La place de l'Opus dans le hoax
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Je te remercie pour tes recherches Roaimee. Attendons de voir pour la BD.
Par contre je n'ai rien trouver sur Harvey comics et Michael. J'ai juste vu que le créateur Harvey était décède cette année des suite d'une longue bataille contre le cancer.
Par contre je n'ai rien trouver sur Harvey comics et Michael. J'ai juste vu que le créateur Harvey était décède cette année des suite d'une longue bataille contre le cancer.
Cathy- Bloody
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Rosaimée- Modérateur
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Merci pour tout ça Cathy ,
quand tu a parlé de Harvey Comics , je me suis dit ça me dit quelque chose mais mon souvenir semblait lointain .....et pour cause .
http://en.wikipedia.org/wiki/Harvey_Comics
Je suis sur que tout le monde ici connait ce personnage
Uri Geller surnommait Michael le"Joker" , l'embleme de Harvey Comics est je vous lme donne en mille un joker qui sort d'une boite .
quand tu a parlé de Harvey Comics , je me suis dit ça me dit quelque chose mais mon souvenir semblait lointain .....et pour cause .
http://en.wikipedia.org/wiki/Harvey_Comics
Je suis sur que tout le monde ici connait ce personnage
Uri Geller surnommait Michael le"Joker" , l'embleme de Harvey Comics est je vous lme donne en mille un joker qui sort d'une boite .
Celeste- Bloody
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Hé ben! Surprise! :D
Belle découverte Celeste et bravo pour le lien avec Uri Geller!
Merci!
Belle découverte Celeste et bravo pour le lien avec Uri Geller!
Merci!
_________________
Rosaimée- Modérateur
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Merci Celeste, alors j'ai hâte de voir le joker sortir de sa boîte :D
Indana- Bloody
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Localisation : Lexy (54)
Re: La place de l'Opus dans le hoax
de rien , le coup du joker c'est grace à pianogames , ou il explique un lien avec Batman (dans le dernier Batman le joker a simulé sa mort) .
Le lien avec Harvey Comics à mon avis a plus d'impact ,
car Mike a toujours aimé les vieux dessins animés avec ces personnages sympathique , de plus Mc Cartney avait raconté avant que MJ ne meure que souvent ils comparaient leur collections de dessins animés et que tou deux avaient une collection impressionnante de vidéos .
Michael a voulu racheter Marvel Group pour Stan Lee , il est evident que Stan Lee aurait geré le groupe mais que le fric serait revenu à Michael puis ça ne s'est pas fait .
Aujourd'hui Marvel a racheté sa part de Marvel Films que disney avait acheté , Harvey comics appartient à Classic Media qui detient les droits de la chaine Boomerang , Classic Media a racheté bon nombre de dessins animés comme Blackstar , Bravestarr , Les petites canailles , etc...il court la rumeur que Classic Media est entrain de revendre ,
je sais que certaines boites ont racheté certaines licences detenu par Classic Media , reste à voir si la licence Harvey Comics sera revendue à quelqu'un en rapport avec Michael.
Le lien avec Harvey Comics à mon avis a plus d'impact ,
car Mike a toujours aimé les vieux dessins animés avec ces personnages sympathique , de plus Mc Cartney avait raconté avant que MJ ne meure que souvent ils comparaient leur collections de dessins animés et que tou deux avaient une collection impressionnante de vidéos .
Michael a voulu racheter Marvel Group pour Stan Lee , il est evident que Stan Lee aurait geré le groupe mais que le fric serait revenu à Michael puis ça ne s'est pas fait .
Aujourd'hui Marvel a racheté sa part de Marvel Films que disney avait acheté , Harvey comics appartient à Classic Media qui detient les droits de la chaine Boomerang , Classic Media a racheté bon nombre de dessins animés comme Blackstar , Bravestarr , Les petites canailles , etc...il court la rumeur que Classic Media est entrain de revendre ,
je sais que certaines boites ont racheté certaines licences detenu par Classic Media , reste à voir si la licence Harvey Comics sera revendue à quelqu'un en rapport avec Michael.
Celeste- Bloody
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Ouh ! Merci Celeste pour tout ces renseignements complémentaires. Il va falloir suivre cette affaire Harvey, car si quelqu'un proche de Mike acheté ce serait plutôt bon signe.
Moi aussi je veux bien voir Mike sortir de sa boite. :D
Par contre tes infos m'ont rappelé un témoignage dans l'opus de Suzanne De Passe titre :
Living with Casper
Michael était très joueur. J'ai commence a m'appeler Casper (en raison du sympathique fantôme) car il aimait se cacher. Lorsque nous étions sur les routes tout le monde avait l'habitude de laisser sa porte ouverte et il y avait de multiples entrées en haut et en bas du Hall.
Invariablement, je pouvais aller dans la chambre de Tony Jones et en sortir, lorsque nous revenions il y avait toujours quelque chose de change, soit Michael était derrière le rideau de douche ou dans le placard.
Il se régalait de se cacher partout dans la pièce. Et alors il apparaissait et maquillait quelque chose qu'il prétendait nous avoir entendu dire.
Ce qui était faux.
Il disait : J'ai entendu que vous disiez ça. Je l'ai entendu, vraiment ! Il était drôle.
Depuis ce temps la pour moi il était Casper. Et je ne pense pas l'avoir appelé Michael après ça. Je me souvien de ce moment particulier en coulisse des awards, il avait une armée de trophée et il pousse la sécurité près de moi et tout le monde disait "Michael, Michael !"
J'ai hurle Casper, il s'est arrête, a couru, m'etreignant chaleureusement et nous avons eu une discussion charmante car a partir de ce moment la il s'est passe du temps sans que l'on puisse se voir.
S'il y avait un esprit dont vous pouvais dire qu'il a des qualités magiques en terme de personnalité... Il était si doux et amusant et avec un tel magnétisme, et spécialement lorsqu'il riait de quelque chose qui l'avait vraiment fait craquer. Il était un joyau une âme ouverte.
Beau témoignage.!
Moi aussi je veux bien voir Mike sortir de sa boite. :D
Par contre tes infos m'ont rappelé un témoignage dans l'opus de Suzanne De Passe titre :
Living with Casper
Michael était très joueur. J'ai commence a m'appeler Casper (en raison du sympathique fantôme) car il aimait se cacher. Lorsque nous étions sur les routes tout le monde avait l'habitude de laisser sa porte ouverte et il y avait de multiples entrées en haut et en bas du Hall.
Invariablement, je pouvais aller dans la chambre de Tony Jones et en sortir, lorsque nous revenions il y avait toujours quelque chose de change, soit Michael était derrière le rideau de douche ou dans le placard.
Il se régalait de se cacher partout dans la pièce. Et alors il apparaissait et maquillait quelque chose qu'il prétendait nous avoir entendu dire.
Ce qui était faux.
Il disait : J'ai entendu que vous disiez ça. Je l'ai entendu, vraiment ! Il était drôle.
Depuis ce temps la pour moi il était Casper. Et je ne pense pas l'avoir appelé Michael après ça. Je me souvien de ce moment particulier en coulisse des awards, il avait une armée de trophée et il pousse la sécurité près de moi et tout le monde disait "Michael, Michael !"
J'ai hurle Casper, il s'est arrête, a couru, m'etreignant chaleureusement et nous avons eu une discussion charmante car a partir de ce moment la il s'est passe du temps sans que l'on puisse se voir.
S'il y avait un esprit dont vous pouvais dire qu'il a des qualités magiques en terme de personnalité... Il était si doux et amusant et avec un tel magnétisme, et spécialement lorsqu'il riait de quelque chose qui l'avait vraiment fait craquer. Il était un joyau une âme ouverte.
Beau témoignage.!
Cathy- Bloody
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Ahhh! Merci Cathy!
Oui, c'est vraiment un beau témoignage. :)
Merci Celeste pour les précisions! :pouce:
En même temps, fiou...je m'y perds dans ces ventes et reventes etc... :étoiles: :lol:
Oui, c'est vraiment un beau témoignage. :)
Merci Celeste pour les précisions! :pouce:
En même temps, fiou...je m'y perds dans ces ventes et reventes etc... :étoiles: :lol:
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Rosaimée- Modérateur
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
De rien Rosaimee. :)
Cathy- Bloody
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Localisation : Vichy
Re: La place de l'Opus dans le hoax
@Rosaimée : oui c'est pas simple à suivre surtout que Mattel rachete une partie de classic media (le catalogue Filmation parait il ) :lol!:
@Cathy : quelle coincidence , Suzanne de passe l'appelait Casper , et ne se souvient pas l'avoir appelée Michael depuis ?
Etrange parce que quand motown a sorti le documentaire Michael Jackson The Legend Continues en 1988 Suzanne de passe , qui temoigne aussi souvent que Marlon , ne parle jamais de cette histoire et n'appelle jamais Michael par ce surnom de Casper ...
je suis dubitatif sur cette histoire ....
Merci Cathy .
@Cathy : quelle coincidence , Suzanne de passe l'appelait Casper , et ne se souvient pas l'avoir appelée Michael depuis ?
Etrange parce que quand motown a sorti le documentaire Michael Jackson The Legend Continues en 1988 Suzanne de passe , qui temoigne aussi souvent que Marlon , ne parle jamais de cette histoire et n'appelle jamais Michael par ce surnom de Casper ...
je suis dubitatif sur cette histoire ....
Merci Cathy .
Celeste- Bloody
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Ah ça c'est intéressant. Alors un prit défi : trouver un témoignage autre que l'Opus ou Susan parle de Casper. :D
Cathy- Bloody
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Age : 55
Localisation : Vichy
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Oui c'est en effet interessant de verifier cette declaration .
Celeste- Bloody
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Voilà pour Casper à 2.49
https://www.youtube.com/watch?v=TU5as8gr7jM&feature=related
https://www.youtube.com/watch?v=TU5as8gr7jM&feature=related
syl- Bloody
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Localisation : rhone
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Ah merci Syl. Défi relève. Par contre un autre défi trouver le même témoignage avant le 25 juin 2009. Moi je n'ai rien trouve. :D
Cathy- Bloody
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Age : 55
Localisation : Vichy
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Merci Syl !
Ce serait interessant de trouver une vidéo ou elle appelle Michael comme ça avant le 25 juin , car cela nous prouverait que ce temoignage est réel , mais je n'ai jamais entendu Suzanne appeler Michael Casper .
Pas avant ton lien syl .
https://www.youtube.com/watch?v=njuGd11jCzk
à partir de 5:53
https://www.youtube.com/watch?v=NbSlLIii0sk&NR=1
à partir de 1:32
https://www.youtube.com/watch?v=ralkeMBnkCI&NR=1
à partir de 4:30 (elle l'appelle bien Michael pas Casper)
https://www.youtube.com/watch?v=G4sol_v2y1U&NR=1
à partir de 1:30
Ce serait interessant de trouver une vidéo ou elle appelle Michael comme ça avant le 25 juin , car cela nous prouverait que ce temoignage est réel , mais je n'ai jamais entendu Suzanne appeler Michael Casper .
Pas avant ton lien syl .
https://www.youtube.com/watch?v=njuGd11jCzk
à partir de 5:53
https://www.youtube.com/watch?v=NbSlLIii0sk&NR=1
à partir de 1:32
https://www.youtube.com/watch?v=ralkeMBnkCI&NR=1
à partir de 4:30 (elle l'appelle bien Michael pas Casper)
https://www.youtube.com/watch?v=G4sol_v2y1U&NR=1
à partir de 1:30
Celeste- Bloody
- Messages : 2623
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Merci pour ces liens. :)
C'est vrai qu'elle dit Michael mais en même temps c'est une interview. Elle ne va pas dire Casper quand même. :lol:
Si non je n'est rien trouve sur YouTube ou on pourrait les voir ensemble, et quand je tape Susan De Passe sur Google je tombe surtout sur des sujets de Susan Boyle. :lol:
Ça va pas du tout ça !
C'est vrai qu'elle dit Michael mais en même temps c'est une interview. Elle ne va pas dire Casper quand même. :lol:
Si non je n'est rien trouve sur YouTube ou on pourrait les voir ensemble, et quand je tape Susan De Passe sur Google je tombe surtout sur des sujets de Susan Boyle. :lol:
Ça va pas du tout ça !
Cathy- Bloody
- Messages : 3733
Age : 55
Localisation : Vichy
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Moi non plus c'est les seuls interview anciennes que j'ai pu trouver ,
hey Cathy si tu ecris Susan De Passe c'est normal que tu tome sur Susan Boyle :lol:
c'est Suzanne De Passe pas susan ;)
hey Cathy si tu ecris Susan De Passe c'est normal que tu tome sur Susan Boyle :lol:
c'est Suzanne De Passe pas susan ;)
Celeste- Bloody
- Messages : 2623
Re: La place de l'Opus dans le hoax
:lol!: Ca ne m'étonne pas de moi ! Trop forte ! Merci Celeste. Je vais corriger ça. :D
Je change de sujet.
Franck Dileo témoigne dans l'opus. Titre du témoignage :
Si on peut le rêver on peut le faire (phrase de Michael)
Dileo a choisi de parler de Mike et du cinéma.
C'était un amoureux des vieux films, les films de Jim Cagney, tout ces trucs. Même si il avait vu un film comme On the Waterfront avec Marlon Brando, il serait revenu en disant qu'il avait vu des gestes qu'il voulait utiliser dans ses short films. On ne les a jamais appelé des vidéos.
Il n'a jamais eu peur d'essayer quelque chose de nouveau. Lorsqu'il avait une idée il me disait : si on peut le rêver on peut le faire.
Et c'est devenu notre devise.
Je suis sorti de cette relation avec davantage d'intelligence que lorsqu'elle a commence.
Nous étions tout les deux intéresses par les films.
Il avait une machine de montage et il travaillait dessus. Nous parlions de comment mettre en scène des plans et comment faire pour avoir un bon éclairage. Nous avons appris tout ces trucs ensemble. Je n'aurais jamais eu cette chance si je n'avais pas travaille avec lui.
Lorsque nous avons fait nos films, Moonwalker, bad, il était très implique.
Michael pensait et rêver comme Steven Spielberg et je pense comme Marty Scorsese.
Je suppose que son meilleur moment était lorsqu'il a gagne les 7 Grammy pour Thriller ou avec le bad tour en 1988.
Voilà, je n'est mis qu'une partie.
J'ai trouve ceci sur Jimmy Cagney, c'est un peu long mais je vous conseille de le lire car il y a beaucoup de point commun avec Michael :
http://cinemaclassic.free.fr/cagney/biographie_cagney.htm
Je retiendrai le fait qu'il s'est fait avoir par la Warner, et qu'il a eu quelque soucis avec le gouvernement des Etats-Unis.
Je mets un autre lien que je n'ai pas eu le temps de traduire,
j'en traduirai une partie plus tard car c'est intéressant ;
http://blog.blogtalkradio.com/celebrities/michael-jackson-planned-step-jimmy-cagneys-shoes-captain-eo-producer-longtime-pal-rusty-lemorande/
En ce qui concerne le film On the waterfront, je vous met un lien. J'ai déjà traduit mais je posterai plus tard :
http://www.filmsite.org/onth.html
C'est un sujet intéressant concernant les abus des patrons, du pouvoir au détriment du peuple, avec en fond une semi-autobiographie de Kaplan le réalisateur.
Je trouve étrange que Dileo mentionne ce film et cet acteur qui ont des sujets communs.
Je change de sujet.
Franck Dileo témoigne dans l'opus. Titre du témoignage :
Si on peut le rêver on peut le faire (phrase de Michael)
Dileo a choisi de parler de Mike et du cinéma.
C'était un amoureux des vieux films, les films de Jim Cagney, tout ces trucs. Même si il avait vu un film comme On the Waterfront avec Marlon Brando, il serait revenu en disant qu'il avait vu des gestes qu'il voulait utiliser dans ses short films. On ne les a jamais appelé des vidéos.
Il n'a jamais eu peur d'essayer quelque chose de nouveau. Lorsqu'il avait une idée il me disait : si on peut le rêver on peut le faire.
Et c'est devenu notre devise.
Je suis sorti de cette relation avec davantage d'intelligence que lorsqu'elle a commence.
Nous étions tout les deux intéresses par les films.
Il avait une machine de montage et il travaillait dessus. Nous parlions de comment mettre en scène des plans et comment faire pour avoir un bon éclairage. Nous avons appris tout ces trucs ensemble. Je n'aurais jamais eu cette chance si je n'avais pas travaille avec lui.
Lorsque nous avons fait nos films, Moonwalker, bad, il était très implique.
Michael pensait et rêver comme Steven Spielberg et je pense comme Marty Scorsese.
Je suppose que son meilleur moment était lorsqu'il a gagne les 7 Grammy pour Thriller ou avec le bad tour en 1988.
Voilà, je n'est mis qu'une partie.
J'ai trouve ceci sur Jimmy Cagney, c'est un peu long mais je vous conseille de le lire car il y a beaucoup de point commun avec Michael :
http://cinemaclassic.free.fr/cagney/biographie_cagney.htm
Je retiendrai le fait qu'il s'est fait avoir par la Warner, et qu'il a eu quelque soucis avec le gouvernement des Etats-Unis.
Je mets un autre lien que je n'ai pas eu le temps de traduire,
j'en traduirai une partie plus tard car c'est intéressant ;
http://blog.blogtalkradio.com/celebrities/michael-jackson-planned-step-jimmy-cagneys-shoes-captain-eo-producer-longtime-pal-rusty-lemorande/
En ce qui concerne le film On the waterfront, je vous met un lien. J'ai déjà traduit mais je posterai plus tard :
http://www.filmsite.org/onth.html
C'est un sujet intéressant concernant les abus des patrons, du pouvoir au détriment du peuple, avec en fond une semi-autobiographie de Kaplan le réalisateur.
Je trouve étrange que Dileo mentionne ce film et cet acteur qui ont des sujets communs.
Cathy- Bloody
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Localisation : Vichy
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Il ne faut tout de même pas oublier que Marlon Brando était un des acteurs préférés de Michael. C'est donc logique que Dileo en parle. Mais si on a laissé des indices dans ce livre, c'est encore plus logique.
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Mandarine- Admin
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
Tu as raison, si on raisonne sans hoax, Dileo relate que Mike est fanvde Cagney, bien et alors.
C'était un acteur qui aimait jouer dans les comédies musicales bien qu'il ait eu plus l'occasion de jouer dans des films de gangsters :
A l'écran comme à la ville, Jimmy reste sûr de lui, provocant et tient bon. Il ne veut pas être cantonné dans les mêmes rôles, il veut se diversifier mais la Warner ne prévoit rien de tel. Il est, en tout cas, avant tout un danseur, tout est chorégraphique chez lui, même les bagarres. En 1933, il peut enfin faire la chose dont il rêvait : une comédie musciale à gros budget, Footlight Parade (Prologue, 1933). Là, le public le voit enfin comme il se voit : en danseur et en chanteur. Le film est un succès. Les fans lui demandent de danser davantage mais il n'y a pas de projet de ce genre.
Après il dit que si il avait vu On the Waterfront Mike aurait trouve quelque chose a en tirer pour ces shows. L'air de dire même en regardant un film survles dockers, sans rapport avec la danse, il aurait du en tirer parti. Ok !
Mais si on pense hoax, je pense que l'on pourrait trouver l'une des raisons du hoax :
Voici des extraits de la bio de Cagney :
A Times Square, la foule se presse pour The Public Enemy. Partout, on demande des autographes à Cagney. 400 $ par semaine semblent peu alors que certaines stars qu'il cotoît gagnent 125 000 $ par film. Il est lié à la Warner par contrat mais part. Deux jours plus tard, le studio suspend son contrat.
A peine commencée, la carrière de James Cagney semble terminée... jusqu'à ce que les deux films qu'il a tournés sortent. Deux succès. James Warner, qui pense aux profits, fait à Jimmy un nouveau contrat. Son salaire passe de 400 à 1400 $ par semaine. Il part de suite travailler sur l'un de ses meilleurs films, Taxi (Taxi, 1932) avec Loretta Young ; il est aussi bon en dur à cuire qu'en gentil. Dans Taxi, Cagney joue un syndicaliste exalté. Les idées de Jimmy sont les mêmes dans les années 30 : il donne de l'argent pour aider les ouvriers et les mineurs en grève. Il attaque aussi bientôt Hollywood... Il n'est pas tout seul, beaucoup se plaignent des conditions de travail et des horaires. Cagney fonde alors la Screen Actors Guild en octobre 1933. Il en est le vice-président. En six semaines, le syndicat compte 4000 membres et les conditions de travail s'améliorent.
Quand Jack Warner le fait jouer dans plus de films que prévu, Cagney s'en va et le poursuit pour rupture de contrat. Il quitte la ville et laisse son frère Bill, son manager, s'en occuper. Puis il fait ce dont il rêvait : à 5000 km d'Hollywood, il achète une ferme de 40 hectares. C'est une vieille maison dont l'acte date de 1728. Jimmy rajeunit la terre, élève des chevaux et du bétail. 20 ans après le refus de l'école d'agriculture, Jimmy est fermier.
Les poursuites qu'il a engagées contre la Warner aboutissent. Le 18 mars 1936, à la Cour de Californie, Jimmy gagne son procès et la Warner perd une grande star.
Sa carrière étant menacée, malgré sa peur des avions, Cagney en prend un pour la première fois : Bill a organisé une rencontre entre son frère et le président du Comité des Activités Antiaméricaines, M. Dies. Jimmy avait donné de l'argent pour neuf jeunes accusés à tort de viol ; son chèque s'est retrouvé dans le bureau du parti communiste. Jimmy a dû convaincre Dies : un quart d'heure plus tard, il est innocenté. Mais Bill veut aussi innocenter son frère pour le public. Il dit à Jimmy qu'ils doivent faire un film patriotique.
Tiens ! Pour innocenter son frère il veut faire un film patriotique.
Et Michael pour être innocente du publique, pourquoi ne voudrait il pas faire un film patriotique ?
Pour le film On The Waterfront, je vais vous le retranscrire, mais je vais faire un double poste, désolée ! Car je pense en avoir pour un petit moment a le taper, et je ne voudrais pas avoir a recommencer, si ça ne fonctionne pas après l'enregistrement. :D
C'était un acteur qui aimait jouer dans les comédies musicales bien qu'il ait eu plus l'occasion de jouer dans des films de gangsters :
A l'écran comme à la ville, Jimmy reste sûr de lui, provocant et tient bon. Il ne veut pas être cantonné dans les mêmes rôles, il veut se diversifier mais la Warner ne prévoit rien de tel. Il est, en tout cas, avant tout un danseur, tout est chorégraphique chez lui, même les bagarres. En 1933, il peut enfin faire la chose dont il rêvait : une comédie musciale à gros budget, Footlight Parade (Prologue, 1933). Là, le public le voit enfin comme il se voit : en danseur et en chanteur. Le film est un succès. Les fans lui demandent de danser davantage mais il n'y a pas de projet de ce genre.
Après il dit que si il avait vu On the Waterfront Mike aurait trouve quelque chose a en tirer pour ces shows. L'air de dire même en regardant un film survles dockers, sans rapport avec la danse, il aurait du en tirer parti. Ok !
Mais si on pense hoax, je pense que l'on pourrait trouver l'une des raisons du hoax :
Voici des extraits de la bio de Cagney :
A Times Square, la foule se presse pour The Public Enemy. Partout, on demande des autographes à Cagney. 400 $ par semaine semblent peu alors que certaines stars qu'il cotoît gagnent 125 000 $ par film. Il est lié à la Warner par contrat mais part. Deux jours plus tard, le studio suspend son contrat.
A peine commencée, la carrière de James Cagney semble terminée... jusqu'à ce que les deux films qu'il a tournés sortent. Deux succès. James Warner, qui pense aux profits, fait à Jimmy un nouveau contrat. Son salaire passe de 400 à 1400 $ par semaine. Il part de suite travailler sur l'un de ses meilleurs films, Taxi (Taxi, 1932) avec Loretta Young ; il est aussi bon en dur à cuire qu'en gentil. Dans Taxi, Cagney joue un syndicaliste exalté. Les idées de Jimmy sont les mêmes dans les années 30 : il donne de l'argent pour aider les ouvriers et les mineurs en grève. Il attaque aussi bientôt Hollywood... Il n'est pas tout seul, beaucoup se plaignent des conditions de travail et des horaires. Cagney fonde alors la Screen Actors Guild en octobre 1933. Il en est le vice-président. En six semaines, le syndicat compte 4000 membres et les conditions de travail s'améliorent.
Quand Jack Warner le fait jouer dans plus de films que prévu, Cagney s'en va et le poursuit pour rupture de contrat. Il quitte la ville et laisse son frère Bill, son manager, s'en occuper. Puis il fait ce dont il rêvait : à 5000 km d'Hollywood, il achète une ferme de 40 hectares. C'est une vieille maison dont l'acte date de 1728. Jimmy rajeunit la terre, élève des chevaux et du bétail. 20 ans après le refus de l'école d'agriculture, Jimmy est fermier.
Les poursuites qu'il a engagées contre la Warner aboutissent. Le 18 mars 1936, à la Cour de Californie, Jimmy gagne son procès et la Warner perd une grande star.
Sa carrière étant menacée, malgré sa peur des avions, Cagney en prend un pour la première fois : Bill a organisé une rencontre entre son frère et le président du Comité des Activités Antiaméricaines, M. Dies. Jimmy avait donné de l'argent pour neuf jeunes accusés à tort de viol ; son chèque s'est retrouvé dans le bureau du parti communiste. Jimmy a dû convaincre Dies : un quart d'heure plus tard, il est innocenté. Mais Bill veut aussi innocenter son frère pour le public. Il dit à Jimmy qu'ils doivent faire un film patriotique.
Tiens ! Pour innocenter son frère il veut faire un film patriotique.
Et Michael pour être innocente du publique, pourquoi ne voudrait il pas faire un film patriotique ?
Pour le film On The Waterfront, je vais vous le retranscrire, mais je vais faire un double poste, désolée ! Car je pense en avoir pour un petit moment a le taper, et je ne voudrais pas avoir a recommencer, si ça ne fonctionne pas après l'enregistrement. :D
Cathy- Bloody
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Re: La place de l'Opus dans le hoax
On The Waterfront Film de 1954 d'Elia Kazan avec Marlon Brando
Je sais que c'est long a lire, mais svp, prenez lz temps de le lire, je pense vraiment que c'est intéressant. Ça me fait penser a Mike avec Sony.
Un regard authentique un film puissant, qui jette un regard sur les problèmes du syndicalisme professionnel, la corruption et le racket. Ça se passe pendant la période d'opression, sur les docks de New York, ou les dockers se battent pour leur travail, leur dignité, et pour mettre fin aux rencontres sous le contrôle de la violence, qui les force a se soumettre, face a des menaces proférées par des patrons tyranniques.
Déjà vous pouvez voir le lien avec l'histoire de Cagney. C'est tout de même étrange que Dileo parle de ça. Je continu :
Le budget apporte est petit et critique, mais plus encore c'est un message sur les maladies de notre société qui a été salue par la critique.
La moralité du film est l'histoire de la fin de la corruption, avec un style de jeu des acteurs réaliste, Marlon Brando porte le rôle de Tery Malloy, un hero ligote, qui essai de lutter et qui est brutal. C'est un rejeté de la société et un ancien boxeur qui a regrettablement chute sur le ring.
Aujourd'hui c'est un garçon de course qui est possède par le syndicat patronnal, qui ignore ses capacités, et son propre pouvoir d'action. Mais en raison d'un tourment, il fait de nouveaux choix dans sa vie. Il rejoint les forces avec un esprit solide, beaucoup de courage.
Le contexte criminel et politique des coulisses du film et l'histoire sont très importants.
Les similarités entre le témoignage de Terry Malloy contre son propre groupe corrompu est un parallèle avec les aveux justifies d'Elia Kazan avant que la commission de la chambre des représentants des Etats-Unis (House Un-american Activitee Commitee of the United-States), deux ans plus tôt comme témoin amical concernant son adhésion, pendant un moment, au parti communiste et notamment parmi d'autres qui étaient sympathisants.
Kazan tenta de de justifier politiquement avec ce film semi-autobiographique, la justification des noms listes pour révéler la corruption diabolique des syndicats et le soupçon sur le fait de prêcher pour la solidarité des balances (mouchards).
Tiens lui aussi a voulu faire un film pour se rehabiliter. :siffler:
L'histoire du film est basée sur les révélations d'un journalistes, Malcom Johnson, au New York Sun (qui n'existe plus), révélations trouvées dans une série de 24 articles appeles "Crime on the Waterfront".
Ce sont des chroniques d'événements sur les dockside, sur le racket des travailleurs des docks, et sur les pratiques de corruption. Ce journaliste a gagne le prix Pulitzer en 1949 du meilleur reportage local. Il révèle une corruption endémique, descextorsions, des pot-de-vin aux syndicats des fonctionnaires, desctransactions commerciales illicites, des voleurs, des sponsors des syndicats qui sont des usuriers, meurtres, et influence tyrannique et effrayante sur le front de mer de New York.
Kazan a embauche l'auteur dramatique Arthur Miller dans le quartier de Red Hook a Brooklin afin de faire des recherches sur un docker et de faire un scénario pour le film The Hook.
En 1954, un film similaire avait été fait sous le nom de The setting of a Brooklyn waterfront, avec pour hero un militant syndicaliste luttant contre le patronnât. Le film n'a jamais vu le jour., en raison des pressions de la commission d'investigation de la chambre des représentants des USA, sur le Directeur, Harry Cohn, des studios de
Columbia Pictures, qui a dit a Miller de changer les militants syndicaux des fonctionnaires corrompus et les gangsters en diaboliques communistes, comme ça le film deviendrait pro-américain.
Tiens ça me fait penser a ce gars, dont j'ai oublie le nom qui voulait faire diffuser un document lors du procès de 2005, en faveur de Mike, et en raison de pressions il n'a pas été diffuse.
Mais Miller refusa et vira le scénariste. Arthur Miller a été remplace.
Maintenant quelques phrases du film :
La prière a été dite par Kayo Dugan qu'il y avait un code du silence appelé "D'nD" sur les docks : Deaf and Dumb (sourd et muet).
Peu importe a quel point nous détestons les torpilles, nous ne denocerons pas !
Le père Barry argumenta avec persuasion qu'il devait rompre le silence et témoigner, mais il senti qu'il avait échoue quand les hommes ne répondirent pas a ces mots :
Il y a des choses que nous avons dans ce pays et c'est la possibilité de de défendre. Exposer les faits au public. Témoigner de ce que vous savez être mauvais et de ce que vous savez être juste. Maintenant, ce qui les dénoncerai, serait de dire la vérité pour vous.
VOUS NE POUVEZ PAS LE VOIR CA ?
Alors juste une anecdote de Dileo, juste une coïncidence ? Je ne crois pas. :D :)
Je sais que c'est long a lire, mais svp, prenez lz temps de le lire, je pense vraiment que c'est intéressant. Ça me fait penser a Mike avec Sony.
Un regard authentique un film puissant, qui jette un regard sur les problèmes du syndicalisme professionnel, la corruption et le racket. Ça se passe pendant la période d'opression, sur les docks de New York, ou les dockers se battent pour leur travail, leur dignité, et pour mettre fin aux rencontres sous le contrôle de la violence, qui les force a se soumettre, face a des menaces proférées par des patrons tyranniques.
Déjà vous pouvez voir le lien avec l'histoire de Cagney. C'est tout de même étrange que Dileo parle de ça. Je continu :
Le budget apporte est petit et critique, mais plus encore c'est un message sur les maladies de notre société qui a été salue par la critique.
La moralité du film est l'histoire de la fin de la corruption, avec un style de jeu des acteurs réaliste, Marlon Brando porte le rôle de Tery Malloy, un hero ligote, qui essai de lutter et qui est brutal. C'est un rejeté de la société et un ancien boxeur qui a regrettablement chute sur le ring.
Aujourd'hui c'est un garçon de course qui est possède par le syndicat patronnal, qui ignore ses capacités, et son propre pouvoir d'action. Mais en raison d'un tourment, il fait de nouveaux choix dans sa vie. Il rejoint les forces avec un esprit solide, beaucoup de courage.
Le contexte criminel et politique des coulisses du film et l'histoire sont très importants.
Les similarités entre le témoignage de Terry Malloy contre son propre groupe corrompu est un parallèle avec les aveux justifies d'Elia Kazan avant que la commission de la chambre des représentants des Etats-Unis (House Un-american Activitee Commitee of the United-States), deux ans plus tôt comme témoin amical concernant son adhésion, pendant un moment, au parti communiste et notamment parmi d'autres qui étaient sympathisants.
Kazan tenta de de justifier politiquement avec ce film semi-autobiographique, la justification des noms listes pour révéler la corruption diabolique des syndicats et le soupçon sur le fait de prêcher pour la solidarité des balances (mouchards).
Tiens lui aussi a voulu faire un film pour se rehabiliter. :siffler:
L'histoire du film est basée sur les révélations d'un journalistes, Malcom Johnson, au New York Sun (qui n'existe plus), révélations trouvées dans une série de 24 articles appeles "Crime on the Waterfront".
Ce sont des chroniques d'événements sur les dockside, sur le racket des travailleurs des docks, et sur les pratiques de corruption. Ce journaliste a gagne le prix Pulitzer en 1949 du meilleur reportage local. Il révèle une corruption endémique, descextorsions, des pot-de-vin aux syndicats des fonctionnaires, desctransactions commerciales illicites, des voleurs, des sponsors des syndicats qui sont des usuriers, meurtres, et influence tyrannique et effrayante sur le front de mer de New York.
Kazan a embauche l'auteur dramatique Arthur Miller dans le quartier de Red Hook a Brooklin afin de faire des recherches sur un docker et de faire un scénario pour le film The Hook.
En 1954, un film similaire avait été fait sous le nom de The setting of a Brooklyn waterfront, avec pour hero un militant syndicaliste luttant contre le patronnât. Le film n'a jamais vu le jour., en raison des pressions de la commission d'investigation de la chambre des représentants des USA, sur le Directeur, Harry Cohn, des studios de
Columbia Pictures, qui a dit a Miller de changer les militants syndicaux des fonctionnaires corrompus et les gangsters en diaboliques communistes, comme ça le film deviendrait pro-américain.
Tiens ça me fait penser a ce gars, dont j'ai oublie le nom qui voulait faire diffuser un document lors du procès de 2005, en faveur de Mike, et en raison de pressions il n'a pas été diffuse.
Mais Miller refusa et vira le scénariste. Arthur Miller a été remplace.
Maintenant quelques phrases du film :
La prière a été dite par Kayo Dugan qu'il y avait un code du silence appelé "D'nD" sur les docks : Deaf and Dumb (sourd et muet).
Peu importe a quel point nous détestons les torpilles, nous ne denocerons pas !
Le père Barry argumenta avec persuasion qu'il devait rompre le silence et témoigner, mais il senti qu'il avait échoue quand les hommes ne répondirent pas a ces mots :
Il y a des choses que nous avons dans ce pays et c'est la possibilité de de défendre. Exposer les faits au public. Témoigner de ce que vous savez être mauvais et de ce que vous savez être juste. Maintenant, ce qui les dénoncerai, serait de dire la vérité pour vous.
VOUS NE POUVEZ PAS LE VOIR CA ?
Alors juste une anecdote de Dileo, juste une coïncidence ? Je ne crois pas. :D :)
Cathy- Bloody
- Messages : 3733
Age : 55
Localisation : Vichy
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Beau boulot , Cathy , merci pour cette traduction
Celeste- Bloody
- Messages : 2623
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Merci pour cet énorme travail Cathy :pouce:
Indana- Bloody
- Messages : 7192
Age : 42
Localisation : Lexy (54)
Re: La place de l'Opus dans le hoax
Merci
Alors je les points communs :
- des hommes qui se font rouler dans la farine par leurs patrons, qui s'en mettent plein les poches et qui magouillent derrière leur dos.
- des hommes qui se font accuses a tort
- des hommes qui font des films pour être rehabilte aux yeus de la société
- des hommes qui s'unissent fondent des syndicats pour lutter contre leur torsionnaires
Points communs avec Mike :
- abus de pouvoir de Sony et l'industrie du disque
- abus de pouvoir de Tom sneddon
- fausses accusations
- réhabilitation par un film ?????? OUI, OUI !!!!!!!
- création d'un syndicat pour lutter contre l'industrie du disque ?????? Quelqu'un a-t-il déjà entendu Mike parler de quelque chose comme ça ?
Alors je les points communs :
- des hommes qui se font rouler dans la farine par leurs patrons, qui s'en mettent plein les poches et qui magouillent derrière leur dos.
- des hommes qui se font accuses a tort
- des hommes qui font des films pour être rehabilte aux yeus de la société
- des hommes qui s'unissent fondent des syndicats pour lutter contre leur torsionnaires
Points communs avec Mike :
- abus de pouvoir de Sony et l'industrie du disque
- abus de pouvoir de Tom sneddon
- fausses accusations
- réhabilitation par un film ?????? OUI, OUI !!!!!!!
- création d'un syndicat pour lutter contre l'industrie du disque ?????? Quelqu'un a-t-il déjà entendu Mike parler de quelque chose comme ça ?
Cathy- Bloody
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