, il a été certifié disque de platine 29 fois plus dans les seuls États-Unis tout en allant deux fois diamant au Canada.
Mais Jackson n'a pas été satisfait. Tout comme il était déterminé à faire "Thriller" un succès beaucoup plus grand que son 1979 disco-éclairé classique "Off the Wall", Jackson pensait qu'il pourrait même haut le plus gros succès de tous les temps. Comme film de Lee découvre, Jackson a même utilisé à griffonner "100000000" sur les miroirs et les ordinateurs portables comme un rappel à lui-même du nombre incroyablement élevé de ventes qu'il voulait réaliser avec "Bad".
Bien sûr, cela produit une quantité sans précédent de l'auto-imposé de pression pour un artiste pop.
Donc film de Lee capture Jackson obsédé par non seulement les 11 titres qui ont formé le «mauvais», mais aussi ses clips ambitieux (dont l'une était dirigée par le film luminaire Martin Scorsese), la chorégraphie de finale de l'album tournée épique (qui comprenait un spectacle dans avant de 72.000 fans au Wembley Stadium de Londres), ou encore des morceaux de minutie promotionnels qu'accessoirement liés à la musique de Michael Jackson.
(A titre d'exemple, l'un des moments plus légers du film arrive sous la forme d'auto-shot images d'archives de Jackson agissant sur les instructions spécifiques pour les animateurs d'un commercial Californie Raisin qui devait disposent son image).
Lee Jackson dit croire qu'il ne pouvait pas arrêter de pousser lui-même ou tout ce qu'il avait travaillé à bâtir risque de se détériorer.
"Il n'était pas stupide", a déclaré Lee, vêtu d'un scintillant Jackson Michael T-shirt avec correspondance personnalisées coups de pied Nike.
«Il a vu des gens, des artistes noirs, qui étaient au sommet, puis se brisa. Il a vu beaucoup de grands artistes noirs qui ont été confinés à être juste artistes noirs.
"Michael est de briser les frontières."
Pourtant, Lee ne peut pas nécessairement à l'œil inflexible de Michael Jackson pour plus de détails.
"Il n'y a rien de mal à être un perfectionniste. Maintenant, moi, je ne vais pas faire 80 prend comme David Fincher de quelqu'un ramasser un magazine. Je ne vais pas faire ça!" il ajoute, en riant comme il ramasse et claque un magazine style de vie à proximité de l'accent.
«Mais c'était son argent .... Il a mis son argent dans son travail."
Et Lee ne s'identifient à Jackson par d'autres moyens.
Le cinéaste légendaire derrière "Do the Right Thing" et "Malcolm X" est né en 1957, un an avant Jackson.
Il se souvient très bien de voir que la grande majorité Jackson doué jeune phénomène en tête d'affiche des Jackson 5 lors de leur première shimmied à travers la scène à "The Ed Sullivan Show». Des années plus tard, Lee était un étudiant d'école de cinéma laissé tellement fascinés par les vidéos pour "Thriller", "Billie Jean" et, oui, "Bad", qu'il aspirait à clips barre de telles lui-même.
Alors, quand Jackson est mort à l'été 2009 après un arrêt cardiaque (son médecin, Conrad Murray, a été condamné par la suite d'homicide involontaire), Lee a été dévastée.
«J'ai été foiré depuis des mois à ce sujet", a déclaré le 55-year-old. "J'ai grandi avec Michael. J'ai un an de plus que lui. Quand j'avais 10 ans, il avait neuf ans. Alors je ne le connaissais pas, mais je l'ai vu grandir."
Avec film de Lee, le 25e anniversaire de "Bad" est célébré avec une épatante nouvelle réédition deluxe mardi.
Les deux nouveaux-disc set inclut une version remasterisée de l'album original, en plus d'une liste de dignes faces B qui étaient autrefois hache de sa tracklist concis. (Avec une honnêteté caractéristique, Lee rejette une partie du nouveau matériel du deuxième disque, le vissage son visage dans un froncement de sourcils comme il met en garde: «Oublie les remixes.")
Lee ne pense pas qu'il ya place pour un débat sur la façon dont le dossier - qui a comporté des succès tels que la chanson-titre, "Man in the Mirror", "The Way You Make Me Feel" et "Smooth Criminal" - porte bien son âge.
«Regardez le palmarès Billboard quand" Bad "a été libéré il ya 25 ans, et puis écouter ces chansons, et voir si elles continuent à sonner contemporaine ou vieillies», a déclaré Lee, dont le film sera diffusé sur ABC le 22 novembre au Canada.
"" Bad "est toujours en place. Ces chansons d'autres qui étaient sur la liste des 10 il ya 25 ans? Qui étaient-ils? Thin Lizzy? Sommes-nous encore parler de ces gens?" il demande, incrédule. (En réalité, le Billboard Top 10 de la première semaine "Bad" en tête des charts inclus deuxième album de Whitney Houston à côté de la "La Bamba" bande-son et des dossiers par Whitesnake, Def Leppard et le cœur.)
"Les grands résistera à l'épreuve du temps. Ce n'est même pas un argument."
Bien que Lee a condamné ceux qui attendent avec gawked à la chute de Michael Jackson (le film ne couvre pas les accusations d'abus sexuels sur les enfants portées contre le chanteur en 1993), il admet un certain niveau de curiosité un élément spécifique de la vie de Michael Jackson: son progressivement ton éclaircissement de la peau.
Bien qu'il ait été rapporté plus tard que la couleur de Jackson a été changée en raison de l'état de la peau vitiligo et les traitements contre le lupus, Lee regardé la transition avec un certain intérêt.
"Noir gens s'interrogeaient sur (ce) - Je ne vais pas mentir," a déclaré Lee avec un petit rire, pinçant sa propre peau. "Parce que Michael ne s'est jamais publiquement qu'il avait cette maladie. J'étais l'un d'entre eux. Comme:" Attends un homme minute. Que se passe-frère?
«Je ne vais pas mentir. C'est une divulgation complète. Et je ne parle pas au nom de 45 millions d'Afro-Américains, mais il ya eu des discussions sur le teint de Michael."
Bien sûr, il ya eu des discussions sur pratiquement tous les aspects de la vie de Michael Jackson.
Lee a eu accès à un puits profond d'images d'archives sensationnel, complétant interviews originales menées avec des collaborateurs Jackson y compris Scorsese et le réalisateur Joe Pytka (ainsi que des admirateurs tels que Kanye West, Mariah Carey et du Canada Justin Bieber), avec des clips de Michael Jackson en studio ou échauffement sur des ensembles vidéo.
Mais au milieu de tous les plans de Jackson avec ferveur par frottement sur une certaine tonalité apparemment insignifiant ou lyrique, il ya des indications révélatrices sur l'étrange façon dont il a vécu sa vie.
C'est un homme qui a adopté déguisements sournois vient de se retrouver avec ses frères pour le dîner, dont chaque apparition publique dégénéré en hystérie et dont les premiers souvenirs d'enfance sont indivisibles à partir du showbiz.
"Il a dû chanter et danser à manger depuis qu'il a six ans," a déclaré Lee simplement.
À un certain moment dans le film, une confidente larmes aux yeux de Jackson rapporte une conversation qu'ils partageaient dans lequel le chanteur aspirait à être une mouche sur le mur lors d'une fête, pour voir ce que les gens normaux parlé.
Et l'un des bonus tracks sur "Bad 25" est le nouée, claustrophobe "Price of Fame», dans lequel Jackson déplore le coût de faire face aux exigences d'un public massif qui est aveugle obsédée par lui.
Lee ne pensent pas à long lorsqu'on lui a demandé ce que le coût était.
«Regardez, il n'est pas là. Il ne s'agit pas ici. Pas sous cette forme physique», répond-il.
"Vous obtenez d'être la personne la plus reconnaissable sur cette planète, il ya un prix pour ça .... On peut dire qu'il a payé de sa vie, vraiment."
jiminy- Bloody
- Messages : 3896
Age : 54
Re: Bad 25 Documentary
Merci beaucoup Jiminy! Très intéressant!
Et merci à Spike Lee!
Et merci à Spike Lee!
_________________
Rosaimée- Modérateur
- Messages : 8432
Age : 69
Localisation : Québec
Re: Bad 25 Documentary
Merci beaucoup j'ai vraiment hate de voir ce documentaire
vanessa46- Danger zone
- Messages : 675
Age : 43
Localisation : lot
Re: Bad 25 Documentary
"A l'occasion de la réédition de l'album "Bad" de Michael Jackson, Spike Lee a réalisé un documentaire, véritable lettre d'amour au roi de la pop. Le réalisateur américain était à Paris le 1er septembre 2012 pour présenter "Bad 25" qui sera diffusé à la télévision américaine en novembre prochain et en France au premier trimestre 2013. Confidences.
Lire aussi en édition abonnés l'article de Stéphanie Binet et de Véronique Mortaigne sur la réédition de "Bad" ("Le Monde" daté du jeudi 20 septembre). "
Il y a une vidéo avec l'article mais je ne peux pas la prendre .
http://www.lemonde.fr/culture/video/2012/09/19/les-confidences-de-spike-lee-sur-michael-jackson_1762050_3246.html
Je pensais que le documentaire sortirait au cinéma .... cela n'a pas l'air d'être prévu apparemment . Nous aurons l'occasion de le voir directement sur notre petit écran .
Xscape , prépare le magnétoscope .
Lire aussi en édition abonnés l'article de Stéphanie Binet et de Véronique Mortaigne sur la réédition de "Bad" ("Le Monde" daté du jeudi 20 septembre). "
Il y a une vidéo avec l'article mais je ne peux pas la prendre .
http://www.lemonde.fr/culture/video/2012/09/19/les-confidences-de-spike-lee-sur-michael-jackson_1762050_3246.html
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Je pensais que le documentaire sortirait au cinéma .... cela n'a pas l'air d'être prévu apparemment . Nous aurons l'occasion de le voir directement sur notre petit écran .
Xscape , prépare le magnétoscope .
jiminy- Bloody
- Messages : 3896
Age : 54
Re: Bad 25 Documentary
Merci de ces infos Jiminy , encore un sujet qui me passe sous le nez !!
Hamlet- Bloody
- Messages : 3466
Localisation : france : 59
Re: Bad 25 Documentary
MOi je pensais qu'il sortirait en DVD dommage!!! Merci Jiminy ça a l'air d'être un sacré personnage ce Spike Lee
vanessa46- Danger zone
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Age : 43
Localisation : lot
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